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Le Web des Cheminots

PLANONYME

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Tout ce qui a été posté par PLANONYME

  1. Eh bien, j'ai la chance d'avoir une intérimaire Manpower d'une agence paie famille sous la main (qui vient juste de se réveiller ) et qui me dit que EV c'est tout simplement... élément variable. RAP EV, il faut lire rappel d'élément variable. Elle me dit aussi que sur le libellé il y a la date et la nature de l'élément. Mais ça, n'ayant pas sous les yeux les bulletins de paie (ni ne connaissant pas les nouveaux modèles simplifiés), je ne saurais dire. Peut-être que l'Agence Paie Famille (ex-CMGA) voit sur ses ordinateurs le détail de tout ça (ce sont des saisies faites en établissement utilisateur) mais sur la fiche de paie je ne suis pas sûr que ce soit aussi détaillé. Il y a des RAP qui ne sont pas d'EV. Ceux-là concernent les éléments non variables de la rémunération. C.Q.F.D.
  2. Non, un RAPPEL concerne nécessairement une période antérieure à celle du paiement de l'élément variable (M + 1). EV, je me creuse la tête mais je ne vois pas...
  3. RAP = RAPPEL d'un élément de solde. Quelque chose qui correspond à une période précédente et qui n'avait pas été payé en son temps ou dont le taux a changé avec effet rétroactif. Une régularisation en somme. Justement, quand on n'est pas soumis à tableau de service, il arrive qu'on dépasse le trait en nombre de jours de travail parce qu'on n'a pas pris assez de repos périodiques. Or le compteur temps de travail doit être à jour au 30 juin. Ce qui oblige, pour la bonne règle, à régulariser le dépassement de la durée moyenne hebdomadaire de travail (exprimée en jour). Sous toutes réserves (puisque je n'ai pas sous les yeux) mais ayant été également non soumis à tableau de service, cela m'est arrivé plusieurs fois d'avoir des heures supplémentaires payées au 30 juin et au 31 décembre pour cause de dépassement du trait en durée moyenne hebdomadaire de travail. Ce sont des journées de présence qui n'ont rien à voir avec la durée journalière de travail, le cas échéant supérieure à ce qui est prévue mais non déclarée en heures supplémentaires... puisque "non soumis à TS". Tout ça est maintenant remis à plat avec l'accord d'entreprise "forfait jours". Le temps de travail à la SNCF est et a toujours été annualisé. Mais un taquet fut fixé au 30 juin au détour de la négociation sur la réduction du temps de travail (accord 35 heures).
  4. Ce qui pourtant pour le contrôle de gestion (par les activités et domaines qui pilotent) n'est pas du tout satisfaisant. Les effectifs d'un établissement lui sont alloués en fonction de la charge de travail qui lui est confiée. Un emploi correspond (pour faire simple) à quelques 200 jours de travail. 200 (toutes causes d'absence confondues), pas 210 ! Assurer une production (une charge de travail qui n'a pas variée) avec des journées de travail supplémentaires, c'est un surcoût non négligeable que ne manquent pas de pointer les contrôleurs de gestion : + 5 % si tous les fériés sont payés plutôt que d'être chômés ou récupérés. J'ai déjà vu des établissements sommés de cesser ces pratiques pour justement gagner en productivité.
  5. La hiérarchie dite de proximité (DPX) est le plus souvent bien incapable de répondre à ce genre de questions du domaine RH et de citer précisément les référentiels qui s'appliquent et, encore plus difficile, les éventuels accords collectifs d'entreprise. De nombreux intervenants sur ce forum en témoignent au travers des sujets créés, auxquels c'est la communauté qui répond et non pas leur DPX (combien ne nous disent-ils pas : j'ai demandé à mon DPX, il ou elle ne sait pas). Pire, on a fait plus d'une fois le constat que la réponse du DPX était erronée.
  6. Oh, oui, oui, oui !!! Renseigne-toi auprès de ta hiérarchie et viens nous raconter si tu obtiens une réponse satisfaisante.
  7. Le barème de cotation des demandes de logement se trouve page 19 du RH00333. Le connaitre et s'y référer de manière contradictoire avec l'agence logement donne assurément... des points dans l'instruction de la demande ! Si vous n'avez que 30 points, le compte ne semble pas bon si ça fait deux ans et demi que vous attendez. C'est 10 points pour chaque semestre d'ancienneté de la demande ! Même pas 100 points pour une contrainte de service ? Pour une ASCT, ça devrait pourtant le faire. 40 points de plus si "le conjoint" - terme générique - est aussi à la SNCF et subit également des contraintes de service. 100 points aussi pour une demande de logement déposée dans l'année de l'embauche. 50 points si vous êtes actuellement dans un logement PARME. Si votre logement actuel est trop petit, vous pouvez essayer d'avoir 150 points au titre de ce "surpeuplement" (sic). Je ne sais pas comment l'agence logement évalue ce critère mais je suppose qu'elle se réfère à la notion légale de logement décent (9m2 pour un occupant, 16 m2 pour deux, + 9 m2 par personne supplémentaire). Mais comme je l'ai déjà écrit, si tout le monde est prioritaire, plus personne ne l'est en réalité. Il vous faudrait savoir statistiquement à combien de points, l'agence logement propose et obtient des attributions. Certaines catégories d'HLM sont soumises à des plafonds de ressources plus élevés (puisque 70 % des ménages seraient éligibles). Et comme le loyer est en rapport, nombre de cheminots ne peuvent y prétendre... puisque leurs revenus sont insuffisants. Ce qui vous donne toutes vos chances si vous avez davantage de moyens. Le nombre de points ne fait pas tout (sinon ceux qui en ont peu n'obtiendraient jamais de logement, ce qui dans la pratique ne se vérifie pas). Le rapport entre le montant du loyer et les revenus joue nécessairement en provoquant l'élimination de ceux qui ont pourtant le plus de points de priorité. Et chez ICF NOVEDIS (parc libre) ? C'est souvent plus cher. Compter au maximum avec un avantage différentiel avec le parc privé qui ne dépasse guère 20 %. Attention à ne pas être trop exigeante (ascenseur, notion de délabrement). L'ascenseur, dans les immeubles de faible hauteur, il n'y a pas ! La notion de délabrement se discute. Si c'est vraiment délabré, ça doit pouvoir être remis en l'état au moins a minima. Plutôt que de refuser, si par ailleurs ça convient, il vaut mieux accepter sous réserve de la réalisation de travaux avant l'entrée dans les lieux. Souvent, c'est très défraîchi si le précédent occupant a été en place toute sa carrière, voire sa retraite (mais il ne s'agit pas à proprement parler de délabrement).
  8. A ma connaissance, il n'y a que des jours figurant sur un Compte Epargne Temps qui peuvent, à l'occasion, faire l'objet d'une monétisation. Entendre par-là que le salarié demande le paiement des dites journées qu'il a précédemment épargnées au fil de sa carrière. Le nombre de congés annuels qui peuvent être placés sur un C.E.T. est très encadré (à partir du 21ème seulement, de mémoire) et ceux pouvant ensuite faire l'objet d'une demande de paiement encore davantage (à partir du 26ème, toujours de mémoire). Cf. accord collectif sur le compte épargne temps au sein du groupe public ferroviaire, 21 septembre 2015 (que je n'ai pas relu), pour plus de détails et confirmation de ce que j'écris ici. Cela dit, les journées du C.E.T. sont destinées en première intention à constituer un capital temps pour financer l'anticipation du départ en retraite ou permettre de s'absenter en cours de carrière pour répondre à des besoins ou souhaits spécifiques. Par ailleurs, des fêtes sont parfois payées. En effet, lorsqu'une journée fériée a été travaillée, le repos compensateur (RF) doit être pris au plus tard au cours du trimestre civil suivant celui dans lequel se trouvait la fête légale. Quand ce délai est dépassé, la fête est automatiquement payée. C'est bien une forme de monétisation de ne pas avoir posé en temps et en heure son repos compensateur (ou de n'avoir pas pu l'obtenir). Pour le reste, je ne crois pas qu'il puisse y avoir paiement (sauf quand il faut solder les comptes au terme du contrat de travail). Les congés annuels notamment doivent être posés. Ils ne seront pas forcément accordés comme demandés mais ils finiront par être programmés, y compris d'office le cas échéant.
  9. Mais au fait, c'était un problème d'alimentation électrique inhérent à la rame TGV ou un problème technique sur les infrastructures du réseau ?
  10. C'était sur la ligne nouvelle ? (question). Car, dans un sujet spécifique, on a discuté du PPP. Et personnellement, je m'étais interrogé de qui devrait faire quoi et prendre quelle décision avec quels moyens (les siens ? sous l'autorité de SNCF Réseau ?) en cas d'incident majeur. Quelqu'un m'a répondu : Vinci qui est censé avoir les équipes et les moyens disponibles et immédiatement mobilisables. Je ne sais pas si je suis vraiment dans le sujet et la problématique (ne sachant pas si l'incident a eu lieu sur la ligne en PPP) mais je m'interroge. Et poser une question, c'est prendre le risque de la réponse. Merci pour les précisions.
  11. Faute de frappe ? Lire le contraire de ce qui est écrit ? Si logement HLM, ce sont les critères de tous les organismes HLM avec notamment des plafonds de ressources ce qui peut conduire un(e) cheminot(e) lambda à effectivement ne pas avoir droit à ces logements sociaux même quand ils sont la propriété d'une filiale immobilière de la SNCF (I.C.F.). https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F869 Par contre, pour tout ce qui n'a pas le statut d'HLM et assimilé, la SNCF (lire encore sa filiale I.C.F.) loue à qui elle veut et aux conditions qu'elle veut. Il ne saurait donc y avoir des logements auquel un cheminot n'aurait pas le droit si ce n'est que l'agence logement recourt bien entendu à des critères de priorité pour classer les demandeurs et veille à ce que les ressources soient suffisantes cette fois car si la location est libre, le loyer l'est aussi (sous réserve des réglementations applicables). Quand vous écrivez qu'on vous propose des logements auxquels vous n'avez pas le droit, ce sont des logements HLM et vous dépassez les plafonds de ressources ? Ou bien, n'ayant pas droit aux logements HLM, on vous propose des logements dans le parc libre (ICF NOVEDIS notamment) mais vos conditions de ressources sont insuffisantes pour que le bailleur retienne votre candidature ?
  12. ORFEA loue à combien par jour ? Je dirais une trentaine d'euros ? Ce qui mènerait donc à 600 € pour un mois complet (sauf weekends). Je crois savoir (c'est sur ce forum qu'il me semble l'avoir lu) qu'il est possible de demander une avance sur les allocations de déplacement. Reste à ajouter le prix des repas. S'ils sont pris auprès du Comité d'Etablissement du coin, les prix pour les repas principaux sont ici : http://www.certours.org/sites/default/files/fichiers/menus_sem_28-_2017.pdf Ce sont des frais de bouche que vous auriez eu chez vous aussi. Reste à mesurer l'écart, en plus ou en moins. En général, une banque autorise un découvert représentant un mois de revenus (d'autant qu'elle ne va pas manquer de percevoir quelques agios dessus). Mais peut-être que vous consommez déjà ce découvert autorisé, d'où le courroux de la banquière (sic). Attention, il peut sans doute y avoir un décalage dans le paiement des allocations de déplacement (à M + 1 ?). Raison de plus pour demander une avance si toutefois, comme je le pense, cela est possible. J'en appelle aux autres contributeurs pour confirmer.
  13. Comme je suppose que le futur ASCT est déjà affecté à un Etablissement Commercial Trains (ici à Caen ?) et qu'en formation dans une autre région il est donc en déplacement (du régime général), il remplit a priori les conditions pour une allocation dite "complète" de 91,28 € par jour. Lorsque le personnel est logé et/ou nourri à l’occasion d’un déplacement (centre de formation, établissement social...), il est facturé à l’intéressé les 9/10ème du montant de son allocation de déplacement, sur la base de l’allocation de repas * (pour chaque repas du midi ou du soir) et de l’allocation de découcher ** (pour une nuit et un petit-déjeuner). * Le repas : 22,82 €. ** Le découcher : 45,64 €. En général, en centre de formation, l'agent laisse l'entreprise assurer le gite et le couvert même s'il y laisse la majeure partie de de son allocation de déplacement. C'est plus pratique, plus commode. Cela n'influe pas sur ses charges courantes à son domicile habituel. Mais libre à l'agent de percevoir les allocations de déplacement que de droit et de faire son affaire de ses repas et de son hébergement pendant la formation. Dans le détail des us et coutumes des centres de formation et de leur offre de service, je ne saurais me prononcer. Ma réponse repose sur des souvenirs anciens... et comme tout change. J'espère ne pas induire en erreur avec ma réponse. Merci aux autres contributeurs de confirmer.
  14. PLANONYME

    Livret A

    La dette publique française est au moment où j'écris de 35 397 € par habitant. Il faut que j'écrive vite car elle ne cesse grimper de seconde en seconde... selon ce site : http://www.dettepublique.fr/ Je sais que c'est un peu hasardeux et sensible mais si on met en parallèle le montant moyen d'une succession, c'est 175 000 euros pour 3,2 héritiers. Soit 55 000 € par bénéficiaire (mais en fait puisqu'il y a des droits à payer il reste 32 309 en moyenne par bénéficiaire, c'est presque le montant de la dette publique). Le compte est bon ! L'économie est un vaste bilan à somme nulle.
  15. Je suis bien d'accord. Et c'est la réponse qui s'adapte aux interrogations et préoccupations de Soleya.
  16. Les préoccupations de Soleya ne portent pas sur le décompte de ses droits à congés mais sur le terme de son temps partiel thérapeutique, autrement-dit la date à laquelle elle reprend son service normal (sauf aléa médical ou autre). Dans son raisonnement, elle reportait la date d'échéance de ce temps partiel thérapeutique des congés pris dans la période. J'ai eu un peu de mal à comprendre sa question et ses préoccupations. A mon avis, c'est un peu à cause des mêmes incompréhensions de ses différents interlocuteurs qu'elle obtient des réponses différentes. Sous toutes réserves.
  17. Je pense que tu as voulu écrire : "le même EPIC". Pour le reste, j'étais en train d'écrire ce qu'a posté simultanément Assouan. Je m'interromps car rien à ajouter.
  18. En fait, j'ai déjà répondu en message privé à Soleya... mais, chacun avec ses sources, chacun avec son raisonnement, nous n'arrivons pas à nous mettre d'accord. Pour moi le temps-partiel thérapeutique est un délai préfix. Et si c'est pour un an (le maximum), pendant ces 365 jours, le bénéficiaire de la formule n'est par définition pas au travail tous les jours. Il y a des repos. Nul ne prétend que les repos vont prolonger le temps partiel thérapeutique pour que ça fasse 365 jours effectifs. Par quelle drôle de logique en serait-il différemment pour les congés ? Cela-dit, si je me trompe je veux bien faire amende honorable.
  19. A ce stade, ce qui compte pour l'entreprise c'est de tenir sa promesse faite au client de lui faire parvenir une réponse dans les 5 jours : http://www.sncf.com/fr/services/service-client/formulaire-reclamation Même si ensuite il faut parfois deux mois au Service Relations Client pour apporter une solution satisfaisante.
  20. 80 % du SMIC (à partir de 21 ans !). Si 20 ans seulement en début de contrat, ce ne sera pendant un certain temps que 65 % du SMIC.
  21. Ce n'est pas qu'ils n'osent pas ! C'est que c'est très compliqué. Il faut notamment avoir un agrément (d'agence de voyage). Le marché est protégé. Dans l'autre sens, pour la SNCF vendre des billets en Suisse ce n'est pas simple non plus. Cela passe par une filiale : RAIL EUROPE en partenariat avec... CFF. Je ne résiste pas à citer cette anecdote : © 130 lettres caustiques et cocasse à la SNCF – Editions La Vie du Rail (2013). Chère compagnie ferroviaire, Triste apôtre de la baise internationale. Laisse-moi te dire la douleur cruelle que j'ai ressentie ce matin en allant retirer mon billet au bureau de Genève. "Il y a des frais de retrait à l'étranger, dix francs suisses, comment souhaitez-vous régler ?" m'annonça sans la moindre honte dans la voix cette pauvre exécutrice des ordres impériaux. "Par carte bleue" bien sûr, répondis-je, le sourire aux lèvres, ravi de me faire ainsi mettre en douceur et en délicatesse. Sur ce, les mains du démon imprimèrent le billet et me le remirent dans sa noble pochette. Et sur votre site internet, pas un italique minable ravalé en fin de page prévenant "attention, au pays des scrupuleux banquiers suisses, nous vous taxerons de la gabelle réglementaire". Dix francs suisses pour la même opération qu'en France, dix francs suisses injustes et comble des actes de basse échelle auxquels se livrent les crapules financières du monde entier. Palefreniers. Je ne pense pas récupérer mon dû. Vous êtes sans doute trop vils pour ça. Le dédale administratif se charger d'engloutir ma requête.
  22. C'est surtout en termes de priorité (ou de préférence) que ça s'apprécie. L'idéal pour démarrer serait sans doute un logement dans une résidence sociale Parme (association Loi 1901 mais c'est la SNCF qui est derrière via une filiale immobilière propriétaire des murs) : http://www.residencesparme.fr/
  23. La CGT a également signé l'accord formation professionnelle de la CCN. Avec une lettre de réserves certes, mais signé quand même. Ce n'est pas courant que la CGT, s'agissant de la CCN (versus Statut et accords d'entreprise SNCF) juge ceci : Cet accord comporte des dispositions plus favorables que celles du Code du Travail. Tout éventuel accord d’entreprise ne pourra être que plus bénéfique que celui de la branche ferroviaire. https://www.cheminotcgt.fr/wp-content/uploads/2017/07/20170711_Tract_CCN_formation_pro.pdf
  24. Voilà qui ressemble non pas à un billet monté comme un aller-retour mais comme un aller-simple enchaînant tous les trajets (segments). Une partie du voyage étant déjà effectuée (date passée), le reste n'est pas remboursable. Ceci expliquant peut-être cela. Sous toutes réserves car mes souvenirs de la vente commencent sérieusement à dater. J'ai souvenir que c'était surtout les agences de voyages qui faisaient ce genre de blague (ça va plus vite que de scinder un aller et un retour comme il se doit) mais parfois en gare ou boutique d'aucuns s'y essayaient aussi.
  25. C'est la référence de dossier (6 caractères alphanumériques) qui permet d'accéder à la commande... https://www.voyages-sncf.com/services-train/suivi-commande Si message d'erreur il y a, il dit quoi ?
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