assouan

Oh que non... suffit de voir le nombre d'âneries assénées par des "passionnés". Après ce serait bien aussi de ne pas surfer sur la vague AOC : ce n'est pas trop le sujet ni ici ni sur le forum en général. Je t'invite à aller voir le Berlin-Paris à son arrivée à Paris Est pour pouvoir admirer le "nouveau matériel" OBB 😂 il y a des voitures du siècle dernier aussi. Ce qui me ramène un peu à mon premier point oups.

Avis de la modération : on va arrêter svp ? Et rester sous un angle bien ferroviaire en ce qui concerne le TGV-M ça évitera les débats "philosophiques", merci.

Pour moi c'est le même texte GRH qui s'applique. L'échelle des sanctions est différente des statutaires (cf plus haut) mais la procédure est la même ?

Hello, Pour la demande d'explication écrite : si les faits se reproduisent il n'y a pas de contre-indication à faire autant de demandes que de faits problématiques ? Sans particulièrement de délai. Pour la suite, il n'y a pas que le licenciement. A la suite de la demande d'explication, la hiérarchie ouvre une procédure de "demande de sanction" qui peut être (pour les contractuels) : un avertissement, un blâme (si moins d'un an d'ancienneté) un blâme sans ou avec inscription (pour plus d'un an d'ancienneté) une mise à pied d'un jour ouvré avec sursis, une mise à pied d'un à quatre jours ouvrés (si moins d'un an d'ancienneté), une mise à pied d'un à cinq jours ouvrée ou de six à douze jours ouvrés (si plus d'un an d'ancienneté) le déplacement par mesure disciplinaire (plus d'un an d'ancienneté) le dernier avertissement avec mise à pied de deux à douze jours ouvrés (plus d'un an d'ancienneté) le licenciement, la rupture anticipée pour faute grave ou lourde. Si la sanction proposée est supérieure au blâme, il doit y avoir un entretien dans un délai de 2 mois (à quelques jours près selon les fériés, etc...) après la réception de la demande d'explication écrite renseignée par le salarié (ou un délai de 6 jours si pas de réponse). Pour cet entretien, le salarié est convoqué par écrit, il peut désigner sous deux jours un salarié de son choix pour se faire assister l'entretien. Au cours de l'entretien, le directeur d’établissement ou son représentant indique au salarié le motif de la sanction envisagée, les faits précis qui lui sont reprochés (témoignages le cas échéant) et recueille ses explications verbales. Ensuite, soit l'on partira sur une des sanctions avant le licenciement, soit vers le licenciement auquel cas un conseil de discipline devra intervenir. Ces éléments étant d'ordre général (textes règlementaires) hors particularités liées aux cas particuliers.

@aldo500 !!!

Ca nous laisse pas grand chose... Poitou-Charentes ?

Au temps pour moi...

Merci ! Cela vaut tout de même avec le principe des « rames indéformables » propres aux anciens « Teoz » : on était en « coupons », cela reste valable aujourd’hui. C’est d’ailleurs visualisé sur les roulements exactement comme pour du matériel automoteur. Nous sommes en matériel Corail géré comme du TGV : un coupon (une rame) ou deux… Demain… est un autre jour…

Ca doit être ça (avec un petit changement de bout de la loc au passage)...

Pas de raison en effet, j'ai trop imaginé 🤣

Tes calculs sont justes. Engin de secours raccordé 4h30 environ après la panne.

Après ils sont équipés de manière habituelle avec un attelage de type Scharf qui ne se prête pas à un secours sur une loc ordinaire… ça doit pouvoir s’arranger mais ne change absolument rien dans le cas du Paris-Clermont dont on parle. Départ de Paris (après changement d’attelage ?) et mêmes itinéraires et manœuvres…

Comme le dit ADC : dans certains cas. Et quand le diagnostic technique mène à un « secours par l’arrière ou avant » obligatoire… on ne fait pas comme on veut…

C’est de l’UM « Teoz » en effet, deux coupons de 7 voitures. Est-ce que j’ai évoqué un temps d’établissement de la marche ? Non. C’est en effet très rapide.

Nevers n'est pas vraiment beaucoup plus près que Paris et pour le coup une locomotive disponible à Nevers ça se fait très très rare... Quand au changement de matériel, sachant que l'on était en UM (donc cela serait un UM de nouveau matériel), je rejoins ADC : cela ne devrait pas changer grand chose (sauf qu'elles seront supposées plus fiables).

Cf au-dessus : ce n'est pas le fait d'avoir une locomotive de réserve qui est déterminant dans le temps nécessaire à un secours. Ca aide bien entendu - surtout si elle est proche - mais ce n'est pas tout.

On va dire que j'imagine la situation ? Même avec une loc disponible au "jardin" (nouveau dépot de Paris-Bercy) le chronogramme reste très long : Le temps qu'on l'identifie comme disponible (kilométrage etc...), que le conducteur y aille, la mette en service et parte vers Bercy pour changer de bout (eh oui on ne peut pas partir direct en ligne) Le temps d'arriver à Montargis ET de devoir circuler jusqu'à Nogent à contre-voie Manoeuvre pour revenir sur la rame en rade Accroche sur la rame Retour (à contre-voie encore) vers Montargis Manoeuvres à Montargis pour mettre la loc de secours en tête du train (avec à chaque changement de bout les procédures qui vont bien) Ca prenait combien de temps "avant" ? Sans doute pas beaucoup moins... A moins d'avoir une loc plus près mais cela n'existe pas (ou plus)...

Pour le coup, les trains prévus sur Paris-Clermont (et Paris-Nevers car on oublie les dommages collatéraux) sont tout à fait assurés. Il n’y a pas de suppressions liées à la conception (encore heureux, ils sont pas très nombreux). Donc on est bien sur un problème d’anticipation des problèmes…

J’irai regarder le déroulé de cet incident peu glorieux… il doit y avoir une explication…

Certes, ce n'est pas banal. Mais là si il a cumulé un rail cassé + un déraillement avec voyageurs... il met la barre du chat noir un peu haute...

C'est le même 😨 ????

Oui, on est d’accord. Le plan Orsec n’a pas été déclenché ces jours-ci d’ailleurs. Un hiver banal avec ses conséquences ordinaires 😘

Alors… on va lâcher la vérité des prix : sur voies de services, selon les entreprises ferroviaires, la rigueur n’est pas toujours la même (et l’entreprise historique n’a pas de quoi la ramener non plus ?).

Oui en général mais non pour la situation d'hier et aujourd'hui. En cas de vigilance orange, les équipes sont mobilisées, les astreintes dédoublées et positionnnées aux endroits les plus sensibles, etc... Il n'empêche, aujourd'hui comme hier, que du personnel a du mal à rejoindre son poste ou son train, que les caténaires des dépôts ne sont pas dégivrées, que les aiguilles peuvent décontrôler... Comme dit plus haut par plusieurs intervenants : rien de bien nouveau imputable aux "dirigeants".

Ahum... ça refoule pas à la vitesse d'un escargot non ? (et, évidemment, difficile de voir le drapeau rouge quand on n'est pas en tête 👿)