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Le Web des Cheminots

jean_13

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Tout ce qui a été posté par jean_13

  1. http://www.franceinfo.fr/vie-quotidienne/transports/article/face-la-polemique-la-sncf-renonce-son-partenariat-avec-airbnb-752113 Encore un bel exemple des dérives de "l'économie collaborative" que l'on nous vends à toute les sauces. Et au passage encore un exemple de communication foireuse de la SNCF. Y'avait pourtant pas besoin de sortir de l'ENA pour ce rendre compte que c’était pas une bonne idée vu le contexte actuel...
  2. ​Innovante certes, mais pour le coté pratique et la viabilité de cette offre, je reste franchement perplexe. L'article du monde résume très bien les tares majeures de cette offre: Aucune garantie de départ, horaire communiqué à la dernière minute et surtout la quasi impossibilité de prendre un billet retour par le même service. Rien que sur ce point, difficile de voir à qui peut bien s’adresser une telle offre. Qui serait pret à partir en voyage sans horaire ni billet retour (ou a prendre le risque de le payer plein pot)? Pas moi en tout cas. Personnellement je pense que la SNCF devrait arrêter de vouloir singer les méthodes de la téléphonie mobile, et très certainement faire un peu moins aveuglément confiance à l'imagination débordante des agences de pub. Si on prends les enquêtes récentes, il ressort qu'un des principaux griefs contre le TGV est la tarification, jugée chère hors promotion et trop complexe. Or, si on regarde les offres apparues depuis quelques années, il semble que la SNCF fait exactement le contraire de ce que les usagers attendent: multiplication des offres éphémères (carte 12-30 par ex) et des "marques" à la signification floue pour le consommateur moyen. Et avec TGVpop (ainsi que son prédécesseur idtgvmax), on atteint des sommets dans l’incompréhensible, avec un concept qui semble directement sorti de l'imagination en roue libre d'un créatif de pub gavé à la cocaïne. Meme les low cost aériens n'ont pas osé aller jusque là. Entre le jargon pompeux ( "pop départ" "communauté des maxtrotters"...), les couleurs criardes ou encore les FAQ à rallonge, on se croirait plus sur le site d'un opérateur de téléphonie mobile pour ados que celui d'une entreprise ferroviaire. Je doute fort que c'est avec ce genre de méthodes que le TGV deviendra plus rentable. Bien au contraire, en entretenant la complexité, c'est un bon moyen de pousser le client vers d'autres modes de transport jugés moins "compliqués".
  3. C'est bien la le danger (pour le client) de ce type d’opération de com ultra ciblée et ultra limitée dans le temps. L'offre iDTGV max a été annoncée publiquement un mercredi à 12H. les premiers articles "de fond" ont étés publiés en fin d’après midi. Finalement, toute les cartes ont été vendues le lendemain à 16H. Soit à peine plus de 24 heures. Un délai aussi court ne laisse absolument pas le temps au "client moyen" (par définition pas forcément au fait des subtilités du transport ferroviaire, ni informé en temps réel de ce genre d'opérations "surprise") de se renseigner et de réfléchir si cette offre convient bien à ses attentes. Un tel mode de commercialisation pousse clairement à l'achat impulsif voire irréfléchi. Rien d'étonant donc à ce qu’une part non négligeable des acheteurs finissent par être déçus par ce qui est surtout une grosse opération publicitaire.
  4. D’après l'article de la dépêche, le prévenu ne s'est pas soumis à une expertise psychiatrique, ni présenté à l'audience. Le jugement aurait sûrement été moins lourd si il s’était présenté à l'audience, soumis aux expertises demandées, ou encore si il avait montré des signes de bonne volonté devant les juges. Les maladies psychiatriques ont souvent pour particularité qu'aucun "soin" n'est envisageable sans sans la coopération du patient. Parfois, le processus peut s'avérer être très long et nécessiter une forme de contrainte Dans pareil cas, la seule chose que peut faire la justice est de s'assurer que cette persane ne représente plus un danger pour la société.
  5. Le pire que j'ai connu c'est les gare bruxelloises, un peu moins a blx midi, mais a bxl central le débit d’annonces (et de circulations) est assez impressionant
  6. La solution des répéteurs 3G a du être bien vite écartée, pour deux raisons. La première étant qu'une partie des frais aurait incombé aux opérateurs telecom, et ces derniers ne sont plus d'humeur à mettre la main au porte monnaie depuis que le grand méchant Free a osé toucher à leurs marges. La seconde a du venir du service marketing: Pour eux, un accès 3G performant dans le train, c'est trop simple, trop transparent pour l'utilisateur. En France l’innovation technologique se doit d’être compliquée, avec pleins d’astérisques, de conditions spécifiques, et surtout, elle doit etre reservée à certains privilégiés vous vous rendez compte, il n'y a pas besoin d'avoir un ibidule dernière génération, d’installer une application top moumoute, même pas besoin de faire une manipulation quelconque. Et puis tout le monde en profite dans le train. Il vont faire quoi les pubeux, si ils ne peuvent pas mettre en scène un hipster trop heureux de surfer sur son iphone grâce à la révolution SNCF Wifi?
  7. Le problème est surtout que sur certaines lignes, ça va bien au delà du tabac. Sur certaines lignes les voitures de queue deviennent de véritables zones de non droit: drogue, alcool, trafics divers, vandalisme, agressions... Voila ou peut mener une "tolérance" de ce genre. Le souci est que l'on a affaire à des groupes de parfois plusieurs dizaines de personnes, potentiellement agressives voire armées. Que peut faire un contrôleur contre ca? Dans cette situation, l'effet de groupe joue plein pot et rends le contrôle "conventionnel" quasi impossible. On ne va tout de même pas armer les contrôleurs ou les équiper comme des CRS Quant aux voyageurs "normaux", ils ne peuvent pas faire grand chose de plus sous peine de se mettre eux aussi en danger. A moins peut être de s'organiser en milice privée, et encore. Donc oui, la seule solution est de s'en remettre aux pouvoirs publics, qui semblent assez peu pressés d'intervenir sur ce type de dossier. Il n'y a malheureusement pas de solution miracle, les contrôles en civil peuvent être une avancée, mais ça ne réglera pas tout. Une option sûrement plus efficace serait d'augmenter massivement la présence policière dans les transports, et de s'assurer que les sanctions soient appliquées. Mais en ces temps de réductions budgétaires, nul doute que c'est une option inenvisageable.
  8. Je ne pense pas, un dépôt de marque est à renouveler tout les 10 ans, mais peut l’être indéfiniment, contrairement aux brevets. Dans le cas contraire, la perte de la protection est immédiate. PS: La marque PARIS LYON MEDITERRANEE P.L.M. est déposée de longue date par WL diffusion, la structure qui gère la propriété intellectuelle de la CIWL, dans des catégories assez similaires, et la aussi pas dans la catégorie 39 (transport ferroviaire) Peut etre que la SNCF cherche simplement à éviter que quelqu’un d'autre ne dépose les noms des autres anciennes compagnies, d'autant plus qu'un dépôt de marque ne coûte quasiment rien: 200€ pour 10 ans
  9. Ça ressemble surtout à un dépôt de marque à titre "préventif", chose plus que banale de nos jours. La plupart des grandes entreprises font pareil. Sachant que le vintage est assez à la mode, il n'est pas si choquant que la SNCF veuille empêcher qu'un individu puisse faire n'importe quoi avec ces marques ou l'imagerie associée.
  10. Pas exactement, le BAFA est un "plus" apprécié des parents, mais n'est pas exigé pour publier une annonce sur ce site. Dans tout les cas, les CGV mentionnent à 2 reprises l'absence totale de contrôle à priori. Pas vraiment rassurant tout ca. Ce qui est assez problématique, c'est que l'on impose à certaines professions un cadre légal de plus en plus contraignant et une pression juridique de plus en plus forte, mais que dans le même temps, on permet à des particuliers d'exercer une activité similaire. Par exemple, les hôtels sont tenus à de strictes normes d’accessibilité et de sécurité. Beaucoup risquent de fermer faute de pouvoir ce mettre auxdites normes Dans le même temps, un particulier peut proposer un logement sur airbnb sans grandes obligations (et sans le moindre contrôle), que ce soit en matière d'hygiene, de sécurité ou d’accessibilité.
  11. En cas de gros souci voire d'accident, il est quasi certain que le site renverra à ses CGV, qui le dégage de toute responsabilité envers les 2 parties. Les parents victimes n'auront qu'a se retourner contre "l'étudiant", qui se devra se défendre seul, et risque de devoir payer toute sa vie C'est selon moi un des plus gros souci de toute ces plate formes d'économie participative: les sites gagnent de l'argent avec un service (argent qui part en général dans des paradis fiscaux) , mais font quasi systématiquement reposer les investissements et les risques à d'autres. Et trop souvent, ceux qui supportent les risques sont de "simples particuliers" ou des autoentrepreneurs parfois mal couverts par leurs assurances. Il serait vraiment temps que les pouvoirs public comme les utilisateurs de ces services s'en rendent compte, sinon on va vers quelque chose de pas beau à voir Il y a deja eu un cas assez révélateur : Confronté à plusieurs affaires de viol commis par un de leurs "chauffeurs" (en Inde et aux USA), Uber décline systématiquement toute responsabilité et ne versera donc pas un centime aux la victimes.
  12. Dans le sud, on trouve le trajet Avignon TGV - Aix TGV, qui dure 21 minutes, et coûte en pointe 29,50€ en seconde et 43€ en première. Soit respectivement 1,40€ et 2€ par minute de trajet. Sur le TGV Marseille - Francfort, le parcours Baden Baden - Karlsruhe dure 15 minutes et est vendu 24€ et 35€ par VSC (même prix pour les ICE). Soit 1,6€ et 2,3€. Ce même parcours est facturé par la DB 11€ pour les IC et 16€ pour les ICE. Enfin, certains TER ne sont pas en reste. Ainsi, le court trajet (6 minutes) Tourcoing - Mouscron revient à 3,40€, soit 0,57€ par minute. Soit le double d'un trajet TER NPDC. Ca fait un poil cher pour le passage de 25kv à 3kv. Même punition sur l'autre ligne frontalière, 0,46€ par minute. Rapporté à la distance, le résultat serait encore plus éloquent.
  13. En tout cas, ce ne serait pas la première fois que le réseau ferroviaire belge est mis quasi intégralement à l’arrêt durant plusieurs heures, voire une journée complète du fait de chutes de neige exceptionnelles. Certes ça n'est pas bon ni pour l'économie ni pour la circulation routière, mais les conséquences d'un effondrement du réseau électrique (qui n'est pas à exclure si un autre réacteur était arrêté durant une vague de froid) pourrait avoir des conséquences bien plus lourdes encore.
  14. De ce que j'en sais, l’état du réseau électrique belge pose véritablement souci depuis un certain temps. d'aprés quelques articles, 50% du parc nucléaire est actuellement à l’arrêt (soit plus de 25% de la production totale), les 2 centrales du pays commencent à accuser leur age, laissant craindre une aggravation du problème dans un pays où les hivers peuvent être rudes. Certes le black out total est un scénario catastrophe, mais pour ne pas en arriver la le risque de devoir recourir à des délestages semble non négligeable. Sachant que le réseau ferroviaire belge est quasi entièrement électrifié (il ne reste que 5 lignes thermique) et que la SNCB ne possède qu'un seule série d'autorail (et plus aucun diesel de ligne), je peut comprendre qu'une solution aussi extrême soit envisagée. Il vaut mieux suspendre préventivement le trafic, (et ainsi pousser les usagers à rester chez eux) plutôt que de se retrouver avec des milliers de voyageurs coincés dans les gares, voire en pleine ligne en cas de black out partiel. D'autant qu'avec divers type d'attelages en service, le secours ne doit pas etre facile)
  15. Je dois dire que je partage tout à fait cet avis. Équiper les trains et les gares en wifi maintenant, c'est arriver bien après la bataille. Il y a quelques années, lorsque les pc portables et smartphones se sont démocratises, la 3g était très chère, pas toujours performante et réservée aux "gros" forfaits". Beaucoup d'utilisateurs rêvaient de wifi gratuit (ou du moins sponsorisés) dans les lieux publics ou les transports. Personnellement, je me souviens très bien des longues marches, netbook à la main, à rechercher un accès "gratuit" (en général un réseau privé laissé ouvert...). Depuis 2012 et l’arrivée de Free, quasiment tout les forfaits mobiles incluent un accès 3g, avec un volume d'échange de 0.5 à 2go et un débit suffisant pour l'utilisateur de base. Les choses vont encore évoluer en 2015 avec la fin des frais d’itinérance dans l'UE. Maintenant que le surcoût de la 3g est très faible voire nul, il devient de moins en moins intéressant d'activer le wifi (gros consommateur de batterie), de devoir passer par une page d'authentification, voire de subir une publicité. Quant à payer pour utiliser un wifi, c'est plus que jamais impensable A ce sujet, les rares à avoir compris de longue date l’intérêt d'un wifi gratuit et peu contraignant sont McDonalds et consorts. Le wifi ne leur rapporte rien, mais il contribue à attirer des clients, et à les faire consommer plus. Je pense que la SNCF devrait adopter la même approche: Au lieu d'un wifi payant (et sûrement hors de prix) réservé aux clients business, la solution serait plutôt de proposer à un coût raisonnable l'installation par les opérateurs de répéteurs 3g/4g. Certes l'entreprise ne gagnerait pas d'argent sur ce service, mais la possibilité de surfer dans de bonnes conditions durant un trajet en train peut constituer sérieux argument commercial.
  16. Je confirme que ce châssis bibloc était une vraie catastrophe, inutilement complexe surtout au niveau électrique. Je me demande toujours comment ils en sont venus à utiliser le châssis en zamak comme conducteur électrique, Je garde un assez mauvais souvenir de certains modèles Jouef des années 90. En particulier le TGV Atlantique, qui nécessitait un réseau immense de part sa vitesse, et le premier modèle de 26000, payé assez cher (presque 2000F si mes souvenirs sont bons) et qui a commencé à avoir des soucis de captage au bout d'un an. Les 6500 et 72000 étaient encore plus cher). A mon avis la combinaison de modèles pas très réussis techniquement, de la hausse des prix et de l’arrivée du TGV bien plus difficile à exploiter sur une faible surface que des autorails ou rames tractées a été le coup de grâce pour Jouef.
  17. Je pense que l'explication est plutôt à chercher du coté du budget publicitaire des tour opérateurs ( pas forcément celui concerné) et par extension de tout tout le secteur des vacances: compagnies aériennes, agences de voyage, sites de réservation, gérants de village vacances... Étant en encore dans la période de réservation des séjours d'été. (donc d'achat d'espace publicitaire). Il est évident que les JT ne vont pas écorner l'image de si bons "clients" à cette période de l'année. En comparaison, quel budget le secteur ferroviaire consacre t'il à la publicité, surtout à la télévision. Nul doute que si il était comparable à celui des voyages organisés, le traitement des incidents serait tout aussi "arrangeant" qu'avec les vendeurs de séjours au rabais.
  18. Personnellement je pense que la mort du "modélisme pour tous" est avant tout due à la désaffection des enfants pour le modélisme (pas que ferroviaire d'ailleurs), bien plus que les compteurs de rivets la première cause de cette désaffection est la métamorphose du marché du jouet au début des années 80. Bien plus que les jeux vidéo, c'est l’arrivée des séries animées américaines qui a crée un redoutable concurrent sur le marché des jouets pour garçon. En quelques années les transformers, GI Joe et autres Tortues Ninja ont donné un grand coup de vieux à de nombreux jouets. Le train a le plus souffert faute de pouvoir s'adapter, mais la plupart des autres secteurs y ont laissé des plumes tant le système du dessin animé associé à une très large gamme de jouets était efficace, et a définitivement changé l'état d'esprit des enfants. Accessoirement, à cette même époque, la montée en puissance de la grande distribution menaçait deja les magasins de jouet traditionnels, qui se sont écroulés lorsque toys'r'us est arrivé en France en 92. Or, le train miniature était quasi absent de ces magasins, on le trouvait soit dans des boutiques de jouets de centre ville (en plein déclin) soit dans les boutiques spécialisées rares hors des grandes villes. On constatera d'ailleurs que les maquettes statiques sont mieux représentées chez toys'r'us et consorts que les modèles dynamiques (train comme auto). Résultat, le marché des enfants est définitivement perdu depuis les années 80, il ne reste plus que celui des modélistes adultes, autrement plus restreint. La seule solution pour les fabricants est d'augmenter le plus possible leur marge sur chaque produit vendu. Donc diminution des coûts de fabrication, tout en maintenant une image plus ou moins prestigieuse aux yeux de la clientèle afin de vendre toujours plus cher. Tant qu'il subsistera un minimum de clientèle, le système pourra continuer à tourner, les entreprises n'ayant plus d'usines "en propre" mais utilisant les excédents de capacité de l'industrie chinoise, plus habituée aux grosse séries des jouets de noel Par contre, il y a une chose qui pourrait peut etre relancer le modélisme sous une autre forme, c'est l'impression 3d. si la technique n'est actuellement pas assez précise pour des formes complexes, à la vitesse ou les choses évoluent, d'ici quelque temps, la fabrication chez soi ou dans un fab lab d'accessoires, de décors voire de pièces de matériel roulant pourrait bien devenir abordable
  19. Je n'ai pas regardé pour la SNCF ou la RATP, mais nombre de réseaux urbains interdisent dans leur règlement le transport de matières dangereuses. Cette interdiction est parfois rappelée à bord des véhicules. Dans tout les cas, c'est assez incroyable qu'une personne parfaitement au courant des risques potentiels puisse envisager une seule seconde de prendre un transport en commun avec de tels produits. Vu que le propriétaire a déclaré travailler dans la métallurgie, il s'agissait sûrement de cyanure de potassium (sous forme de sel), moins dangereux que le cyanure d’hydrogène, qui étant liquide et très volatil aurait pu faire beaucoup de victimes. Malgré tout les risques en cas de libération accidentelle justifient largement les mesures.
  20. ET cette situation risque de durer, du coté Belge le "Fyra" reste un sujet sensible, les usagers ont particulièrement mal digéré la resa obligatoire, le yield management et les hausses de tarif. Et la direction de la SNCB n'est pas très heureuse de s’être fait embarquer dans cette galère. Le gros souci étant qu'il est difficile de revenir à l'ancien service Benelux (ce que beaucoup d'usagers souhaiteraient) maintenant que la lgv est opérationnelle et faute de locs tri courant Le seul gagnant étant Thalys qui doit bien remplir ses rames entre Bruxelles et amsterdam. En tout cas l'avenir de ces rames est plutôt sombre, les NS viennent de passer commande de 19 traxx en remplacement des V250. Pour ces derniers, les NS leur trouveront bien une utilité après transformation et limitation à V160.
  21. Disons que si la chine interdisait la fabrication des pointeurs dépassant les 1 mW, ces produits ne pourraient plus se vendre sur le net au grand jour. Cela n’empêcherait ni la vente sous le manteau ni la fabrication de lasers à partir de composants de récupération (pas bien difficile), mais ca permettrait de limiter l'accés aux inconscients de tout poil. Sachant que lorsque la chine se donne les moyens d'agir, les choses bougent parfois rapidement
  22. Le problème est encore plus compliqué. Avec la mondialisation des échanges, nul besoin d'aller en Turquie ou en Bosnie pour trouver un laser interdit, il suffit de le commander sur un site chinois pour le recevoir chez soi 2 ou 3 semaines plus tard. Une recherche google avec des mots clef aussi basiques que "Pointeur laser forte puissance" donne des résultats édifiants: une multitude de sites pour la plupart basés en Chine et vendant des laser plus qu’extrêmement dangereux (j'ai pu voir des pointeurs de 3, 5 voire 10w). Ces sites sont complètement inattaquables. Sachant qu'il est illusoire d’espérer contrôler l'ensemble des marchandises entrant en Europe, surtout pour de petits objets. La seule solution est de faire pression sur les pays d’Asie (en particulier la Chine) pour qu'ils interdisent la fabrication de pointeurs laser de forte puissance. Pour cela il faut, comme l'a dit likorn, une action au niveau du droit international, en complément d'une fermeté absolue de la justice lorsque les auteurs sont appréhendés
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