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l'avenir du ferroviaire avec Spinetta
un sujet a répondu à Inharime dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Cela c'est parce que le rapport Spineta est uniquement destiné à flinguer la SNCF et son personnel. Il a sans doute été jugé prudent de ne pas mettre les deux entreprises dans le même panier le gouvernement ne souhaitant certainement pas une grève simultanée à la SNCF et à la RATP. -
l'avenir du ferroviaire avec Spinetta
un sujet a répondu à Inharime dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Les sections de ligne du RER A et du RER B exploités par la RATP ne font pas partie du RFN (Réseau Ferré National). En outre les élucubrations de Spineta ne concernent que la SNCF. La RATP est donc (provisoirement?) hors sujet. -
l'avenir du ferroviaire avec Spinetta
un sujet a répondu à Inharime dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Ben si, certaines boites (et certainement plus qu'on ne croit) fonctionnent avec pratiquement que des cadres (ingénieurs) et agents de maitrise (techniciens) parce que toutes les fonctions subalternes sont confiées à des sous traitants. La SNCF fait de même et de plus en plus de boites privées assurent le nettoyage, le gardiennage, l'entretien et plein d'autres choses encore qui avant étaient effectuées par du personnel d'exécution de la SNCF. En outre si certains agents de maitrise et de cadres ont effectivement ce titre ils sont loin d'en avoir le salaire comparativement à ceux du privé. -
l'avenir du ferroviaire avec Spinetta
un sujet a répondu à Inharime dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Ben oui, c'était pas le but, là il fallait seulement "casser" l'entreprise et son personnel. -
Tu voudras bien accorder à certains le droit de regretter cette évolution voire de la contester Le réseau ferroviaire a déjà été réduit de plus de la moitié de ce qu'il a été à son apogée et chaque année il est encore amputé de plusieurs dizaines de kilomètres. Il me semble normal que ceux qui sont attachés à ce mode de transport s'inquiètent de cette évolution et se demandent jusqu'où elle ira. Sans doute faible compte tenu du service qu'il rendrait et de sa durée de vie.
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Tu devrais proposer tes services à la SNCF... Tu ne prendrais peut être pas LA bonne décision aux yeux des voyageurs mais au moins tu devrais savoir pourquoi
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Les attributions sont restées mais le personnel a disparu. Combien reste t'il d'hommes d'équipe ou de cantonniers?
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Je doute que tu accepterais de vivre comme la majorité des africains (même retraité des chemins de fer)...
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Aujourd'hui il est possible de construire des immeubles de plusieurs étages en bois, le béton n'est plus la solution obligatoire et si on construit dans une zone inondable il suffit que le ré de chaussée ne soit pas à usage d'habitation. Bien sûr c'est moins juteux pour les promoteurs et ça bouscule les habitudes (voire même les règles d'urbanisme) mais la récurrence des crues entraînera peut être une évolution des mentalités.
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Pour que les choses soient bien faites il faut les faire dans le bon ordre. Partir à l'heure de la gare origine me semble un bon début; ensuite, à chaque jour suffisant sa peine, la suite arrivera en son temps...
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Réponse en MP pour ne pas persister dans le HS (Assouan ).
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Pour l'extension de Nextéo il va falloir faire un appel aux dons. Quant à aller voir ailleurs quand une infrastructure est saturée elle l'est pour tous (sauf favoritisme bien sûr). Cela dit tu as raison, lorsque le privé sera en place et comme il est fort probable que les autorités de tutelle seront plus attentive à ses besoins, l'amélioration de l'infrastructure deviendra vraiment une priorité.
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Quelques petites observations: - la création des voies rapides sur le nord a été réalisée par la Compagnie des chemins de fer du Nord. Ses relations avec l'Etat ne devaient pas être celles que connaît la SNCF aujourd'hui. Je ne sais pas si à cette époque un(e) quelconque ministre des transport se serait permis d'en convoquer le directeur. Les termes devaient être plus "fleuris". - tous les projets présentés par la SNCF, même "échenillés", sont systématiquement jugés trop couteux et il faut sans cesse les retravailler pour qu'ils aient une chance d'être enfin acceptés (j'ai connu cela pour EOLE, la gare CDG2, celles du Stade de France et bien d'autres projets). -l'exemple de St Michel Notre Dame est symptomatique du dénigrement habituel dont la SNCF fait l'objet (en son temps le Canard avait publié un article dont la virulence n'avait d'égal que la mauvaise foi). Construite dans un environnement particulièrement contraint (tant en longueur qu'en largeur ou en hauteur) il me semble qu'il n'a pas été possible de faire mieux que ce qui a été réalisé. Mais je ne suis pas architecte... Ben oui, mais quand on n'a pas les moyens de ses ambitions on se contente des ambitions de ses moyens... et sauf erreur il y a (encore?) du fret qui traîne par là.
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Lorsqu'une section de ligne est parcourue par des courants de trafic différents se pose, outre le problème de l'équipement "sol", celui des engins moteurs. S' il est (relativement) facile d'équiper un parc dédié cela s'avère beaucoup plus difficile pour un parc bien plus nombreux et diversifié dont certains éléments ne circulent que de façon épisodique. On se heurte là à l'éternel débat coût/rentabilité/résultats qui conduit toujours à une solution intermédiaire qui ne satisfait vraiment jamais personne.
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Lorsqu'il s'agit de chemin de fer il manque toujours 4 francs pour faire cent sous et les dépenses (pour autant que l'on obtienne le budget) sont limitées au strict minimum. Dans les cas que tu cites la mise en place d'un système d'exploitation (jugé) performant est donc limitée aux sections de lignes qui devront supporter le trafic le plus dense. Au-delà "on" estime que les équipements actuels sont suffisants compte-tenu des fréquences envisagées. Pour ce qui est de l'harmonisation du parc de matériel roulant il y a déjà eu une amélioration (sur la ligne H par exemple l'époque où on mélangeait allègrement des VB2N avec des RIB et des Z6100 est révolue) mais est, là aussi, fonction des moyens financiers.
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Les "arrêts sans arrêt" ou "arrêts métro" étaient appliqués lorsque les horaires banlieue étaient tracés à la minute, et permettaient de "coller" au plus près de la réalité du terrain. Une gare se voyait affectée d'un "arrêt sans arrêt" la suivante ayant "droit" à un arrêt d'une minute ce qui équivalait à 30 secondes par gare et évitait d'avoir des horaires trop détendus. Entre Paris et Creil par exemple cela représentait un gain de 5 minutes sur le temps de parcours global. Lorsque les arrêts ont été tracés à la 1/2 minute cette pratique a naturellement disparu (normalement...). L'apparition de l'outil CHAO (conception des horaires assistée par ordinateur) qui permettait un tracé à la seconde (et son expression aux 10 secondes) a donné aux horairistes la possibilité d'encore mieux moduler la durée des arrêts (entre Paris et Creil, Bernadette, "mon" horairiste préférée modulait ceux-ci de 20 secondes à plus d'une minute selon les gares et l'affluence). Plus tard lors de la réécriture de la fiche OT (organisation du travail) dont j'ai oublié le numéro qui fixait les conditions de tracé des horaires des trains de banlieue un cadre hautement supérieur a exigé et obtenu que la durée des arrêts ne soit pas inférieure à 40 secondes (régularité oblige...). Ensuite je suis allé surveiller la croissance de mes radis dans mon jardin de Picardie et RFF est arrivé. Mais ceci est une autre histoire.
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A l'époque où j'émargeais (modestement) au budget de la SNCF les horaires des trains de la banlieue parisienne (ancêtres des Transiliens)étaient tracés à la décaseconde et repris comme tels sur les documents d'application (fascicules horaires et recueil horaires banlieue) destinés au personnel. Pour le public (indicateurs horaires, affiches, tableaux en tous genres et autres moyens d'information) ces horaires étaient arrondis à la minute, minute inférieure pour les heures de départ de la gare origine, d'arrivée et de départ pour les gares intermédiaires et minute supérieure pour l'heure d'arrivée au terminus (ben oui, il faut penser à tout...) Dans les années 80 (du vingtième siècle) lorsque j'étais horairiste "marchandises" ("fret" n'existait pas encore) je traçais certains horaires (essentiellement les trains de messageries circulant à 120 km/h ou plus) à la demie minute. Mais là il n'était pas nécessaire de traduire pour le public .