Cyril83

Ou alors, on fait un tram pour ne desservir que des rues bien droites, même si ça ne répond pas aux besoins des habitants... Le problème est le même à Lyon et Villeurbanne sur la ligne T1.

Bien sûr une démarche de sensibilisation est nécessaire, mais je pense que c'est une illusion de penser que l'on supprimera ce type d'accidents (sauf à supprimer tous les PN), parce que l'on éradiquera pas la bêtise ni l'inconscience (puisque c'est hélas de ça dont il s'agit). Il existe déjà des panneaux "Un train peut en cacher un autre". Les deux jeunes l'avaient sous le nez pendant qu'ils étaient arrêtés. Que faut-il de plus ?

Le préfet est là pour ordonner l'hospitalisation d'office. S'il ne le fait pas... c'est la faute du préfet, pas des juges.

Un tramway ?

Du point de vue de l'usager, c'est le résultat qui compte, d'autant qu'il n'a pas forcément la possibilité de chercher du travail ailleurs. Je pense qu'on serait tous surpris, en les interrogeant, de voir la proportion de personnes qui n'ont qu'une envie en tête, quitter Paris. Mais ce qui est grave est que ce raisonnement ("les transports doivent répondre aux besoins, quels qu'ils soient") est aussi celui des élus. Il n'y a qu'à voir les projets d'aménagement de la Défense...

Quand on imagine le salaire et les conditions de travail des conducteurs en Indonésie, on se demande vraiment pourquoi certains font tout un plat de l'ouverture à la concurrence et des salaires moins élevés chez VFLI que chez la maison mère. Quand on imagine les règles de sécurité applicables (s'il y en a !) là-bas, on se demande vraiment pourquoi certains s'inquiètent des rares accidents graves qui arrivent en France. Etc., etc. C'est déclinable à l'infini. Bien sûr, ça ne fait jamais de mal de relativiser, mais ça fait une belle jambe aux franciliens qui voyagent 2 heures par jour serrés comme des sardines de savoir qu'en Inde, en Indonésie et ailleurs encore, l'usager peut déjà s'estimer heureux s'il arrive vivant.

Le ton des reportages que l'on peut voir sur le service public (Envoyé spécial, Complément d'enquête, Pièces à conviction...) est quand même très différent de celui employé sur M6-W9 ou Direct 8.

250 Go ? L'offre d'OVH est décidément totalement dépassée... :jesuisdehors:

Oui mais les machines affectées au fret SNCF, tant qu'il en restera un peu ? Est-ce qu'elles ne seront pas grises aussi, prêtes à recevoir le pelliculage carmillon ?

Voire incendie ou cambriolage : dans ce cas, la sauvegarde sur disque dur externe ne servira à rien si le disque est lui aussi parti en fumée ou parti tout court. Je vais pouvoir tester tout ça. Actuellement je sauvegarde mes documents sur serveur FTP, mais c'est assez fastidieux et peu commode.

ça montre aussi que contrairement à certaines rumeurs, le RER A est loin de la saturation.

Dans le même reportage un économiste qui a écrit un bouquin pour taper sur la SNCF était interrogé. A l'inverse les rares sujets techniques abordés (entretien des rames) étaient vite expédiés. C'est plus facile de faire dans la démagogie (salauds de cheminots privilégiés), l'anecdotique (les chasseurs) et les faits divers (les patrouilles de police dans les gares). Il n'y a rien à attendre d'intéressant d'une chaîne comme Direct 8.

Du reste il me semble que les machines affectées au fret seront désormais en livrée carmillon ?

Qu'en est-il des conditions de travail chez SFR et Bouygues (pour Orange, on sait déjà) ? Où sont situés leurs centres d'appel ?

ça marche si le contrôleur est de bonne composition... J'ai le souvenir d'un type (de bonne foi apparemment) qui s'était pris un PV car comme il ne pouvait pas faire l'appoint, il ne pouvait pas régler son billet émis à bord, et comme il ne pouvait pas payer son billet... PV. Et à la lumière de cette "méthode", je comprends mieux la justification du PV dans ce cas de figure. Un ASCT m'avait expliqué qu'il était tombé un jour sur un billet falsifié et que le fraudeur avait eu la bonne idée de laisser en évidence toute une liasse de billets ayant subi le même traitement, avec le matériel utilisé pour le grattage. Il avait saisi le tout et envoyé ça au service compétent qui a ensuite procédé à l'évaluation du préjudice. Autre exemple cité par le même ASCT : une personne avec un abonnement étudiant qui réalise un petit trajet sur le "Cévenol" et regarde l'ASCT dans les yeux lorsqu'il passe à deux reprises dans la voiture. Au moment du contrôle il s'avère que cette personne a un billet en cours de validité mais acheté pas mal de temps auparavant et pas composté. Il était clair que ce billet non composté lui avait servi plus d'une fois. L'ASCT a rédigé un PV.

Très belles photos... à archiver en effet ! Depuis combien d'années cette portion de la PC n'avait pas vu de circulation ? A propos... ça devait être agréable entre PAZ et Javel ! - La réglementation n'interdit donc pas que les voies souterraines du RER soient parcourues par des diesel, même aux heures où le service commercial est assuré ? - Quel est l'intérêt de cette manoeuvre alors que le 72000 aurait pu arriver par là où il est reparti (Trappes et la GC) ? Eviter de trop perturber le trafic sur la ligne C compte tenu du changement de voie pour bifurquer sur la PC au Garigliano ? - Dernière question : à quoi servait la voiture club UIC ?

La première fois que j'ai lu le titre du sujet, je pensais qu'il était question de BB midi...

Tu as oublié ça : :tongue:

Un point de vue dans lequel je me retrouve : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/232021-free-mobile-j-ai-souscrit-des-le-premier-jour-mais-ma-demande-a-ete-oubliee.html

Je n'ai pas attendu Free pour avoir un téléphone portable. Je pourrais donc me passer de Free pendant encore une semaine, un mois, voire un an, s'il fallait. Par contre, si depuis maintenant des années je paye tous les mois une somme non négligeable (en 2005, 20 euros par mois chez Orange, c'était le forfait le moins cher du marché), c'est parce qu'un téléphone portable me rend bien des services. Ça me branche donc modérément de devoir peut-être me passer de téléphone pendant quelques jours, le temps que Free fabrique ma carte SIM, parce que Free s'est empressé de demander le portage de ma ligne au lieu de tenir compte du temps nécessaire au traitement des commandes. Je change d'opérateur (toujours "virtuel" depuis que j'ai quitté Orange) en moyenne une fois par an, et je n'ai jamais eu de problème avec le portage, parce qu'il n'y avait pas autant d'affluence bien sûr, mais aussi et surtout parce qu'il m'a toujours été possible de choisir la date du transfert de la ligne. Il n'y a que Free qui ne propose pas cette option ! En l'occurrence ça m'aurait arrangé que mon opérateur actuel mette du temps à réaliser le transfert.

C'est à eux, à défaut d'avoir prévu (ce qui n'est déjà pas terrible), de gérer ces retards. Or, rien n'est fait : hotline surchargée, pas de contact possible par mail, aucune information, transfert de la ligne alors que la carte SIM n'a pas été envoyée. Tiens, pour faire une comparaison avec le train en panne de gasoil : la démarche normale aurait été que le plein ait été fait, ce n'était pas le cas, alors le conducteur s'est arrêté en gare, c'était un moindre mal. Avec la logique Free, le conducteur n'aurait rien dit aux passagers et aurait continué, jusqu'à ce que tout le monde se retrouve bloqué en pleine voie.

La Caisse d'Epargne abandonne aussi le programme S'miles. Shell avait déjà abandonné il y a quelques années.

C'est quand même de l'amateurisme. Cela aurait été tellement simple de déclencher la demande de portabilité en même temps que l'activation de la carte...

J'espère bien que c'est interdit. Je doute sincèrement que la SNCF ait sciemment vendu un billet pour le transport d'un boa. J'espère surtout que les voyageurs incommodés par la présence de cet animal vont agir contre la SNCF, qui n'aura plus qu'à se retourner contre le sinistre crétin qui a amené le reptile dans le TGV, en demandant en prime une indemnité pour le préjudice commercial et l'atteinte à l'image de marque (la perspective de se retrouver face à un boa n'incite pas à prendre le TGV).

On peut aussi faire le rapprochement avec Orlyval, désormais exploité par la RATP, mais avec un tarif prohibitif qui se justifie notamment par la nécessité d'éponger l'ardoise laissée par le privé.