Inharime

Cela n'empêche pas de tenter de savoir qui est le vrai responsable. Rejeter systématiquement la faute sur la SNCF arrange bien du monde.

Méfiance quand même...Avec Jupiter Junior les allocations logement ont du plomb dans l'aile (mais pas les chasseurs).

Les passagers n'avaient pas de papiers en règle mais ils ont tenté de franchir une frontière. Le conducteur a donc été considéré comme un passeur. Et puni en conséquence. Il a voulu gagner 3 francs 6 sous et a perdu sa voiture. Maintenant c'est un piéton. Mais qui pourra toujours voyager grâce à Blablacar. Comme quoi il y a toujours une solution.

Merci

Il n'y a pas de retraite d'ancien ministre, ça n'existe pas.

Pas encore pour le personnel mais déjà pour l'entreprise. Sauf erreur la SNCF verse un montant forfaitaire puisque, hors trains à réservation obligatoire, il ne lui est pas possible de connaître l'utilisation réelle des facilités de circulation.

Quel problème de gabarit?

Qu'est-ce que je regrette sa disparition J'en ai fait des voyages immobiles avec lui !

Il faut aussi attendre la construction de la future gare de Nîmes ce qui permettra de faire circuler tous les TGV par la ligne à grande vitesse et donc d'accroitre la desserte. Et il faut se souvenir des critiques qui avaient accompagné la création de la gare de Lyon Part Dieu (inutile puisqu'il y avait déjà la gare des Brotteaux et celle de Perrache) ou du RER E (lui aussi inutile puisqu'il y avait le RER A). Quand on voit ce qu'il en est aujourd'hui ce genre de décision est loin d'être une erreur.

Non. Il s'agit pour l'instant de négociations entre les syndicats et les représentants des opérateurs et j'ignore où tout cela en est.

Rien puisque la nouvelle convention collective n'est toujours pas rédigée. En bon entrepreneur Jupiter Junior a commencé par casser ce qui existait sans se soucier de la suite. Mais, et c'est normal, un individu de sa stature n'a pas à se préoccuper de mesures bassement matérialistes. Le salaire ou les conditions de travail de quelques milliers d'employés sont choses bien trop futiles pour qu'il daigne s'y intéresser. Quant au personnel de la SNCF, après avoir dû avaler la casse de son entreprise, il va lui falloir à nouveau avaler la réforme des retraites. La digestion va être particulièrement difficile.

C'est bien joli ton discours mais dans le cas présent il s'agit de Régions qui souhaiteraient se passer des services de la SNCF pour la vente de LEURS billets régionaux et non pas de la SNCF qui, selon toi, serait infoutue de proposer des solutions innovantes. Je sais que tout ce qui ne va pas en ce bas monde est de la faute de la SNCF et de son personnel mais faudrait voir à pas trop pousser

Un billet par train (et donc par opérateur) permettra entre autres de régler les ruptures de correspondance...puisqu'il n'y en n'aura plus au strict sens du terme.

...parce que l'herbe est toujours plus verte ailleurs...

Les portes sur les quais… J'ai connu ça en juin1968 lorsque j'ai été nommé à Villiers le Bel à mon retour du service militaire. Pour le deuxième quai (celui vers Paris) par exemple il y avait un boitier de commande à disposition de l'agent expéditeur qui permettait d'empêcher l'accès au quai tant depuis le passage souterrain (situé en bout de quai coté nord) que de la passerelle (au milieu du quai); Dans la théorie tout était parfait: le train arrivait, les voyageurs présents sur le quai montaient à bord, l'agent commandait la fermeture de ces portes, donnait le signal de départ et le train partait. Mais ça c'était la théorie car dans la pratique il y avait toujours quelqu'un pour tenter de bloquer le fonctionnement ou d'escalader la porte. Sans parler de ceux qui traversaient les voies. Et si le train ne partait pas immédiatement cela nous valait une bordée d'injures de la part de ceux qui s'estimaient injustement bloqués. Et il y avait un défaut majeur: il fallait un agent...Le jour où la SNCF a décidé de se passer des agents expéditeurs et de confier le signal de départ à l'agent d'accompagnement ces portes sont devenues superflues. N'arrêtant pas le progrès (!) la SNCF a ensuite décidé de se passer de l'agent d'accompagnement et laissé l'agent de conduite se dé...brouiller tout seul. Je crains que si on réinstalle des portes et quel qu'en soit le mode de fonctionnement il y aura toujours des problèmes. Et, surtout, il faut savoir que la France n'est pas le Japon (et c'est là l'essentiel ).

Il n'y a eu que pendant la guerre que les 141TC Nord ont "fait" autre chose que de la banlieue (voir le livre les locomotives tender de route 2 aux éditions du Cabri). Pour l'anecdote seules les 52 et 68 ont été brièvement mutées à Amiens pour la première et à Hazebrouck pour l'autre au cours de l'année 1940.

L'opposition, quand elle est la majorité (ne pas oublier que ça change tous les 5 ans) n'est pas fichue de pondre un budget à l'équilibre, alors respecter une quelconque règle...et les médias, eux aussi, fluctuent au gré des élections. Ce qui était inadmissible hier devient tout à fait normal aujourd'hui et vice-versa.

La vignette n'a pas été supprimée par Chirac mais par Fabius et, de toutes façons, son produit n'était pas destiné à financer le réseau routier mais à améliorer la situation des "vieux" (défense de rire).

...bof, chez Thalès à Cholet il y a 1400 employés dont 800 cadres. La répartition cadres/non cadres dépend tout simplement de la technicité de l'entreprise et, comme le dit justement Jackv de la part des sous-traitants. Et pour avoir été cadre à la SNCF (sans fonctions de commandement mais par reconnaissance de ma haute technicité ) je peux certifier que les salaires n'ont rien de mirobolant. Le cas de F Parly est loin de la généralité.

...et les "road train" en Australie.

Dont acte. 1986 est la fin des roulements réguliers. A cette échéance il ne devait rester qu'une trentaine de voitures en service.

Les ex banlieue Est ont quitté la région parisienne à l'automne 1986 (les rescapées ont vécu un an de plus sur la région de Nancy) et la disparition de la 3ème classe date de 1956.

Il fut un temps où les échanges se faisaient en 6 minutes pour les Paris - Boulogne/Calais et 5 minutes pour les Paris - Lille qui rebroussaient à Amiens. Mais ça c'était dans le temps… Le record c'était à Crépy en Valois où l'échange se faisait en 5 minutes dans le sens Paris - Laon.

4 tonnes sur 32 cela fait 12,5% Cela dit je partage bon nombre de tes arguments.