CGO

C'est toi qui fait du complotisme, j'ai déjà répondu à ADC01 : des conseillers financiers. Quand tu montes une boite que ce soit EF, ou n'importe quoi, tu fais réaliser un audit par des experts qui vont te dire si oui ou non ton projet est viable ( et accessoirement les banques qui vont te prêter de l'argent ( ou pas) font également un audit) Alors "quels conseillers, quelle officine" , tu prends ton annuaire et tu cherches à "Experts comptables", tu devrais en trouver quelques uns ...

Des conseillers financiers qui vont juger de la pertinence économique du projet...

Il n'y a qu'un seul moyen pour développer les EF, c'est faire en sorte que comme toutes entreprises, elles puissent espérer dégager un excédent d'exploitation. Et à priori, il y a bien des pays où c'est possible, mais ça ne semble pas le cas en France. En d'autres termes si un entrepreneur avait le désir de faire du "train de voyageurs" on lui conseillerait probablement d'éviter la France comme la peste...

En l'occurrence, le sujet c'est une entreprise qui s'appelle "Le train" Quelqu'un fait la remarque que c'est la même chose que la DB ( Die Bahn) Mais à priori, je n'ai pas le droit d'émettre l'opinion que Bahn fait, selon moi, plutôt référence à l'infrastructure, qu'au truc qui roule dessus (Zug) "la discussion doit strictement et uniquement portée sur le titre du sujet ouvert" Elle est affichée quelque part cette règle ? Et lorsqu'on discute de la signification de la marque "Le Train" dans une discussion dont le titre est "Le Train" , est on vraiment hors sujet ?

C'est pas le propre d'un forum de discussion ?

Comme en français ça peut être "la voie" -ferrée - routière ou autoroutière -spirituelle, mais aussi : "die Bahn des Satelliten berechnen" calculer l'orbite du satellite Donc comme en français significations multiples, mais encore plus en Allemand qu'en français

Comme beaucoup de mots allemands les significations sont multiples... Die Bahn , ça peut être aussi "La Voie" (à suivre !)

J'ai du mal à comprendre, on peut souhaiter Joyeuses Pâques à nos compatriotes Chrétiens, mais pas à ceux des autres religions du Livre ?

Pas de jaloux ! On peut également souhaiter une joyeuse Pessa'h à nos compatriotes juifs et un Joyeux Ramadan à nos compatriotes musulmans !

Ma théorie (*) vaut ce qu'elle vaut, elle est toujours moins dangereuse que ton appel à la violence ! La violence engendre toujours des drames et devient souvent incontrôlable ! (*) Paris Match : Sur le retour, le convoi présidentiel est bloqué dans les embouteillages. Des manifestants courent après les véhicules. Trois hommes du GSPR (Groupement de sécurité de la présidence de la République) protègent à pied le véhicule blindé dans lequel se trouve Emmanuel Macron. Un manifestant arrive même à taper sur la vitre arrière de la voiture du chef de l’Etat. «J’avais la haine», témoigne-t-il. «S’il était descendu de sa voiture, sans service d’ordre comme il avait, je pense qu’il aurait été lynché. Il a vraiment pris conscience qu’il avait tellement poussé les gens à bout que sa vie était en danger», analyse un autre gilet jaune de Haute-Loire https://www.parismatch.com/actu/politique/comment-lelysee-vecu-le-plus-fort-de-la-crise-des-gilets-jaunes- Donc oui, il a eu très peur ce jour là, (n'importe qui aurait eu peur !) Depuis, il en a tiré les leçons, ses déplacements ne se font plus avec 10 voitures d'escorte, mais près d'une cinquantaine, et il y a cette curieuse commande de blindés Centaure anti émeutes de gendarmerie, dont certains sont équipés de mitrailleuses. "Donc il avait peur, mais maintenant plus." On va dire que maintenant, il a encore plus peur, mais qu'il a pris des précautions supplémentaires..

On ne sait pas trop si tu plaisantes où si tu es sérieux ! Il y a une autre voie que la violence, c'est la démocratie et demander son avis au peuple par des référendums (comme en Suisse !) Tu sautes un peu rapidement à la conclusion, les gilets jaunes c'est un mouvement que, dans son arrogance et sa suffisance, le chef de l'Etat n'a pas été capable de voir venir ni de décrypter, il a eu très peur et a lâché les millions. La réforme des retraites beaucoup pensent qu'elle est imposée à Macron, (par la finance, l'UE, la caste dirigeante), donc que ça lui plaise ou non il doit la faire, pour obéir à ses maîtres. Donc toi tu penses que la différence entre manifestations GJ et réforme des retraites, c'est la violence, moi je pense que Macron a eu la trouille des GJ et que ses maîtres l'ont autorisé à régler le problème en faisant des chèques et que s' il ne cède pas sur la réforme des retraites car c'est dans son agenda et il s'en fout d'être impopulaire et de mettre le pays à feu et à sang, puisque pour le coup lui il prend sa retraite dans 4 ans avec un énorme paquet de pognon...

Доброго времени суток товарищи! (Comme aurait dit mon grand père Russe, né à Odessa...)

Poutine ne dirait pas le contraire 😄

On retombe sur la problématique du manque de moyens attribués par le propriétaire du réseau, l'Etat. Le problème c'est qu'à la tête de l'Etat, nous avons des gens, médiocres, plus préoccupés de leur réélection et de leur petite personne que du bien public... Dans ces conditions ils vont affecter en priorité les crédits à ce qui va favoriser leur élection et c'est pas forcément ce qui va améliorer (ou même maintenir) le quotidien...

Mais est ce que c'est, ce que j'ai dit ? Je dis simplement que les dirigeants SNCF font ce qu'ils peuvent avec les moyens (faibles) qu'on leur donne. Evidemment, qu'on peut améliorer la régularité et la vitesse des trains, en rectifiant les courbes et les profils, en remplaçant les appareils de voie, mais ça ça dépend de ceux qui distribuent (ou non) les crédits...

C'est quoi pour toi les cheminots ? Juste les agents d'exécution ? Ceux là ils sont contre les suppressions de poste, et c'est bien normal, mais il y a aussi certains cadres qui de tout temps ont cherché à augmenter la productivité, et ce sont bien des cheminots aussi, même s'ils sont souvent détestés par la base...

Mais qu'est ce que c'est que ces pièges à la noix ? ! C'est toi qui parles d'automatisation, en sous entendant que je ne serai pas un vrai cheminot : "Les vrais cheminots ne luttent pas pour automatiser leurs collègues." Donc je réponds : si les vrais cheminots luttent pour augmenter la productivité de leur entreprise, même si ça passe par des suppressions de postes, et la Suisse a montré la voie en ce domaine. Mais c'est vrai que c'est un piège, je n'ai que deux possibilités: -je réponds pas , donc j'admet par défaut que je ne suis pas un vrai cheminot -je réponds et on me sort le hors sujet... Ce serait bien d'arrêter les attaques "ad hominem" indignes d'un vrai débat d'idées..

Les vrais cheminots luttent pour que leur outil de travail reste pertinent, économiquement, même si ça passe par des points d'arrêt sans personnel, des trains EAS, voire GOA4. Tu devrais savoir ça, puisque la Suisse appliquait déjà ces méthodes à l'époque où en France des lignes étaient exploitées jusqu'à la fin avec un agent par point d'arrêt, et deux agents par train (ou même 3, trains à vapeur) jusqu'à la veille du transfert sur route .

Les vrais manifestants ne sont pas violents ! En revanche, on a des noyaux durs de jeunes bourgeois, extrêmement violents, qui sont là pour casser du flic. Et comment, selon toi, la police doit procéder pour les arrêter sans utiliser la force ? En leur proposant une tasse de thé pour discuter du problème ?

On attend tes suggestions ! Nous avons affaire à des professionnels confrontés à des problèmes réels, allonger les temps de parcours, c'est, réellement diminuer les risques de retard... Avoir des outils plus performants: c'est à dire installations rénovées, renforcement de la lutte contre la délinquance (vols de câbles, intrusions), etc, c'est du long terme et c'est du politique ! Et à priori les politiques jugent plus pertinent de faire de gros chèques à l'Afrique du Sud ou au Pakistan que de s'occuper du réseau ferré...

A priori, la responsabilité de la personne qui transportait des produits dangereux non étiquetés semble engagée, même si c'est involontaire...

Tu as l'air de découvrir les V 160 qui se "traînent" à 120 130, mais c'est pas une nouveauté. Tu as pris récemment, je crois, un corail entre Paris et Nantes, eh bien à la fin des années 90 ce genre de trains se trainaient déjà entre Paris et le Mans. Par ailleurs, ce qui a changé c'est aussi les mesures très contraignantes, mises en place en cas de retard : remboursement partiel des billets, renseignement des bulletins de régularité, etc. Ca n'existait pas dans les années 90, si un train arrivait en retard, il n'y avait aucune conséquences pour SNCF, ce n'est plus le cas maintenant ! Donc parfaitement logique qu'on ouvre un grand parapluie pour éviter, au maximum, les retards...

De toutes façons boire un verre de white spirit ou d'essence auto, ça rend bien malade, mais c'est pas mortel ! Comme pourrait l'être de l'acide chlorhydrique , mais là en principe, il y a un bouchon spécial.. Condoléances à la famille de la victime, qui a peut être bu par accident un produit qu'elle voulait simplement gouter du bout des lèvres...

Pendant l'occupation les cadres SNCF étaient doublés par ce que les cheminots appelaient des "Banhof", des cheminots allemands, pour les surveiller. Les contractuels détachés à 30 000 € par mois (et plus si affinité), semblent remplir la même fonction : surveiller que les vrais cadres SNCF vont bien dans la direction souhaitée par le pouvoir (même si c'est le mur !). Pas du tout sûr que ces émoluments, excessifs, vont dans le sens des intérêts de SNCF ou même des cheminots...

Je crois que ce n'est pas exact, à l'époque où un ouvrier SNCF gagnait 1600 €, le grand patron du technicentre gagnait dans les 4000 € (un peu plus du double), idem pour un Chef de PC, ou un chef de grande gare. En revanche ,ceux qui gagnaient (vraiment) beaucoup étaient des fonctionnaires supérieurs détachés à la SNCF comme contractuels, comme Françoise Parly, qui devait se faire dans les 20 000 €. Pour résumer les vrais agents SNCF, y compris de grade très élevé, gagnaient relativement peu, en revanche, il y avait un certain nombre de personnes détachées comme contractuels, et nommées par le pouvoir politique, qui venaient s'engraisser, sans vraiment de justification.