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Le Web des Cheminots

6,5 % de grevistes !


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Une petite louche du matin

le RH n'a qu'à bien se tenir...

Article de presse Ouest France

http://www.ouestfrance-emploi.com/actu_tem...amines_1615.htm

Temps de travail : 2 textes européens examinés

Pourra-t-on travailler 78 heures ?

Les ministres européens planchent, ce lundi, sur l'aménagement du temps de travail. Deux textes européens seront examinés aujourd'hui à Luxembourg. L'un sur le temps de travail, l'autre sur les intérimaires.

Temps de travail : un recul ? La proposition - débattue depuis six ans - modifie une directive de 1993 sur deux points.

Elle crée d'abord un « temps de travail inactif ». Les heures de garde très utilisées dans les hôpitaux, maisons de retraite ou sociétés de gardiennage... ne seraient ainsi plus décomptées comme temps effectif de travail. Sauf si une loi ou si les partenaires sociaux au niveau national décident le contraire.

Second point : la possibilité pour un salarié de travailler au-delà de la limite maximale de travail (48 heures par semaine) sera plus encadrée. Les patrons peuvent négocier au cas par cas des dérogations avec leurs employés. Dans certains cas bien définis, les Européens pourront travailler jusqu'à 78 heures par semaine.

Intérim : on avance ? Il n'y a pas jusqu'ici de législation au plan européen sur les intérimaires. Le texte prévoit un principe d'égalité, déjà inscrit dans la loi en France. Un intérimaire a les mêmes droits que le travailleur permanent qu'il remplace. Avantage : il met tous les États membres et tous les travailleurs à égalité.

Ces textes pourraient être adoptés séparément. En les regroupant, le compromis est plus facile. Certains États cèdent sur le premier texte, d'autres sur le second.

L'enjeu de la bataille ? Les Britanniques étaient jusqu'ici opposés à une législation sévère sur l'intérim. Comme syndicats et patrons viennent de signer Outre-Manche un accord anticipant le texte européen, leur opposition tombe. En revanche, sur le temps de travail, le Royaume-Uni, allié à l'Allemagne et à d'autres États, ne sont pas décidés à céder, face au camp emmené par la France et l'Espagne, qui entend limiter les dérogations à la durée du travail... C'est un paradoxe ! À Bruxelles, Xavier Bertrand européen est plus « social » qu'à Paris...

Les deux textes à l'étude définissent des exigences minimales, sans empêcher des règles nationales plus protectrices (semaine de 35 heures en France).

Nicolas GROS-VERHEYDE, Ouest-France

Modifié par Dom-trappeur
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Et un historique du temps de travail :sur France 2

http://info.france2.fr/dossiers/france/43815074-fr.php

35 heures: 10 ans, seulement ?

AFP/PASCAL GUYOT

Toujours au centre des débats politiques, les 35 heures fêtent les dix ans de la première loi Aubry

C’est en effet en 1998 que l’Assemblée, passée à gauche après la dissolution de 1997, vote le texte du ministre du travail du gouvernement Jospin, instituant les 35 heures (loi du 13 juin 98).

Une première loi -suivie d’une seconde- dont les conséquences sont toujours âprement discutées. Retour sur une conquête sociale dans l’œil du cyclone.

Les 35 heures au centre du débat

Les 35 heures ont été le symbole des années Jospin. Résultat, la droite en a fait l'épouvantail absolu. Depuis son retour au pouvoir, en 2002, les 35 heures ont été présentées, par cette dernière, comme la cause de tous les maux de l’économie française. Mais aucun gouvernement n'a mis en cause la référence à cette durée du travail, qualifiée d'"acquis social" par Sarkozy, s’attaquant uniquement aux heures supplémentaires (à l’exception, notable, de la journée dite de solidarité qui impose une journée de travail supplémentaire).

Depuis l’arrivée de Nicolas Sarkozy au pouvoir, qui avait mis "la valeur travail" en avant, le discours sur les 35 heures n’a cessé d’évoluer. Entre acquis social intouchable et réforme présentée comme indispensable, le gouvernement semblait hésiter jusqu’à ces derniers jours. En janvier, le chef de l'Etat avait suscité un tollé en souhaitant que 2008 marque la fin des 35 heures, il avait, le lendemain, accusé l'opposition de le « caricaturer » : « Je veux augmenter le nombre d'heures supplémentaires, donc je veux garder une durée légale du travail. Ce n'est quand même pas difficile à comprendre », avait-il plaidé. Aujourd'hui, le gouvernement entend faire voter un texte sur cette question

Intitulé "projet de loi portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail", le texte, qui a mis en fureur la CFDT (son secrétaire générale affirme avoir "le sentiment d'avoir été trompé" par le ministre du Travail), doit faciliter la renégociation, entreprise par entreprise, de nombreuses modalités du temps de travail. "Le gouvernement veut donner plus d'espace à la négociation d'entreprise ou de branche sur le sujet du contingent comme, plus généralement, sur celui de l'aménagement du temps de travail", indique le projet.

Selon le projet de loi, il sera possible, sous réserve d'accord, de dépasser le quota légal d'heures supplémentaires, dans les limites du raisonnable pour la santé publique (10 heures par jour, 48 heures hebdomadaire -plafond légal européen- et au moins un jour de repos par semaine). Il sera aussi possible de proposer aux salariés de travailler sur la base d'un forfait en heures sur l'année, formule plus souple que l'annualisation, et concernant actuellement les cadres et les VRP. Elle sera ouverte aux "salariés disposant d'une réelle autonomie dans l'organisation de leur emploi du temps".

Bref un texte, qui selon ses détracteurs risque de mettre à bas l'édifice des 35 heures dans de nombreuses entreprises.

Petite histoire du temps de travail

En France, au XVIIe siècle, il y avait 164 jours chômés dans l’année. Les corporations imposaient alors des règles qui permettaient de nombreuses périodes durant lesquelles le travail (mot venant du latin tripalium, torture) salarié était proscrit : absence le dimanche et le lundi suivant la paye, nombreuses pauses quotidiennes, travail à temps partiel pendant les récoltes, restriction du travail des enfants, etc.

À la fin du XVIIIe siècle( et donc de la Révolution), les employeurs, qui avaient acquis, grâce aux lois "libérales" d’Allarde et le Chapelier (1791), la possibilité de fixer la durée du travail, ont accru les horaires et employé des enfants plus jeunes en supprimant les contraintes imposées par les corporations. La révolution industrielle battait son plein et le temps de travail est l’enjeu de luttes sociales récurrentes en raison d'une libéralisation progressive des règles qui a conduit à accroître considérablement la durée du travail des salariés.

Au XIXe siècle, le temps de présence des ouvriers sur leur lieu de travail était de l’ordre de 4 500 heures par an (soit 15 à 16 heures par jour, 6 jours par semaine). Une durée plus importante que celle des agriculteurs des sociétés traditionnelles, estimée entre 1800 et 2000 heures.

La durée du travail a néanmoins diminué régulièrement tout au long du XIXè siècle, au fil des luttes sociales. La loi de 1841 a limité le travail des enfants de moins de 12 ans dans les industries mécanisées à huit heures. Elle est cependant restée très peu appliquée pendant une longue période.

Ce n’est qu’en 1906 que le repos hebdomadaire a été définitivement institué. La journée de 8 heures et la semaine de 48 heures, tempérées par de nombreuses dérogations, se sont imposées en 1919, tandis que les 40 heures hebdomadaires et les deux semaines de congés payés ont été instituées en 1936. quatrième et cinquième semaines de congés payés sont respectivement imposées, par voie légale, en 1956, 1963 et 1982.

Enfin, la durée légale du travail a été fixée à 35 heures dans (presque) toutes les entreprises en 2002. Cette histoire n'est pas franco-française puisque des luttes sur cette question ont eu lieu dans tous les pays industriels (En 1842, Lord Ashley fait interdire le travail des femmes et des enfants de moins de dix ans au fond des mines de Grande-Bretagne. La fête du Travail, célébrée mondialement le 1er mai commémore les morts liés à une grève en 1889 à Chicago pour travailler 8 heures par jour).

Durée du travail : un argument politique...

Dans la mémoire française, la durée du travail occupe une place importante et fait depuis longtemps l’objet de débats politiques. Sans remonter plus loin, en 1936, le Front populaire de Léon Blum institue les 40 heures. "Depuis plus d'un siècle, toute l'histoire de l'industrie, c'est la diminution continue du temps de travail associée à l'élévation constante de la production, de même que la diminution continue des prix de revient associée à l'élévation continue des salaires. Cela peut sembler un double paradoxe à première vue. Et cependant, depuis qu'il y a une grande industrie dans le monde, ces deux phénomènes contradictoires en apparence et qui ont couvert le ministère public de stupéfaction, se sont produits simultanément, parallèlement, et peut-être, mon Dieu ! en y réfléchissant, sont-ils même fonction l'un de l'autre", se défendait Léon Blum sur la loi des 40 heures alors qu'il était poursuivi, devant la Cour de Riom, par la justice du Maréchal Pétain pourfendeur de cette avancée.

En 1981, les premières années Mitterrand fixèrent la durée hebdomadaire du travail à 39 heures. Des conquêtes sociales auxquelles s'ajoutèrent des avancées sur la durée des congés (payés).

1998 vît donc l’arrivée des 35 heures dans une France fortement marquée par le chômage et la revendication sur le partage du travail. Revendication qui avait déjà conduit le gouvernement précédent (Juppé) à voter une loi sur la réduction du temps de travail (Loi Robien, 11 juin 1996).

En France, la durée annuelle du travail est passée de 2024 heures en 1960 à 1 434 heures en 2005. Le passage aux 35 heures y a accentué le rythme de diminution de la durée du travail par rapport à nos principaux partenaires. Entre 1998 et 2004 la durée annuelle moyenne du travail de l’ensemble des salariés a diminué au rythme annuel de 1 % en France, contre 0,1 % aux États-Unis, 0,2 % en Espagne, 0,4 % au Royaume-Uni et 0,9 % en Allemagne.

...contrairement aux autre pays

La durée moyenne hebdomadaire du travail des salariés à temps plein est passée passée en France de 40,7 à 35,7 heures entre 1980 et 2006. Les chiffres montrent que le temps de travail des salariés à temps plein a diminué par paliers sur cette période. En clair, c'est le vote des Français qui a provoqué les deux fortes baisses du temps de travail observées en 1981 et en 1998-2002. Ce sont en effet des lois promises et annoncées par la gauche qui ont été mises en oeuvre : le passage à 39 heures en 1981 et à 35 heures sur la période 1998-2002.

Ce volontarisme politique, assez rare dans le monde, donne à la structure du travail en France une particularité: les comparaisons montrent que si la durée moyenne annuelle du travail est plus élevée en France qu’en Allemagne ou qu’aux Pays-Bas, les observateurs notent que le temps partiel y est relativement peu développé par rapport à ces deux pays.

Selon Eurostat, la durée hebdomadaire du travail en 2007 de l’ensemble des actifs était de 37 heures en France, pour 37,3 heures dans l’Europe des Quinze. C’est presque une heure de plus qu’en Allemagne (36,2 heures), une heure et demie de plus qu’au Danemark (35,5 heures) et dans les pays nordiques, et presque cinq heures de plus qu’aux Pays-Bas (32,2 heures). La durée hebdomadaire du travail est également plus élevée en France qu’au Royaume-Uni où, après avoir fortement baissé, elle s’établit à 35,8 heures et surtout qu’aux Etats-Unis (33,7 heures).

En France, le taux de temps partiel est de 17 %, il s’élève à 33 % en Allemagne et à 46 % aux Pays-Bas.

Les partisans de la baisse du temps de travail trouvent dans ces chiffres la preuve que tous les pays ont d'une façon ou d'une autre mené une réduction de la durée du travail. Les exemples étrangers montrant, pour eux, que la réduction du temps de travail s'est faite de façon moins concertée.

Les observateurs notent que, en France, la baisse de la durée du travail s’est accompagnée d’un accroissement des heures supplémentaires.

35 heures: quel bilan ?

Catastrophe pour les uns, aubaine pour les autres, le débat sur le temps de travail, sur sa limitation, sur les heures supplémentaires est loin d'être réglé tant la nature des arguments peut s'opposer, selon qu'on soit dans le champ politique, social, économique ou sociétal.

»L'impact des 35 heures sur l'emploi a été examiné sous tous les angles. Ils convergent pour évaluer à 400 000 emplois environ leur effet net dans le secteur concurrentiel (hors hôpitaux et collectivités locales), comme le confirment des enquêtes de la Dares et de l'Insee. Les données macroéconomiques confirment ces résultats. La France a connu un véritable boom de l'emploi entre 1999 et 2000 (au moment où la réduction du temps de travail s'est faite) jamais connu dans l'histoire économique de notre pays, loin de là, même pendant les périodes de forte croissance. Ce boom ne peut s'expliquer autrement que par un effet décisif des 35 heures et des emplois-jeunes », écrivait Martine Aubry dans Alternatives Economiques en 2004. "Les créations d'emplois entre 1997 et 2002 ont été neuf fois supérieures à celles des vingt-cinq années précédentes (48 000 par an) et trois à quatre fois supérieures à celles des Trente Glorieuses (120 000 par an entre 1955 et 1973). La conjoncture internationale n'explique pas le caractère hors normes de cette accélération. En effet, les créations d'emplois ont été plus importantes que dans les autres pays européens, soumis à une même conjoncture: selon Eurostat, le taux de création d'emplois entre 1999 et 2001 a été de 50 % plus élevé en France que dans les autres pays européens (2,5 % par an, contre 1,6 %). Alors que la France en créait deux fois moins auparavant: 0,4 % en France entre 1995 et 1997, contre 0,8 % en moyenne dans les autres pays européens. De plus, les 400 000 emplois créés par les 35 heures ne comprennent pas les emplois indirects créés dans les secteurs du sport, des loisirs et du tourisme, par exemple. Certains les chiffrent de 40 000 à 50 000 emplois", ajoutait-elle.

A ces chiffres les partisans des 35 heures ajoutent des arguments d'ordres économiques (réorganisation de la production amenée par les négociations instituant les 35 heures et gains de productivité), sociaux (confort de vie entraîné par la réduction du temps de travail), sociétaux (boom des naissances depuis 1998 ?)...

Dans l'autre camp, les arguments ne manquent pas non plus. A commencer par l'argument politique qui consiste à dire que si les socialistes ont perdu en 2002 et 2007, les 35 heures n'y sont peut-être pas pour rien. Un argument qu'a su exploiter Nicolas Sarkozy lors de sa campagne avec son "travailler plus pour gagner plus" puisque l'une des conséquences de l'aménagement des 35 heures était la modération salariale. Mais la principale critique est d'ordre économique:

«L'idée la plus fausse en France, ça a été l'idée du partage du temps de travail. Le partage du temps de travail, c'est une erreur économique doublée d'un scandale social», a affirmé le président Sarkozy lors d'un déplacement en province consacré à l'emploi des seniors. «La vérité, c'est que plus il y a de gens qui travaillent, plus on crée de richesses, plus il y a de croissance et plus il y a de travail pour tout le monde»

Les autres arguments sont essentiellement d'ordre économiques (destruction d'emplois, selon certains; compétitivité internationale) ou liés à la baisse du chômage (coût de la main d'oeuvre, souplesse de la production). Ce n'est pas ici que ce débat sera tranché. Pour ce faire une idée sur les arguments opposés, voir les textes en liens.

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A la SNCF, où trois syndicats avait appelé à un arrêt de travail reconductible contre la réforme du fret, 6,5 % de l'ensemble des agents étaient en grève, selon la direction. La CGT et FO ont fait, elles, état de 30 à 37 % de grévistes chez les conducteurs et de 25 % chez les agents d'exploitation, seuls concernés par le mouvement.

y a m^me pas un communiqué sur le site de SUD qui appelait tous les services en reconductible ?

Je ne comprends plus rien.

Cette grève ne concernait que les personnels touchés? Dans ce cas, seuls ceux qui sont au fret seraient concernés par ce préavis.

Ces 3 OS ne sont même pas d'accord entre-elles. Comment veulent-elles mobiliser après...

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Je ne comprends plus rien.

Cette grève ne concernait que les personnels touchés? Dans ce cas, seuls ceux qui sont au fret seraient concernés par ce préavis.

Ces 3 OS ne sont même pas d'accord entre-elles. Comment veulent-elles mobiliser après...

koiquesse

Et en plus elles ne sont pas elles-mêmes d'accord avec les 4 autres qui ne sont elles-mêmes pas d'accord entre-elles bigbisous

et une 9ème joue les abonnées absentes... koiquesse

Le 17 journée d'action CGT CFDT SUD FSU (peut être FO)

Allez comprendre...

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Tu plaisantes j'espère, je suis en train de parcourir les 4 pages (déjà) de ce topic et je lis quoi, une auto-congratulation de la FGAAC qui n'est pas dans le mouvement et un manque évident de respect des collègues en grève sur lesquels vous crachez, toi et certains autres membres qu'il est évidemment inutiles de citer!

Toujours les mêmes qui redoublent d'activité sur le forum un jour de grève et qui doivent avoir une connexion wifi sur la machine à moins qu'ils soient restés au chaud à la maison au lieu de voler au secours de la veuve, de l'orphelin et de l'usager!

Allez à vous, faites-vous du bien, soulagez-vous!

Salut Pepe,

Je ne te connais pas, tu ne me connais pas et déjà tu m'agresses. Je répondais à une personne en lui exposant mon point de vue et visiblement tu as du lire certains passages rapidement. Je t'excuse, je le fais aussi. Cela dit, je ne pense pas avoir insulter quiconque. Je peux comprendre le fait que tu sois remonté mais je peux t'assurer que je ne me suis jamais fait autant "insulter" que depuis que j'ai adhérer à la FGAAC ! C'est une fois de plus, un constat personnel et en aucun cas une généralité. Ce qui me gène le plus c'est qu'avant de trés bons collègues venait me voir pour me demander mon avis sur certaine chose (roulement, etc...) car j'ai en général (sans aucunes autocongartulations ) une connaissance des dossiers et des règlements assez bonnes. 20 ans de boîte, une boîte qui me plait, que je ne veux pas voir couler connement à cause de guerres syndicalistes. J'ai retenu une chose de ces années, c'est que pour se battre, il faut au moins se syndiquer. Ceci sont importants dans la défense de notre outil de travail. J'ai choisi un syndicat que tu n'approuves pas, OK. Mais il n'en reste pas moins que le constat est là. Sans faire de mauvaise foi, cete grève n'est pas une réussite. A qui la faute ? Trés dur de définir les responsabilités.

Mon sentiment personnel est que les différentes stratégies personnelles (des OS) et l'individualisme ne nous servent pas !! (Les cheminots bien entendu et pas que les mécanos qu'on soit bien d'accord). J'ai ce défaut d'aspirer à cette grande famille qu'était la SNCF (même en étant à la FGAAC, comme quoi). Mais, je me répète, le constat est là. Sous couvert d'une non-unité ou pour tout autres raisons valables ou pas, les gens ne suivent plus les consignes syndicales. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont plus confiance dans la mauvaise foi et la guéguerre que se livrent nos OS ! C'est pas plus compliqué. Il suffit pour cela d'élargir son cercle de discussion aux autres pour le remarquer. Alors débattre, écouter et respecter les autres sont des qualités que certains n'ont pas.

Faire gréve n'a pas été jugé opportun pour 93,5 % des cheminots alors qu'ils étaient couverts (tous services pour SUD) par un préavis. Comment expliquer cela ? Peut-être que justement parce que les cheminots ont pensé autrement, que ce n'était pas le moment, qu'ils n'étaient pas des moutons de panure etc, etc .... Peut-être que les dirigeants des OS n'ont pas su écouter les attentes des cheminots ou peut-être avaient-ils d'autres objectifs ?

Toujours est-il qu'on est ridicule vis-à-vis de tous et la guéguerre continue !

Bonne journée quand même.

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Salut Pepe,

Je ne te connais pas, tu ne me connais pas et déjà tu m'agresses. Je répondais à une personne en lui exposant mon point de vue et visiblement tu as du lire certains passages rapidement. Je t'excuse, je le fais aussi. Cela dit, je ne pense pas avoir insulter quiconque. Je peux comprendre le fait que tu sois remonté mais je peux t'assurer que je ne me suis jamais fait autant "insulter" que depuis que j'ai adhérer à la FGAAC ! C'est une fois de plus, un constat personnel et en aucun cas une généralité. Ce qui me gène le plus c'est qu'avant de trés bons collègues venait me voir pour me demander mon avis sur certaine chose (roulement, etc...) car j'ai en général (sans aucunes autocongartulations ) une connaissance des dossiers et des règlements assez bonnes. 20 ans de boîte, une boîte qui me plait, que je ne veux pas voir couler connement à cause de guerres syndicalistes. J'ai retenu une chose de ces années, c'est que pour se battre, il faut au moins se syndiquer. Ceci sont importants dans la défense de notre outil de travail. J'ai choisi un syndicat que tu n'approuves pas, OK. Mais il n'en reste pas moins que le constat est là. Sans faire de mauvaise foi, cete grève n'est pas une réussite. A qui la faute ? Trés dur de définir les responsabilités.

Mon sentiment personnel est que les différentes stratégies personnelles (des OS) et l'individualisme ne nous servent pas !! (Les cheminots bien entendu et pas que les mécanos qu'on soit bien d'accord). J'ai ce défaut d'aspirer à cette grande famille qu'était la SNCF (même en étant à la FGAAC, comme quoi). Mais, je me répète, le constat est là. Sous couvert d'une non-unité ou pour tout autres raisons valables ou pas, les gens ne suivent plus les consignes syndicales. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont plus confiance dans la mauvaise foi et la guéguerre que se livrent nos OS ! C'est pas plus compliqué. Il suffit pour cela d'élargir son cercle de discussion aux autres pour le remarquer. Alors débattre, écouter et respecter les autres sont des qualités que certains n'ont pas.

Faire gréve n'a pas été jugé opportun pour 93,5 % des cheminots alors qu'ils étaient couverts (tous services pour SUD) par un préavis. Comment expliquer cela ? Peut-être que justement parce que les cheminots ont pensé autrement, que ce n'était pas le moment, qu'ils n'étaient pas des moutons de panure etc, etc .... Peut-être que les dirigeants des OS n'ont pas su écouter les attentes des cheminots ou peut-être avaient-ils d'autres objectifs ?

Toujours est-il qu'on est ridicule vis-à-vis de tous et la guéguerre continue !

Bonne journée quand même.

no comment revoltagesrevoltagesrevoltages;)okokokokokokokokokokokokokokokokokokokokokok okok

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depuis des lustres les fameux gars des triages "autres que désignés HUB" sont ceux qui trinquent le plus reorg apres reorg.

La plupart des gars au pied du mur constatent le changement.

Je suis d'accord avec ca, les agents de l'exploitation ont été pour l'instant les plus touchés par les suppressions de postes.

Apres la reforme du RH ... nous concernant.. ne ferait qu'officialiser ce qui existe deja en terme de souplesse. alors bon pourquoi pas? Pour ce qui est de la reduction de voilure... certes c est dur a encaisser... mais sur pas mal de sites comment nier que cette "reduction de voilure" se justifie par la baisse de taf?

Là je suis beaucoup moins d'accord, tu n'as pas du bien lire la proposition de la direction pour le RH, tu fais quoi des repos simple après 6 jours de taf, des Djs de 4h00 mini, de l'augmentation de l'amplitude, de la commande de tes horaires la veille pour tous les agents même ceux en roulement. revoltages

D'autre part, la baisse de charge n'est pas du à l'arrivée de la concurrence mais aux différentes stratégies de l'entreprise qui consiste à supprimer des postes, à fermer des gares au service Fret et à faire fuir les clients.

Il y a largement de la place pour toutes les EF.

Bon apres, le raisonnement de la plupart c est de se dire ... bon y a encore un peu de taf ... autant que je reste la ou je suis a faire ce que je sais faire. Si on coule... je fais koi? je pars a babel oued? Ma famille et la... ma vie associative est la? je fais koi ? Je demissionne? Je sais faire koi? ...

C'est justement le problème du moment. Ils sont en train de fermer tous les sites un par un profitant au départ des départs en retraite. Sauf que maintenant, il y a beaucoup moins de départ donc on commence à reclasser les agents. Mais bientôt il n'y aura plus de place pour reclasser les agents (les autres filières commencent aussi à dégraisser).

Crois-tu que si l'on ferme ton chantier, on va te demander ton avis?

Comme le stipule l'accord mobilité, on te donneras un premier choix si possible dans ta région (autrement dit si pas possible hors région) puis un second choix et si tu refuses les 2, ce sera une mutation d'office...

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ce que je ne comprends pas c'est qu'on a decaller une action nationale ( bien préparée côté CGT) équipement du 12 a cause du préavis de sud reconductible

cha va encore en démobiliser + ces conneries revoltages

y a m^me pas un communiqué sur le site de SUD qui appelait tous les services en reconductible ?

C'est FO qui a déposé le premier le prévis le vendredi suivi par la Cgt et Sud le lundi. Je précise que je ne suis pas militant à Sud mias ces geuguerres commencent à me courir. J'ai recu par mail de mon syndicat le même tract que tu as diffusé et j'en suis resté écoeuré.

Je me demande vraiment à quoi peut bien servir le fait de toujours casser du sucre sur l'un ou l'autre des syndicats. Je crois que cela fais fuir beaucoup d'adhérents potentiels plutôt que cela ne les attire.

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c'est là que j'ai découvert que c'était un faux........bien fait, j'ai presque failli me faire prendre..... revoltages

Cette reflexion est -elle utile pour défendre les intérêts des cheminots? Ou même pour te faire plaisir, seulement ceux des mecanos?

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une boîte qui me plait, que je ne veux pas voir couler connement à cause de guerres syndicalistes. J'ai retenu une chose de ces années, c'est que pour se battre, il faut au moins se syndiquer. Ceci sont importants dans la défense de notre outil de travail. J'ai choisi un syndicat que tu n'approuves pas, OK. Mais il n'en reste pas moins que le constat est là. Sans faire de mauvaise foi, cete grève n'est pas une réussite. A qui la faute ? Trés dur de définir les responsabilités.

Mon sentiment personnel est que les différentes stratégies personnelles (des OS) et l'individualisme ne nous servent pas !! (Les cheminots bien entendu et pas que les mécanos qu'on soit bien d'accord). J'ai ce défaut d'aspirer à cette grande famille qu'était la SNCF (même en étant à la FGAAC, comme quoi). Mais, je me répète, le constat est là. Sous couvert d'une non-unité ou pour tout autres raisons valables ou pas, les gens ne suivent plus les consignes syndicales. Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont plus confiance dans la mauvaise foi et la guéguerre que se livrent nos OS ! C'est pas plus compliqué. Il suffit pour cela d'élargir son cercle de discussion aux autres pour le remarquer. Alors débattre, écouter et respecter les autres sont des qualités que certains n'ont pas.

Toujours est-il qu'on est ridicule vis-à-vis de tous et la guéguerre continue !

revoltages Enfin une analyse qui ne consiste pas qu'à taper sur son voisin.

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Pourquoi critiquer cela. Tu as dit toi-même que les syndicats étaient libre d'agir et pouvait avoir des opinions différentes de leur fédé. bigbisous

Regarde bien le document (tout en bas) Teje => tu te rendras compte d'une énormité, il a été rédigé le 5 juin. Avant même que la grève ne commence, et après avoir lancé un appel à la reconductible, ils avaient déjà prévu la non reconduction à Bordeaux..

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C'est FO qui a déposé le premier le prévis le vendredi suivi par la Cgt et Sud le lundi. Je précise que je ne suis pas militant à Sud mias ces geuguerres commencent à me courir. J'ai recu par mail de mon syndicat le même tract que tu as diffusé et j'en suis resté écoeuré.

Je me demande vraiment à quoi peut bien servir le fait de toujours casser du sucre sur l'un ou l'autre des syndicats.

:blush:

Je crois que cela fais fuir beaucoup d'adhérents potentiels plutôt que cela ne les attire.

:blush:

bigbisous d'où une désaffection grandissante vis à vis des os ..............de toute sorte !

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Quand je lis le déchaînement de haine de certains pour tenter de justifier leur attitude de collabos, et leur jubilation malsaine devant le sois-disant échec de ceux qui ne veulent pas se laisser écrabouiller sans réaction,

....

Tu parles de déchaînement de haine et tu traites ces mêmes personnes de collabos, un terme qui nous viens directement de l'époque de Vichy.... bigbisous:blush:

A lire tes propos je sais d'où viens une haine envers ceux qui ne pensent pas comme toi, il est grand temps que tu reposes les pied sur terre et que tu apprennes a mesurer tes propos.

Heureusement pour certains forumeurs qu'il y a des grèves, ça leur permet d'augmenter leur compteur de messages!

Sans ça, il faut croire qu'ils n'auraient pas grand chose à raconter!

Ah, hier je n'ai pas pu répondre et faire tourner le compteur....je bossais :blush:

Tu plaisantes j'espère, je suis en train de parcourir les 4 pages (déjà) de ce topic et je lis quoi, une auto-congratulation de la FGAAC qui n'est pas dans le mouvement et un manque évident de respect des collègues en grève ...

La FGAAC n'a jamais appellée a ne pas faire greve....quand au respect envers les grevistes "tchouftchouf' nous en a donné un bel exemple.... mais c'est curieux, là tu n'as pas relevé .

En prenant mon service apres RHR, la greve peu suivie etait le centre des discutions et j'ai été surpris d'entendre a 3 reprises "que c'etait une greve politique" sans même que je ne donne ma position sur le sujet. Ce qui me rassure c'est que pas mal de cheminots commencent a ouvrir les yeux, j'espere que ce n'est pas passager et nos OS devraient en tenir compte a l'avenir....

Modifié par Vinces
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et toi?? çà te fais pas mal au cul de ressasser tjrs les mêmes vieilles rencoeurs anti FGAAC.....applaudis par les mêmes cocos en mal du passé.....

Et là il n'y a pas dans ton post des vieux relants anti-communistes???

Et dans les autres posts, il n'y a pas de la part de certains membres du forum (quand on voit les messages) des vielles rancoeurs anti-grèves, anti-cgt/sud et compagnie?

Modifié par nicopasta
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Tu parles de déchaînement de haine et tu traites ces mêmes personnes de collabos, un terme qui nous viens directement de l'époque de Vichy.... bigbisous:blush:

A lire tes propos je sais d'où viens une haine envers ceux qui ne pensent pas comme toi, il est grand temps que tu reposes les pied sur terre et que tu apprennes a mesurer tes propos.

Ah, hier je n'ai pas pu répondre et faire tourner le compteur....je bossais :blush:

La FGAAC n'a jamais appellée a ne pas faire greve....quand au respect envers les grevistes "tchouftchouf' nous en a donné un bel exemple.... mais c'est curieux, là tu n'as pas relevé .

En prenant mon service apres RHR, la greve peu suivie etait le centre des discutions et j'ai été surpris d'entendre a 3 reprises "que c'etait une greve politique" sans même que je ne donne ma position sur le sujet. Ce qui me rassure c'est que pas mal de cheminots commencent a ouvrir les yeux, j'espere que ce n'est pas passager et nos OS devraient en tenir compte a l'avenir....

Pour toi qu'est-ce une grève politique? Parceque pour moi toutes les grèves sont quand meme un peu politique...

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et toi?? çà te fais pas mal au cul de ressasser tjrs les mêmes vieilles rencoeurs anti FGAAC.....applaudis par les mêmes cocos en mal du passé.....

Et là il n'y a pas dans ton post des vieux relants anti-communistes???

Et dans les autres posts, il n'y a pas de la part de certains membres du forum (quand on voit les messages) des vielles rancoeurs anti-grèves, anti-cgt/sud et compagnie?

Je ne comprends pas ton message , c'est pour moi ? si c'est le cas il n'y a aucune honte a etre anti-communiste surtout lorsque tu voies la façon dont le communisme a reduit les hommes et le femmes en "quasi-esclavage" en leur interdisant;

- le liberté de culte

- le liberté d'expression

- la liberté tout court.

On peu détailler si tu veux mais je ne penses pas que ce soit la peine...

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Je ne comprends pas ton message , c'est pour moi ? si c'est le cas il n'y a aucune honte a etre anti-communiste surtout lorsque tu voies la façon dont le communisme a reduit les hommes et le femmes en "quasi-esclavage" en leur interdisant;

- le liberté de culte

- le liberté d'expression

- la liberté tout court.

On peu détailler si tu veux mais je ne penses pas que ce soit la peine...

Non ce n'est nullement pour toi! je me suis seulement planté quand j'ai rédigé mon message je citais une autre personne qui parlait de certaines rancoeurs "anti-fgaac". c'est tout.

Quand à ta version du communisme c'est celle de l'URSS, de la Corée du Nord et compagnie... et ce n'est pas ma conception du communisme, enfin bon ce n'est pas le sujet, n'est ce pas???

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Non ce n'est nullement pour toi! je me suis seulement planté quand j'ai rédigé mon message je citais une autre personne qui parlait de certaines rancoeurs "anti-fgaac". c'est tout.

Quand à ta version du communisme c'est celle de l'URSS, de la Corée du Nord et compagnie... et ce n'est pas ma conception du communisme, enfin bon ce n'est pas le sujet, n'est ce pas???

parce toi t'es le type coco Gayssot?? coco Fiterman??? bigbisous

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La FGAAC n'a jamais appellée a ne pas faire greve....quand au respect envers les grevistes "tchouftchouf' nous en a donné un bel exemple.... mais c'est curieux, là tu n'as pas relevé .

Si tu parles du terme "collabos", il n'a en effet rien à faire ici!

Je condamne ce propos, ça te va?

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Smiley_30.gif d'où une désaffection grandissante vis à vis des os ..............de toute sorte !

Salut ! A NON aujourd'hui je suis bien cotent de cotiser pour la Fgaac..... :blush: :blush: :blush:mdrmdr

je sors..... bigbisous

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