zorba

Elle se fatiguait pas trop avec trois voitures à tirer.

G. Pépy n'a pas été choqué du racket orchestré par Vinci lors de la mise en exploitation de la LGV Tours - Bordeaux où SNCF perd un "un pognon de dingue" également pour financer les péages. Silence dans les rangs, le chef a toujours raison.

Qu'est ce qui peut justifier l'installation de l'IPCS alors que les trois voies ne semblent pas saturées, eu égard au trafic marchandises résiduel de et vers Les Aubrais et les convois de céréales qui se font de plus en plus par camions directement des fermes aux usines ou aux ports de l'ouest?

Trop propres les voies, il faut ajouter de la végétation, ça fera plus écologique et moderne.

À une époque, SNCF avait expliqué ces choix de matériels TGV sur l'axe Paris Nord Lille en avançant que les trajets étaient courts, moins exigeants en performance vu la platitude du paysage et que la fraude étaient importante et qu'il est difficile de contrôler les "usager" qui voyageaient surclassés ou sans titre de transport valide. La situation a-t-elle évolué avec la mise en place des contrôles avant l'embarquement? Les dernières fois où j'ai fait le trajet Paris Nord -Dunkerque par Lille, aucun contrôle à l'embarquement, aucun contrôle dans le train et ... sortie libre protégé par un cheminot pour traverser les voies en gare de Dunkerque, gare en cul-de-sac non équipée d'un passage souterrain ou aérien.

Sur qu'en tirant 5 voitures Corail en plaine à 160 km/h, elles vont durer encore un moment avant de faire les dernières remontes de trains dans les gares parisiennes.

Cette conclusion méprisante mérite d'être justifiée par des faits avérés; à mon sens, ce sont des voleurs relevant de la justice, rien de plus!

Regarde sur leboncoin.fr, on y trouve tout et des surprises.

Après le temps du succès, survient le temps des échecs, c'est souvent le cas dans le monde industriel et technologique quand "on" a été en avance. L'absorption ratée d'Alstom par Siemens devrait même inciter à la prudence quand à l'avenir de la filière française, filière n'ayant pas vraiment connu de réussite hors hexagone et toujours sous la menace de son concurrent continental.

Pas pour longtemps, les développeurs indiens, bilingues anglais, vont venir faire le ménage dans les salons 2.0 de l'industrie informatique européiste. Pour le moment, le développement (la programmation) est réalisée en Inde avec des chefs européens (anglais, allemands et français), mais bientôt, les sociétés d'informatique feront tout étudier et développer en Inde. Si par dessus le marché, l'UE ou la Commission européenne de JC. Druncker, bricole en cachette, et sans tenir compte de l'opposition d'un gouvernement national(iste) comme celui de Macron pour le TAFTA actuel, un accord de libre échange avec l'Inde, les SSII locales vont voler en éclats, et les emplois avec. Libre concurrence non faussée!

Ils ont certainement eu peur d'être envahis par les russes et ont pris les devants en émigrant pour se trouver en sécurité et améliorer leurs conditions de vie.

On est rassuré, les élus sont prudents et disposent de l'expérience en la matière.

C'est une des grandes réussites de l'Union européenne, réussir l'Europe sociale et la libre concurrence, non faussée. Après tout, si les roumains veulent venir faire valoir leurs compétences dans le ferroviaire et en PACA, ils disposeront avec l'ouverture à la concurrence des lignes TER-PACA de possibilités d'emploi et de salaires dans une des régions où il ne fait pas mauvais vivre. Probablement avec de meilleures conditions que dans leur pays d'origine où ils récupèrent les reliques de SNCF.

Avec 486,38 euros pour un loyer, à Paris tu trouves probablement une chambre de bonne de 12 mètres carré au 6ème sans ascenseur dans le fin fond du XIXeme et le propriétaire exigera un salaire de 1,5 SMIG minimum! Un paradis pour les roumains, bulgares et polonais...de préférence bac +4 ou 5 dans leur pays.

Comparer les SMIG hongrois ou roumains au SMIG français n'est pas une démonstration, il faut aussi comparer les prix d'achats des biens et des services, ainsi que celui du logement pour être honnêtes, sans oublier les impôts en tous genres qui plombent les revenus. Jamais, je n'ai exprimé l'intention d'adopter le modèle roumain, rejetant également les modèles dits de référence.

Les 22200 vont circuler pendant encore combien d'années? Certaines doivent commencer à donner des signes d'usure, même si leurs services sont moins durs maintenant avec le tout TGV et les automotrices pour l'essentiel des TER.

Les entreprises françaises qui font des "affaires" en Roumanie ne se plaignent pas des roumains, leurs affaires sont en croissance régulière et les problèmes sociaux n'y sont pas plus nombreux ni plus tendus qu'en France. Les affaires sont les affaires et les roumains semblent bien profiter des aides de l'Europe et voient leur niveau de vie progresser régulièrement. Le modèle roumain n'est pas pour autant un exemple à suivre, comme ne l'est pas d'avantage le modèle allemand si souvent cité par les européistes et les libéraux pour préparer la baisse des salaires et les mesures économiques pour améliorer les performances des entreprises. En économie libérale, il n'y a pas de pitié, seulement des luttes pour survivre en dominant.

Si SNCF a du matériel à vendre (ou à louer avec Akiem), la bonne gestion de le vendre le plus cher possible sans regarder l'acquéreur. Si une EF concurrente se lance dans l'achat d'occasion c'est probablement après étude de rentabilité, toutes opérations d'entretien et d'exploitation comprises, lui assurant rentabilité et profits, ce que SNCF ne sait (parler belge) pas faire. Les usagers voyageant dans des matériels apprécieront et disposeront de leurs bulletins de vote pour la suite à donner aux EF retenues par les élus régionaux. C'est le sens des "réformes" ferroviaires voulues par l'Union européenne, réformes approuvées directement et indirectement par le peuple français en donnant des majorités régionales (PACA, Hauts de France et Grand Est par exemple) et nationales (2017 Macron) pour la mise en oeuvre rapide conformément aux programmes des candidats.

Anvers premier port français : il suffit de regarder la géographie pour comprendre cette position dans le classement. Le pays est tout plat, traversé par de grands fleuves tous navigables à peu de frais avec de forts tirants d'eau et disposant de canaux grand gabarit, avec une forte densité de population liée à l'histoire industrielle et commerciale de cette partie de l'Europe. Sur que les ports de la Rochelle, Cherbourg et même de Toulon ne disposent pas du même potentiel, même bien desservis par des trains de compagnies ferroviaires n'ayant pas embauché de grévistes, il n'y aura pas beaucoup de clients "lourds" aptes au ferroviaire dans leur arrière pays. Il serait également intéressant d'étudier l'évolution des parts modales au port d'Anvers sur les 25 dernières années, le ferroviaire ne doit pas être à la fête, il suffit de voir le nombre de camions sur les autoroutes pour imaginer ses difficultés et pressentir son déclin. Grèves ou pas grèves.

Si SNCF peut les vendre plus cher qu'en Roumanie, je ne vois pas le problème.

Pourquoi pas récupérer les "vieux" trains de SNCF et les retaper comme le font les roumains? Quant au service boissons chaudes - l'hiver et fraîches - l'été, faut pas trop rêver, faire circuler un vendeur ambulant dans des trains bondés ou se rendre dans un coin bar relèvera de l'exploit...Toutes ces offres sont démagogiques. Faire des trains propres, à l'heure sera déjà une amélioration. Allez au-delà quand l'essentiel sera acquis, pas avant.

Je n'ai jamais vu ces dispositions s'appliquer aux condamnés "Catégorie Cahuzac". La justice est trop lente pour ce genre d'affaires, ce qui n'est pas le cas avec les condamnés des derniers weekends où tout va très vite.

Voici un article du journal Le Monde, journal de référence s'il en est : Fraude fiscale : Jérôme Cahuzac condamné à quatre ans de prison, dont deux avec sursis L’ancien ministre, qui avait reconnu en 2013 avoir un compte caché, ne bénéficiera pas d’une remise de peine automatique. Par Pascale Robert-Diard Publié le 15 mai 2018 à 14h24 - Mis à jour le 16 mai 2018 à 11h15 La cour d’appel de Paris a rendu, mardi 15 mai, un arrêt qui aggrave symboliquement la condamnation de Jérôme Cahuzac de trois à quatre ans d’emprisonnement, mais l’assortit de deux ans avec sursis – ce qui réduit la partie ferme de trois à deux ans. La peine de l’ancien ministre de l’économie et des finances, reconnu coupable de fraude fiscale et de blanchiment de fraude fiscale, passe ainsi en dessous du quantum qui l’aurait automatiquement envoyé en prison. Depuis les lois de 2004 et 2009, les personnes condamnées jusqu’à deux ans d’emprisonnement peuvent en effet échapper à l’incarcération en bénéficiant d’un aménagement de peine. Suivant votre situation, la justice française est plus ou moins compréhensive, ce qui est juste à l'égard des élites qui dirigent le pays.

Les jeunes choisissent les emplois procurant les meilleurs salaires avec les meilleures conditions de travail. l'industrie n'est plus attractive depuis des année avec l'européanisation et la mondialisation qui met les entreprises françaises en concurrence avec les industries délocalisées dans la pays à bas salaires (Allemagne incluse) et les rend précaires avec pour axe de survie, la baisse des salaires, la flexibilité et au final, plans sociaux après plans sociaux, la fermeture. Sans aucune hésitation, les jeunes avisés choisis les métiers modernes mis en valeur par le libéralisme, métiers de la communication, de l'internet et du commerce de préférence international, sans oublier les tourisme et ses voyages et la restauration qui manque aussi de cuisiniers et de serveurs Pour s'en convaincre, il suffit d'avoir entendu à plusieurs reprises un ancien PDG de SNCF (L. Gallois), déclarer que SNCF achètera des locomotives (et des TGV) 'on the shelf', prêtes à l'emploi, sans avoir besoin de laboratoires d'études très coûteux en salaires ni d'accords avec des industriels "français" tels qu'Alsthom selon l'orthographe de l'époque. L'exemple des locomotives Siemens BR186 qui sillonnent l'Europe d'est en ouest et du nord au sud montre qu'il est tout fait prudent et économique d'acheter ces matériels plutôt que ceux fabriqués par Alstom (BB 27000) qui ont été vendues compte gouttes, quasiment exclusivement en France et bien au-delà des besoins réels pour le fret ferroviaire. L'exemple de l'échec commercial de l'Airbus A380 montre aussi les limites de l'industrie française fabriquant d'excellents produits, trop chers, mal adaptés aux exigences des acheteurs internationaux, limites quui ont été fixées souvent dans le cadre d'aides publiques anti libre concurrence comme le font valoir les compétiteurs industriels outre Atlantique. La situation actuelle de l'industrie française n'est pas un hasard, c'est le résultat des choix des gouvernements français choisis démocratiquement par le peuple français.

Trop vague, des noms et des dates en face.