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N'est-on pas en train de découvrir que "les gens" ne veulent plus marcher? Certes une "mamanavecdeuxenfants,unegrossevalisequirouledetravers,pluslesacàdosdelapetitequiest"troplourd",pluslepanierduchatquelegrandrefusedeporter" aura toujours des difficultés à sortir d'une gare, d'autant que la galanterie se perd, mais on n'arrivera jamais à avoir toutes les portes d'un train de 400m à proximité immédiate de tous les moyens de correspondances. Certes, on complique (et on rallonge) le trajat pedestre en créant des zones commerciales nouvelles (c'est un autre débat), mais on a oublié qu'il n'y a pas si longtemps les taxis prenaient leurs passagers en charge sur le quai (vu à Paddington... je suis très vieux!). Mais au fait, qu'en est-il dans les... aéroports? Ceci dit, mon propos est hors sujet. Par contre, en ce qui concerne les bouchons dans les couloirs des voitures de tête avant l'arrivée, j'ai un (lointain encore) souvenir d'Air Inter où après l'aterrissage , une hotesse se plaçait dans le couloir à hauteur de la séparation affaires/touriste et ne laissait avancer les passagers de l'arrière que quand ceux de devant avaient descendu leurs bagages, attention précieuse quand on connait la quasi impossibilité, une fois que le flux est lancé, de faire deux rangées à contre-sens pour récupérer un bagage qu'on a du poser ailleurs qu'au dessus de son siège... Ne rêvons pas, on ne vas pas demander à un ASCT de bloquer une intercirculation à Etampes (voire avant) sur un Brive-Paris...

Mince, je n'ai téléchargé que l'aller! Et je voulais (enfin!) voir de face les communications entre Etampes et les Aubrais car vu de côté (en voiture!), c'est un peu difficile de reconstituer le plan des voies. On va déjà es sayer comme ça!

Sauf erreur, la RATP (métro) n'a plus que deux embranchements avec le RFN (Vincennes et la Villette, Lagny et Desnouettes ayant l'un disparu, l'autre fermé) et elle se fait livrer ses voitures... par camion. Plus simple, plus souple et... pas plus cher !

Ceci dit, le béton gris, l'architecte "maison" adore ça pour toutes ses nouvelles gares. Le départ d'Austerlitz en est d'ailleurs un exemple. En tous cas, un grand merci à Jean-Michel G. pour ces vidéos. Je fais souvent le trajet (jusqu'à Uzerche tant que les certains directs s'y arrêtent!), et c'est sympa d'avoir la vue de face plutôt que de profil!

Ca roule encore ? (Je suis dehors...)

Ce qui est effarant surprenant, dans le monde ferroviaire, c'est l'échelle de temps. Autant pour les infrastructures, on peut comprendre les délais de construction, autant un délai de deux ans pour mettre en service deux allers-retours parait difficilement compréhensible... sauf si ce n'est pas une priorité réelle...

Et on "élimine" comme dans le film avec Jean Reno dans le rôle de l'ASCT, par la porte d'avitaillement du bar! Ceci dit, cette méthode fait immédiatement cesser l'infraction, ce qui est un souci prioritaire de tout agent de la force publique...

Si c'est entre "Saint-Germain GC faisceau marchandises" et Achères, il y avait les wagons d'eau minérale (etc...) pour l'entrepôt de boissons "Robert". Mais vu l'état des rails, soit ils ont déménagé, soit ils sont passés au camion...

Entièrement d'accord sur la gène aux autres voyageurs, mais la plupart beaucoup des utilisateurs parlent trop fort "dans" leur télépone (ce qui conduit à ce que le signal du micro soit... réduit avant de pouvoir être codé sans risque de saturation. C'est un réflexe humain: quand on téléphone loin, on parle plus fort ! En ce qui concerne le fait de "percer" la cage de Faraday et de redistribuer le signal à l'intérieur (et vice versa), cette idée avait été proposée aux trois (à l'époque) zopérateurs par une petite boite d'électronique au milieu des années 90; le système était peu encombrant un seul appareil pouvait être utilisé par tous les réseaux. L'un des opérateurs (au moins) a contacté la SNCF. Mais il fallait 1: trouer le toit de la voiture, 2: trouver une alimentation électrique. 3. s'entendre sur le coût du loyer... et à l'époque, la SNCF a exigé demandé une tarification à la communication, ce qui n'était ni possible techniquement (la fonction technique tarification est localisée dans les commutateurs, l'implanter dans un répéteur impliquerait d'y adjoindre un PC, ce qui serait impensable au niveau du coût et de l'encombrement!) ni réaliste commercialement (la notion de forfait, en cours de généralisation à l'époque est contraire à une "tarification à l'acte"). Les choses en sont donc restées là... depuis vingt ans!

Ils sont sans doute allés voir certaines voies du triage qui, n'étant plus utilisées en raison de l'évolution du trafic fret, sont peut-être moins entretenues...

Le problème, c'est que la couverture des réseaux "publics" ne sera jamais suffisante pour "bien" desservir une caisse métallique (cage de Faraday) , circulant souvent loin des zones habitées ou des routes, et avec un profil en long (cas des tranchées) qui rend encore plus difficile la liaison. Au passage, mais ça ne concerne que la téléphonie, pas le surf, la consigne d'aller passer ses appels sur les plateformes d'extrémité (là où il y a le moins de surface vitrée) est techniquement, une aberration!

Elle a de la g...e! Bravo aux rénovateurs/reconstructeurs!

Récemment, sur un Lyria arrivant à Zürich, l'ASCT suisse nous a annoncé un retard de... 2mn et a présenté les excuses de la compagnie. Elle a ensuite annoncé toutes les correspondances et les quais de départ de celles-ci. Du SERVICE !

Rassurez-moi: dans un PRS gérant une zone de BAL, le pire que pourra faire un opérateur maladroit (s'il ne va pas jusqu'à délivrer des autorisations de franchissement de carré!), c'est tout bloquer ou éventuellement envoyer des circulations dans de mauvaises directions (par exemple, une voie non électrifiée pour une circulation électrique, mais ça, le mécanicien, qui connait la ligne, s'en apercevra vite). Le BAL et les enclenchements restent quand même là pour protéger les circulations?

Merci, JLC, je ne connaissais pas ce type d'appareil. Curieux, les deux itinéraires déviés sont tangents par les rails extérieurs. Mais je ne suis pas sur que ça résolve le problème d'avoir la première éclisse loin de la gorge la plus proche. Concernant ce problème là, je crois me souvenir d'avoir lu (il y a longtemps) que la solidité mécanique d'une pièce comportant une partie massive (le coeur) et des parties fines (les branches) était d'autant plus facile à assurer que les branches étaient courtes. Mais il y a peut-être un moyen terme à trouver.

Est ce que la photo, en allongeant la profondeur, ne masque pas la courbe de la voie utilisée (celle qui part en bas à droite), courbe qui entraine le déport de l'avant (arrière) de l'engin vers la gauche ?

La SNCF a peut-être certainement déjà dans une banque d'images de tels films. Souhaite-t-elle les vendre/mettre à la disposition du public, c'est une autre affaire...

Tête plus dure... ou casque !

Donc, ça interdit en pratique à l'ASCT de dsiposer d'une place réservée non occupée au départ, par exemple pour déplacer une personne malade ou tenir compte des problèmes de la restauration (cas des Lyria par exemple où les passagers internationaux - qui eux ont droit à manger! - placés en salle basse sont "remontés" avant le service.)

Il est clair que vu le temps (et surtout la distance) qu'il faut pour s'arrêter, une répétition visuelle de la position des aiguille ne peut être utile qu'n marche à vue...très prudente!

Et si on modifiait (allongeait) le dessin des coeurs de croisement (et de traversée) pour qu'une éclisse pivotant autour du boulon le plus proche ne retombe pas dans la gorge de l'appareil ?

C'est clair !

L'opérateur des portes, ça n'est pas l'agent qui est sur le quai et qui les ferme quand le train part, au fur et à mesure qu'elles passent devant lui ?

C'en est à ce point là ?

Question à ce propos, Neussargues-Béziers, ça a bien été "desélectrifié" ?