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Le Web des Cheminots

PLANONYME

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Tout ce qui a été posté par PLANONYME

  1. 85 au compteur pour moi, c'est seulement le nombre de dispenses de supplément. Je n'ai pas compté les fichets de voyage de mon épouse et de mes enfants. Un sacré paquet ! A eux trois et à raison de 16 fichets par an (de mémoire, à partir de l'âge de 12 ans pour les enfants), on doit dépasser les 500 !
  2. Tout salarié peut démissionner sous réserve de respecter le préavis qu'il doit à son employeur (cf. contrat de travail et/ou convention collective). La question est sans doute plutôt : "cette démission ouvrira-t'elle le droit aux prestations de l'assurance chômage ?". La réponse est oui. La démission pour suivre le conjoint lui-même muté par son employeur est un motif légitime de perte d'emploi aux yeux de l'assurance chômage (cf. convention UNEDIC). Prévoir un minimum d'écrits de la part de la SNCF pour justifier cette mutation (essai ou pas) car Pôle Emploi (qui étudiera les droits à indemnisation pour perte d'emploi) ne sait pas ce qu'est un 630 et ne goûte pas trop à nos référentiels et autres usages souvent bien peu clairs.
  3. Oui, oui c'est ça. Validité illimitée des dispenses acquises et non utilisées pendant la période d'activité. Peuvent ainsi être utilisées pendant la retraite (moi, j'en ai 85 au compteur !). Par contre, pas de nouvelle acquisition après la cessation d'activité.
  4. Il faudrait que je me redocumente sur le sujet (dans un cadre professionnel, j'ai été il y a longtemps l'un des "spécialistes", bien modeste en réalité, du sujet à la SNCF), mais je crois qu'il y a confusion. De mémoire, après le tollé des associations familiales et le refus que Pepy aurait d'une façon ou d'une autre opposé (c'est qu'il n'est pas commode le bougre et il a de fortes capacités de nuisances dans les ministères, domaine qu'il connait bien...), le Président de la République et le Gouvernement de l'époque avaient reculé. N. Sarkozy ayant même parlé d'erreur... (c'est Nadine Morano qui en fut rendue responsable). Le tarif familles nombreuses fait donc toujours l'objet d'une compensation de l'Etat : compensation qui depuis toujours est noyée dans les autres tarifs sociaux, soit quelques 200 ou 220 millions d'euros par an de mémoire (là-dedans il y a les familles nombreuses, les congés annuels, les abonnements étudiants élèves apprentis, les promenades d'enfants, les réformés pensionnés de guerre, les chiens de la St Hubert et les "visites aux tombes", je ne pense pas en oublier ; les abonnements de travail ont dû être refourgués aux régions). De l'avis de tous ceux qui se sont penchés sur la question, le compte n'y est pas et ça ne date pas d'hier ! D'autant que ça fait pas mal d'années que la dotation pour compensation des tarifs sociaux n'augmente pas (ce qui veut dire que doucement mais sûrement elle baisse année après année dans la mesure ou les tarifs de référence eux ils augmentent et assez fortement ; d'ailleurs, dans les débats parlementaires sur le budget, quand la droite est au pouvoir la gauche s'en inquiète et vice-versa, la droite quand c'est la gauche qui est aux commandes). Les 70 millions d'euros évoqués ici c'est plutôt le coût, tout théorique et estimé de la carte Enfant Famille (chapitre 2 du volume 3 des Tarifs Voyageurs). Pas tout à fait la même chose. Cette carte enfant famille c'est pour des familles qui n'entrent pas dans les cases de la réglementation familles nombreuses : familles ciblées, essentiellement monoparentales. C'est un tarif dit conventionné qui a le goût et la couleur d'un tarif social mais qui ne fait l'objet d'aucune compensation budgétaire. Les droits à cette carte sont instruits et examinés par la Caisse d'Allocation Familiale. Les conditions de ressources sont tellement basses que ces familles là ne voyagent guère par le train n'importe comment trop cher même avec une réduction, contingentée, de 25 à 50 % sur le Plein tarif Loisirs. Ce qui fait que même s'il n'y a pas de compensation (puisque, SNCF bonne princesse, la convention n'en a pas prévu), ça ne va pas chercher bien loin. Même si ça pourrait coûter cette somme de 70 millions vu le nombre de bénéficiaires potentiels, comme les intéressés ne voyagent pas, cette charge est virtuelle. La CAF doit seulement, je pense, compenser le coût de fabrication des cartes (même prestataire technique que pour les cartes familles nombreuses). Tandis que pour revenir aux familles nombreuses, on en trouve pas mal à bord des trains de neige (des vacances qui, comment chacun sait ou pas, ne sont pas données à tout le monde... un français sur 5 je crois ?). Ségolène Royal, elle-aussi quand elle était Secrétaire d'Etat aux familles, s'était levé un matin en étendant le tarif Familles Nombreuses aux deux parents, même divorcés (ce que la loi originelle ne permet pas, seul le parent qui a garde permanente et effective ou à défaut perçoit les prestations familiales restant bénéficiaire au détriment de l'autre). Cette avancée sociale fut annoncée à grand renfort de communiqués et conférences de presse. Mais jamais aucun Décret ne fut publié. Ben oui, il aurait fallu augmenter en proportion la compensation pour tarifs sociaux et comme il n'y avait pas de sous et que la SNCF (déjà) ne s'était pas laissé faire.
  5. La fiche de paie d'un(e) contractuel(le) alors ? Car a priori, les contractuel(e)s sont les seul(e)s à percevoir une majoration en pourcentage au titre de la qualification. Là ou les agents du cadre permanent sont placés sur des qualifications (de A à G), des niveaux (1 et 2) et des positions de rémunération (35 au total), les contractuel(le)s sont quant à eux (elles) placé(e)s sur des "classes". Et cette classe qui correspond à la qualification est parfois assortie d'une majoration en pourcentage (c'est alors l'équivalent d'un niveau). Dans le cadre du déroulement de carrière (ou de salaire), le pourcentage de majoration peut se trouver à un moment moindre mais cela ne peut se concevoir s'il y a eu simultanément progression dans les classes. De la même manière un agent du cadre permanent qui était aux deuxième niveau de sa qualification repasse périodiquement au premier niveau... mais de la qualification supérieure suivante. Pas sûr d'avoir bien compris la situation exposée dans la question... Par définition, le salaire de base ne peut que progresser et ne pas baisser du jour au lendemain comme il est dit dans la question.
  6. Je viens de faire un nouvel essai. Je réussis à saisir tout ce que je veux dans le document. Essayer dans l'ordre : 1) avec un autre navigateur qu'Internet Explorer, ce dernier posant de plus en plus de problèmes de compatibilité, 2) en faisant une réinstallation d'ACROBAT READER (la dernière version 11 contenait un bug ; en réinstallant, ça chargera le correctif). Moi, ma version 11 est à jour de ce correctif suite à des problèmes également rencontrés récemment avec des fichiers PDF. Sous toutes réserves, mais ça ne coûte rien d'essayer. Une petite info au passage pour ceux qui ne sauraient pas ou n'auraient pas compris. Amiens, y'a rien ! Bon, façon de parler. Comprendre qu'il n'y a pas un(e) cheminot(e) qui s'occupe là-bas des facilités de circulation ni autres formalités ni pour les actifs, ni pour les retraités. C'est un centre de numérisation. Un prestatataire de service qui alimente une file informatique (dossiers dématérialisés) qui apparaissent à l'écran d'un opérateur qui dans une agence famille pour les actifs, qui dans le service dédié aux retraités à Marseille.
  7. La chronique syndicale de FIRST, c'est un peu le "Closer" des écrits syndicaux à la SNCF. Toujours au courant avant les autres d'une information, témoin d'un rencontre ou d'une réunion cachée...
  8. Pour ma part, je n'ai plus d'ascendant mais par curiosité (et répondre à ce sujet) j'ai fait un essai sur le site https://services-aux-retraites.sncf.com/site/?proc=842&sousproc=2605 Et le PDF est correct (il y a bien eu quelques messages sur le certificat de sécurité auxquels je n'ai rien compris mais en validant tout ce qu'il m'était demandé, le document s'est chargé et manifestement j'arrive à le remplir à ma guise). Il faut entrer le numéro de CP sans le préfixe 1. Sinon, il n'y a pas assez de cases ! En tout état de cause, sur ce site Internet "services aux retraités", il y a aussi un formulaire pour poser des questions. Plus rapide que le courrier sans doute.
  9. Oui dans un sens, mais occasion aussi de rappeler de manière subliminale à tout le monde que sans un puissant opérateur ferroviaire de référence pouvant venir en appui et prêter la main en cas de coup dur (ou même seulement de problème ponctuel majeur), l'opinion publique finirait rapidement par ne pas donner cher des opérateurs locaux, nouveaux entrants et autres organisations alternatives du système ferroviaire.
  10. Balade très intéressante. Les lieux où mener ce genre d'escapades à la recherche de vestiges ferroviaires ne manquent pas. Avis aux amateurs et autres randonneurs. Pour ma part, à Lannion (Côtes d'Armor, ex Côtes du Nord), il m'est arrivé de chercher le long d'un itinéraire que les vieux habitants appellent encore "La Petite Ligne" (boulevard Louis Guilloux, aujourd'hui une rocade). En fait l'ancienne ligne Lannion - Perros Guirec, ce qui ne date pas d'hier ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Chemins_de_fer_des_C%C3%B4tes-du-Nord#Ligne_Lannion_-_Perros-Guirec Nostalgie...
  11. C'est sans doute un peu tard, mais je complète néanmoins les réponses précédemment données. La législation n'impose pas d'espace minimal. Il y a seulement des recommandations. Et c'est le bon sens qui les commande. Ce sur quoi il ne faut pas transiger c'est la liberté de mouvement suffisante de chacun (il faut d'ailleurs penser à la nécessité d'une évacuation urgente ; faire un test chacun assis à son poste, éteindre toutes les lumières, donner l'ordre d'évacuation et voir ce que ça donne... à renouveler à différents horaires pour tenir compte de la luminosité naturelle... ou pas). Pour la réalisation de cet exercice et augmenter le réalisme, on peut ajouter un fumigène. Les recommandations de l'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles ) sont : - 10 m2 (déjà mentionné), se décomposant plus précisément comme ceci : Norme Afnor N° X35-102 (0,96 m2 pour la lecture et l’écriture; 0,64 m2 pour les outils informatiques; 2,20 m2 pour le siège et son débattement; 2,20 m2 pour le siège et son débattement; 1,20 m2 pour l’armoire de rangement et son débattement; 0,60 m2 pour déposer les documents prioritaires; 0,80 m2 pour l’éventuel siège visiteur; 2,88 m2 pour consacrés à la circulation autour du poste de travail avec une longueur de passage de 3,60 mètres sur une largeur de 0,80 mètres et 0,50 m2 pour la communication soit une surface nette par poste de 9,78 m2), Avec un plan de travail de 1,20 m de longueur, 80 cm de profondeur et 72 cm de hauteur. L'espace minimal conseillé pour les jambes sous le bureau est de 75,5 cm. Comme ce ne sont que des recommandations, c'est à voir et à apprécier avec le discernement nécessaire au cas par cas et élément par élément. Une chose est sûre, tout ou presque ne doit pas être en-dessous de la recommandation sinon l'espace envisagé est manifestement inadapté sans avoir besoin de faire de grandes études pour ça. Dans les cas difficiles, c'est une question de compromis, de sens pratique... et de solution. Car pas de solution, on supprime le poste et c'est bon. Toujours est-il que c'est souvent la ventilation et l'assainissement de l'air qui posent le plus de problème. C'est même souvent insoluble dans des espaces qui n'ont pas été conçus dès l'origine comme des lieux de travail. Lire ici : http://www.inrs.fr/accueil/demarche/savoir-faire/assainissement-aeration.html J'ai été Secrétaire de CHSCT pendant quelques années ! Je sais que, si on veut, il y a de quoi faire tourner en bourrique n'importe quel DPX (et plus...). Souvent les représentants du personnel au CHSCT ne sont pas très bons sur ces questions là. Ils sont davantage dans le refus que dans la recherche d'une solution.
  12. CRML, c'est un grade de conduite ? (désolé, je ne les connais pas tous) Si oui, la rémunération globale annuelle dépend beaucoup (trop d'ailleurs) du travail effectivement réalisé et non pas seulement de la qualification (nombreux éléments variables de solde, ce ne sont pas les conducteurs qui me démentiront). Mais je maintiens (sauf errreur toujours possible de ma part au cas par cas) que le salaire de base est plus élevé pour les contractuels à équivalence de positionnement (faut-il encore comparer sur le brut car entre leur brut et leur net les cheminots du CP se financent un protection sociale de plus haut niveau que n'ont pas les contractuels). On peut peut-être penser que le collègue CRML contractuel n'a reçu que des commandes moins rémunératrices ? M'étonnerait pas ! Mais que font les syndicats !!!???
  13. En service, dans tous les cas, ça reste un accident du travail pris en charge et indemnisé comme tel. Le fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et autres infractions (F.G.T.I.) intervient également pour tout un chacun.
  14. "... à condition de ne pas créer pour autrui une nouvelle situation de danger grave et imminent" (article L.4132-1 du Code du travail).
  15. A équivalence de grade de début, les contractuels sont mieux rémunérés que les agents du cadre permanent. Dans la durée, ça se discute du fait d'un déroulement de carrière moins normé.
  16. Un rappel au passage : une des limites à l'exercice du droit de retrait c'est le report de la situation de danger sur autrui. Le déplacement de la rame est une mesure de prévention. Comme toutes les mesures de prévention à prendre immédiatement par le salarié exposé, elle prime donc sur son droit de retrait.
  17. Période d'essai des contractuels : deux mois pour l'exécution, 3 mois pour les autres. Passé ce délai et même en cas d'échec à l'examen d'entrée dans la filière, il n'est pas question de rompre le contrat de travail au titre d'une période d'essai. Ce serait une procédure de licenciement classique qu'il faudrait alors engager. L'échec à l'examen s'assimilant à une insuffisanse professionnelle constituant une cause réelle et sérieuse de motif de licenciement selon l'entreprise. Mais comme ça reste périlleux sur le plan juridique, l'évaluation professionnelle se fait de préférence pendant la période d'essai et s'il apparait que l'échec à l'examen le moment venu est déjà plus que probable, dans la pratique c'est à ce moment là (et à temps donc) que le contrat sera rompu au titre de la période d'essai et à l'intérieur de celle-ci. L'année de commissionnement c'est la période d'essai des agents du cadre permanent et il n'y a qu'à eux que ce délai plus long que ce qui est autorisé dans le droit commun pour un essai est opposable. Pour eux-aussi, s'il apparait notamment qu'ils sont d'ores et déjà en posture de rater l'examen d'entrée dans la filière, c'est pendant cette première année qu'ils seront éconduits au titre d'un essai non concluant. L'entreprise fait donc en sorte que l'examen ait lieu avant commissionnement. Après, ce serait très compliqué. Au-delà de sa période d'essai, le contractuel est lié par un contrat de travail à durée indéterminée. Ce contrat de travail ne pourrait plus être rompu à l'initiative de l'entreprise que par le licenciement (motif personnel, disciplinaire ou économique). Très rare, même pour les contractuels. Les agents du cadre permanent sont globalement assez ignorants des règles qui s'appliquent aux contractuels. Y compris même l'encadrement, sauf quelques spécialistes R.H. eux-mêmes de plus en plus souvent contractuels d'ailleurs... Au fait, pourquoi homme Cessk1 est-il contractuel ? Il ne remplit pas les conditions d'admission au cadre permanent (âge, nationalité) ? Car quiconque remplit les conditions d'accès au cadre permanent doit normalement être recruté au cadre permanent si son emploi relève du dictionnaire des filières (sauf s'il ne s'agit que d'un contrat à durée déterminée dont les motifs de recours sont d'ailleurs légalement très encadrées).
  18. Je reprends ce que j'ai déjà expliqué (en moins long cette fois, enfin je vais essayer...). Ce que Mexwell dit là et qu'il tient de la personne qui s'en occupe sur sa région n'est écrit nulle part ! C'est juste une pratique (assez répandue certes) visant à préférer les étudiants. Le problème n'est pas tant de s'assurer que le saisonnier étudiant sera disponible deux ou trois ans (car il ne signe pas avec la SNCF pour plusieurs années et rien ne l'empêche d'aller voir ailleurs dès l'année suivante ou de mettre à tout moment un terme à ses études) mais d'éviter un effet d'aubaine avec une inscription au chômage en fin de contrat (il suffit qu'il déclare à Pôle Emploi qu'il n'est plus étudiant). Car si le saisonnier a cumulé suffisamment de droits pour bénéficier d'une allocation de retour à l'emploi, c'est la Sncf dernier employeur qui va la payer par l'intermédiaire de son asssurance chômage maison : le SATRAPE - Service Aux TRAvailleurs Privés d'Emploi. Par ailleurs, rien, absolument rien, n'interdit à un non bachelier de postuler à un emploi saisonnier et d'être embauché (preuve donnée par Kandid). Après, c'est comme tous les recrutemements. C'est à la sélection du recruteur. C.Q.F.D.
  19. IDTGV est une filiale. OUIGO, non ! C'est un produit et un tarif de SNCF Voyages.
  20. Une annonce en deux langues n'est pas conforme à la législation (loi Toubon pour France et dispositions européennes). Lorsqu'une annonce (en Français ici) est traduite, elle doit l'être en au moins deux des langues officielles de l'Union Européenne.
  21. Notre ami "Metz" sur ce forum cherche un emploi. Nous qui en avons un, devrions peut-être lui être davantage utile que de lui laisser entendre que sa candidature finira au panier. Chose qu'il a sans doute du mal à comprendre (avec raison) quand il entend dire que la SNCF reste l'un des plus grands recruteurs du pays et que, lancée dans un programme de rénovation et de remise à niveau du réseau sans précédent, elle a plus que jamais besoin de techniciens. Même si la voie la plus sûre pour l'exploitation effective de sa candidature c'est bien qu'il postule directement auprès d'un service en charge du recrutement, peut-être que quelqu'un qui connait l'organigramme de la région Lorraine peut lui founir les coordonnées d'un établissement Infra ?
  22. L'exception est justement faite pour les candidats qui échouent de peu mais qui ont néanmoins montré des qualités. On peut être juste (trop juste) pour TA et avoir déjà appris beaucoup de choses utiles pour la filière Transport Mouvement. Mais, gestion par activité (et domaine) oblige, les commanditaires de la formation TA n'y pensent peut-être pas aujourd'hui ou se moquent complètement des sommes dépensées en pure perte ? Tiens, je te leur collerais un malus sur leur budget à chaque fois qu'un candidat échoue (car vu la sélection qu'il y a avant l'entrée en formation, ce n'est pas forcément toujours et totalement de la faute des stagiaires). Même à l'Education Nationale (c'est dire !), le sytème de formation prévoit des passerelles pour qu'en cas d'échec tout ne soit pas perdu. Pepy lit sans doute ces lignes (ou ses proches collaborateurs "en haut lieu", les modérateurs nous le rappellent régulièrement). Alors, puisqu'il cherche à faire quelques économies, il ferait bien d'aller voir de ce côté là. Il faut vraiment qu'il s'occupe de tout !!!
  23. Vous risquez d'avoir du mal à obtenir une réponse motivée et autorisée à vos questions légitimes puisque les réponses ne sont sans doutes écrites nulle part dans les nombreux règlements et autres référentiels qui gèrent la vie quotidienne de l'entreprise et sa politique RH. Est-ce que c'est possible de repostuler ? Personnellement, je vous réponds oui ! C'est vous qui avez à décider si vous repostulez ou pas. La question est en réalité de savoir si votre candidature sera de nouveau retenue. Tant que vous ne l'aurez pas déposée, nous ne saurez pas. Et je ne vois pas pourquoi on vous opposerait un délai minimum. Ce n'est pas le délai écoulé qui améliorera l'intérêt de votre candidature, au contraire. En écrivant cela, je pense que la formation que vous avez déjà suivie même si vous avez échoué est quelque chose de très intéressant sur votre C.V. pour des emplois de la filière Transport Mouvement (manoeuvre, circulation...). N'oubliez pas, pour les métiers ferroviaires, il n'y a pas aujourd'hui que la Sncf comme employeur potentiel. Pensez aussi aux nouveaux opérateurs. La formation que vous aviez déjà commencée à suivre pour le compte de la SNCF est quelque chose de rare sur le marché de l'emploi et c'est déjà ça de fait (vous dites vous-même que vous avez échoué de peu, c'est donc que vous maîtrisez déjà pas mal de chose). Croyez moi. Après, il vous reste "à vous vendre". Pensez aussi aux entreprises qui possèdent des embranchements particuliers. Pour les identifier, faites le tour des installations ferroviaires de votre secteur de recherche d'emploi. Votre formation initiale y est potentiellement réutilisable. Je suis un peu surpris que la Sncf ne vous ait pas réorienté vers un autre métier, une autre filière, permettant malgré l'échec, de capitaliser la formation déjà dispensée (qui coûte une fortune !). Et ceci d'autant que vous étiez assidû et sérieux, ce qui n'est pas la moindre des qualités. Du vécu. Pour un autre métier ferroviaire, j'ai connu la situation suivante. Pénurie de ressources. Besoin urgent. Pas de candidats. Demande à l'agence de recrutement de ressortir les 5 derniers échecs à la formation. Sélection sur dossier. On a trouvé notre bonheur ! Sous toutes réserves.
  24. Le point d'entrée pour un recrutement n'est plus guère le courrier postal ! C'est ici que ça se passe : https://www.emploi.sncf.com/fr/emploi/ Les forums de recrutement organisés à l'occasion (surtout quand il y a des besoins et déficit de candidatures, ce qui peut être le cas pour des formations pointues comme l'est a priori la vôtre) constituent également un point de contact efficace. Par contre un courrier postal envoyé à une Direction quelconque, vous avez tous les risques que votre lettre de candidadure se perde dans les méandres de l'entreprise... Je n'ai pas cherché mais sinon Sncf, place de la gare (sans doute) à Nancy ou à Metz (car dans votre région Lorraine, c'est encore un peu plus compliqué qu'ailleurs), vous devriez trouver ça dans un annuaire téléphonique grand public. On va dire que trouver une adresse, ce sera le premier test pour votre candidadure... Attention, un technicien en signalisation ferroviaire, c'est d'abord un technicien qui a en charge les installations et la maintenance opérationnelle. Certains sont dans le domaine industriel des essais, mais globalement c'est une niche. La première règle dans une candidature c'est de postuler pour un corps de métier mais pas pour une fonction ou un poste trop précis. Surtout pas à la Sncf ou la polyalence, la mobilité et l'adaptatibilité aux différentes variantes de la palette d'emplois sont recherchés par les recruteurs.
  25. Je suis moins formel et radical que les précédentes réponses qui vous ont été faites même si je ne connais pas les pratiques exactes de la gare de Bordeaux en la matière. Je vous invite à faire votre demande par courrier adressé au directeur (ou directrice ?) de l'établissement qui gère la partie commerciale (vente + escale) de la gare de Bordeaux. Je pense qu'il s'agit d'un E.E.V. - Etablissement d'Exploitation Voyageurs. Peut-être que quelqu'un sur ce forum pourra vous donner l'intitulé exact et vous préciser s'il s'agit d'un directeur ou d'une directrice. Vous pouvez également écrire et postuler séparément auprès du dirigeant de l'Unité Opérationnelle Ventes et du dirigeant de l'Unité Opérationnelle Escale. Sous réserve des appellations exactes car je n'ai pas sous la main un accès à l'annuaire et à l'organigramme d'entreprise. Votre formation initiale, la pratique de l'anglais, la proximité de votre domicile permettant votre flexibilié horaire sont des atouts pour votre candidature. Les trains sont parfois en retard et à l'escale pouvoir rester plus tard sans problème de transport pour rentrer après le coup de feu c'est un sacré avantage opérationnel. Quand certains disent qu'on ne prend que des bacheliers, il faut lire que l'entreprise souhaite n'embaucher pour l'été que des étudiants, de vrais étudiants... qui ne pointeront pas à Pôle Emploi à l'issue de la saison en faisant valoir leurs droits à l'assurance chômage (éventuellement par cumul d'emplois salariés successifs leur permettant de justifier d'une durée de cotisation suffisante). Vous ne le savez pas et peu de cheminots le savent mais la SNCF gère sa propre caisse d'assurance chômage. Et elle souhaite le moins possible y être encore par ce biais de sa poche (façon de parler car ce n'est finalement que l'affectation de cotisations sociales) après le terme du contrat de travail. Il est vrai que les sélections et les entretiens se font habituellement pendant les vacances scolaires de février. Dans votre zone, ces vacances commencent le 17 février. Ce n'est donc pas trop tard pour postuler. Ensuite la formation se fait en général pendant les vacances de printemps (14 avril - 26 avril dans votre zone) pour une une prise de poste parfois dès le mois de juin en fonction des tensions qu'il y a sur les effectifs (et comme l'entreprise est sous tension... elle est bien contente de pouvoir faire des raccords avec du personnel de renfort même s'il n'est pas toujours étudiant comme elle le souhaiterait). Il n'y a d'ailleurs pas que des contrats saisonniers (accroissement de l'activité dû à des rythmes collectifs), il y a aussi parfois des remplacemement de salariés temporairement absents ou des surcharges exceptionnelles et non durables d'activité qui justifient des contrats à durée déterminée. Il faut bien trouver les candidats quelque part. Vous pouvez d'ailleurs éventuellement ne pas être retenue, ne pas recevoir de réponse... et finalement être appelée d'un jour à l'autre en catastrophe ! Moi ça m'est arrrivé d'être bien content d'avoir un CV à me mettre sur la main pour sauver en urgence une situation. Normalement, pas besoin de recommandations. Ce qui n'empêche pas que bon nombre de saisonniers sont fils ou fille de... Mais pour que ça ne se voie pas de trop, les établissements font en sorte de diversifier un peu leur recrutement afin de ne pas risquer de prêter le flan à de trop fortes critiques sur ce point. Autre piste, l'entreprise ITIREMIA. Je pense qu'elle est présente sur le site de la gare de Bordeaux. N'hésitez pas à postuler auprès d'elle. Ses emplois sont assez proches (et de plus en plus proches d'ailleurs, sous-traitance oblige) de ceux de la SNCF maison-mère http://www.recrutement-itiremia.fr/ Et au moins on ne vous embêtera pas avec le fait que vous n'avez pas le bac et que vous êtes peut-être demandeur d'emploi inscrite à Pôle Emploi. J'aimerais bien que vous reveniez sur ce forum nous dire que vous avez été recrutée. Ce serait le meilleur démenti aux réponses précédentes qui vous ont été faites.
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