http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/23700594

La police a enfin pu éclaircir l’énigme. Les voleurs, une bande venue de France, parvenaient à pénétrer dans les wagons-couchettes en gare de Lausanne. Arrivés à Brigue, les malfrats quittaient le train et revenaient vers le Léman en prenant le convoi retour, tout aussi riche en clients à dépouiller.

Ils sont lents à comprendre les suisses.

Chez nous dans les années 90 les bandes écumaient les trains de nuit du sud-est entre les arrêts de service d'avignon et lyon-perrache, en plus les plages horaires étaient parfaitement adaptées à leur activité (0h30/3h30 dans le sens montant, 3h30/6h30 dans le sens descendant). Rien de neuf.

Modifié 24 janvier 201411 ans par cc27001

Il aurait suffit de mettre en place une surveillance de ces trains durant leurs arrêts techniques pour comprendre que des gens mal intentionnés montaient dedans...pour en descendre plus loin à une autre gare...Bref sans les appels téléphoniques, ils chercheraient encore..Mais évidemment cela demande des moyens en personnel..

Il aurait suffit de mettre en place une surveillance de ces trains durant leurs arrêts techniques pour comprendre que des gens mal intentionnés montaient dedans...pour en descendre plus loin à une autre gare...Bref sans les appels téléphoniques, ils chercheraient encore..Mais évidemment cela demande des moyens en personnel..

Ca doit couter cher.....

il suffisait que les contrôleurs jettent un oeil sur le quai

Ca doit couter cher.....

...mais la Suisse est riche.

Il y a une solution plus simple: plus de trains de nuit, plus de pillages!

il suffisait que les contrôleurs jettent un oeil sur le quai

Pour un train arrêté 1h à quai?

Sans parler du fait qu'il n'y a pas d'agent CFF en dehors du mécano.

il suffisait que les contrôleurs jettent un oeil sur le quai

A Valence, à Lyon, et surement ailleurs, ils n'hesistaient pas à monter à contre voie. L'act sur le quai (et encore comme c'est des arrets de services pour relais d'éuipe) n'y voit pas grand chose.

Vers 1998/2000 les act se partageiant la surveillance, l'un regardant à contrevoie au moment de l'arrêt. Mais bon, sur un arrêt de 10 mn parfois pour un train de 16 voitures, c'était un peu léger.

Vers 1998/2000 les act se partageiant la surveillance, l'un regardant à contrevoie au moment de l'arrêt. Mais bon, sur un arrêt de 10 mn parfois pour un train de 16 voitures, c'était un peu léger.

et le mieux fût de supprimer les arrêts voir les trains circulant...comme ça plus d'agression plus de surveillance......

Bonjour

Il me semblait que les gares étaient fermees la nuit donc les pilleurs entraient aussi dans la gare par des moyens illégaux alors

Bonne journée

Les bâtiments ferment, pas les quais.

Et Lausanne reste, par exemple, ouverte toute la nuit.

La FNAUT propose dans son étude sur les trains Intercités des préconisations pour sécuriser les trains de nuit :

http://www.fnaut.fr/actualite/etudes-et-debats/290-trains-intercites-longue-distance-l-analyse-de-la-fnaut

Parce qu'effectivement avec des voitures Corail dont la totalité des portes se déverrouille en deça de 10-15 km/h, c'est potentiellement "open-bar" pour les pilleurs si plusieurs arrêts (commerciaux ou de service) sont effectués en pleine nuit.

Cordialement,

Si les portes restent fermées aux arrêts de service, les fumeurs enragés vont faire des malaises.

Si les portes restent fermées aux arrêts de service, les fumeurs enragés vont faire des malaises les déverrouiller en actionnant l'ouverture d'urgence.

Bah en même temps le contrôle des portes par le câble UIC, ça existe. On peut déverouiller les portes à quai, et former une partie du personnel des voitures à la surveillance. Je dis bien à la surveillance, pas aux taches de police.

Bonjour

Et on ne peut pas avoir un système qui ferme les portes de l extérieur mais pas de l intérieur ? ( un peu comme les barres anti panique des issues de secours par exemple )

Bonne journée