Inharime

Non seulement ils n'ont pas de boussole mais en plus ils n'ont pas de calendrier...

Tout ça parcequ'un dépité, pardon, député nouveau centre a voulu s'attaquer à Martine Aubry. Il ferait mieux de s'occuper de ce qui est vraiment important (lutter contre le chomage, la précarisation, la perte de pouvoir d'achat, la casse des services publics...). Mais c'est sans doute trop difficile pour lui...

Le viaduc de Chantilly (de son vrai nom viaduc de la Canardière) est à 3 voies depuis sa reconstruction d'après guerre (il était à deux voies auparavant). Celui situé entre Orry et Chantilly (viaduc de la Reine Blanche) est à 3 voies, pouvant être porté à 4 voies, il a remplacé l'ancien à 2 voies. Les travaux d'établissement d'une troisième voie ont débuté pendant la seconde guerre mondiale afin de donner du travail à certains et de leur éviter d'être réquisitionnés pour le STO...

Maitre Capello aimait les palindromes (mots ou phrases qui se lisent dans les deux sens). Lorsqu'on lui présenta le palindrome suivant: "Eric notre valet alla te laver ton ciré", il proposa de remplacer le prénom Eric par celui de Luc...je vous laisse la suite.

Lorsque j'étais en activité, il était possible de demander un arrêt exceptionnel en s'adressant au CVG (Centre des Voyages en Groupe). La réponse, positive ou négative, se basait sur certains critères: l'aspect commercial (essentiellement le nombre de voyageurs concernés ou l'absence de solution alternative), la régularité (pour le train en question et les trains suivants), les possibilités techniques...Il était tenu compte de l'avis des "commerciaux" mais également des "techniciens" et ce type de demande n'était pas rare. J'ai eu à en traiter tant à RT1 Nord qu' à la DIF. J'ignore si, compte-tenu de l'atomisation actuelle du système ferroviaire ces demandes sont encore possibles... En son temps, le Canard avait narré les voyages hebdomadaires d'un certain maire de Paris, également député de la Corréze, qui faisait arréter le Capitole en pleine voie en haut d'un remblai au bas duquel l'attendait une voiture qui lui permettait de rejoindre son fief provincial plus rapidement... Le cas de Martine Aubry est différent, elle a su profiter d'une modification temporaire utilisable par tous et n'a bénéficié d'aucun passe droit.

Et quel avocat va se proposer pour le défendre?

C'est du Devos!lotrela

Merci Technicentre, celà voudrait donc dire que ce tram-train n'est pas (tout à fait) au point...

(hélas!)

Merci Kerguel. Mon interrogation concerne la méthode de travail de l'EPSF: le contrôle consiste-t'il à "éplucher" un dossier "papier" ou à effectuer des investigations et des essais sur le matèriel (genre contrôle technique automobile, voire plus)? L'EPSF doit il rendre son avis dans un délai déterminé ou peut il se hâter lentement? Est-ce que la validation concerne chaque engin individuellement ou l'ensemble d'une série? Dans le cas du tram-train de Nantes le "retard" de l'EPSF remet en cause la desserte envisagée et celà a des conséquences désagréables tant pour l'AO que pour les voyageurs et il serait intéressant de savoir si ce retard est le fait du constructeur (présentation tardive des documents necessaires par exemple) ou de l'EPSF (lourdeur administrative, surcharge de travail...) La mode actuelle n'allant pas dans le sens de la simplification il serait dommage que l'empilement d'organismes différents n'aboutisse qu'à allonger les délais de mise en oeuvre des nouveaux matèriels et des dessertes envisagées...et il serait bon que chacun travaille vite et bien (je réve!).

L'EPSF, c'est quoi? (rôle, responsabilité, méthode de travail, moyens techniques, financiers...) Quels sont les matèriels qui doivent être validés, qui en fait la demande (constructeur, exploitant, AO...) S'agit il d'un organisme plutôt technique ou administratif?

Oui, cette ligne devait relier les lignes de Tergnier et de Longueau via Montdidier directement au Bourget via Senlis. Elle devait permettre d'améliorer la circulation des trains de charbon en provenance du nord vers la région parisienne. Plusieurs ouvrages d'art ont été construits puis les travaux interrompus à cause de la crise (déjà) du milieu des années 30. Mis en sommeil pendant la guerre ce projet a définitivement été abandonné lorsque les projets d'électrification ont vu le jour.

Je passe mon tour (et merci pour le compliment).

Sur la ligne le Bourget - Verberie qiui n'a jamais été terminée?

Oui, un prix de consolation pour certains...

Certes, mais les dirigeants des grandes entreprises françaises s'offrent, eux, des augmentations de salaire à deux chiffres chaque année. Pourquoi ce qui est possible pour les patrons ne le serait pas pour les ouvriers?

Une question: n'était'il pas possible de passer par une ligne "classique"? (via Aulnoye ou même la région lilloise).

Elle sert à montrer que le SEUL qui se préoccupe du bien-être des usagers/clients/voyageurs c'est Sarko lui-même et pas ces feignasses de cheminots...2012, vous avez dit 2012?

C'est parceque, comme le prétendent les UMPistes tu travaillera 18 heures par semaine pour 4000€ par mois. Si, un jour, tu deviens conducteur, ne viens pas te plaindre si ça n'est pas vrai, ce sera trop tard...

J'aime bien quand on parle comme ça!

Plus faux-cul, tu meurs! Exiger des résultats sans donner les moyens nécessaires c'est la pire hypocrisie...mais encore une fois les lecteurs du Figaro et les télespectateurs de TF1 vont applaudir Sarko (lui, au moins il sait ce qu'il veut!) et tomber à bras raccourcis sur les cheminots (je vous passe les commentaires, vous les connaissez). Ce qui n'a pas marché avec la justice réussira peut-être avec les cheminots. 2012, on est en plein dedans!

Tout à fait, le pauvre Francis T..., à l'époque directeur du Transport (ou quelque chose du même tonneau) s'en était pris plein les dents (et je suis poli). Le journaliste de service et les représentans syndicaux lui étaient tombés dessus à bras raccoiurcis. Cela dit, dans les années 60 (déjà), la ligne Creil - Beauvais ne faisait l'objet d'un entretien que les 15 jours précédant le passage de la voitue Mauzin...(mais la vitesse n'y dépassait pas les 80 Km/h).

La bille suit le parcours qu'empruntera le wagon, chronologiquement elle passe avant lui...

Pendant la première guerre mondiale une troisième voie avait été posée entre Aumale et Abancourt pour le retour des machines de pousse utilisées entre ces deux gares...

Bravo!