On peut sans doute essayer de gérer le problème "globalement" : amélioration des conditions de vie (trouver des endroits plus adaptés) notamment mais...
Le problème n'est-il pas, hélas, promis à grandir ? On parle aujourd'hui de certaines communautés mais se retrouver sans toit et trouver un endroit pas trop compliqué (car peu de démarches d'expulsion) près de voies ferrées risque d'être de plus en plus banal, indépendamment des nationalités/origines : si de plus en plus de gens se retrouvent à la rue, nos abords risquent d'être de plus en plus fréquentés.
Chacun verra mais à notre humble échelle je me demande si de "simples" démarches d'information/explication ne seraient pas déjà un bon début : à défaut de pouvoir gérer nous-même la misère humaine et "la crise" peut-être y aller et expliquer les dangers serait un pas ?
On va me dire "pas notre boulot, que fait l'Etat, à chacun de prendre ses responsabilités, etc..." sauf que pendant ce temps là, des gens - de toutes nationalités, couleurs, genres - s'installent faute de mieux près des voies et tombent dans le délit d'habitude. Il y a beaucoup d'associations pour beaucoup de misères, il doit être possible aussi de prendre ce problème là sous cet angle : associatif, humain, instructif...