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La raison l'emportera, et ce sera avec des voitures personnelles... La VP ne coûte rien à l'etat, rapporte énormément à l'etat en taxes, impots, pv, rapporte énormément à la filière du commerce automobile et pétrolier, rapporte énormément aux assureurs, aux banquiers. On ne peut pas lutter contre l'argent roi.

Il peuvent essayer de mettre un TGV-eco de nuit pour attirer une autre clientèle Mais je crois qu'il ne faut pas négliger l'énorme marché potentiel du TGV........ en cas d'éruption volcanique qui clouerait au sol les avions par exemple

il était peut-etre paumé ?

La panne de signalisation à Saintes a mécaniquement pu retarder un tgv à Dijon, ça s'appelle "l'effet papillon" Pour les travaux à Cassis, ça doit etre plutôt "l'effet du sillon"

on distingue la caisse déformée par l'explosion

pas pire que des belles rames tgv sudeste

comme avant 1937

y'a pas que le chômage qui a augmenté, y'a aussi les profits.

Si les portes restent fermées aux arrêts de service, les fumeurs enragés vont faire des malaises.

C'était exactement pareil dans les années 70 et 80 mais sans le gilet orange à 13,12 francs.

ça regarde la ratp et la ville de paris (pour les droits d'image)

Dans le document de l'APUR, il y a ça : On peut en déduire que la repose des voies sur ce raccordement n'est pas une urgence tant que la liaison ceinture batignolles-évangile n'est pas réalisée. C'est pas pour demain vu l'etat de l'infrastructure entre clichy et ornano. D'autant que côté évangile le projet CDG-Express risque de chambouler le tracé existant.

Ca pourrait être intéressant pour les trains de déchêts nucléaires car ceux-là coûtent cher en précautions multiples pour éviter les opposants.

sur la photo c'est la passerelle Austerlitz, pas le pont national.

Les tramways d'aujourd'hui n'utilisent pas la plateforme des tramways des années 30. Tout est nouveau, tout est à construire, tout est coûteux, et ça fait partie de l'intérêt de certains acteurs de ces projets.

C'est pas RFF qui décide si il y a des trains à faire circuler sur une ligne, mais RFF fait le constat qu'il n'y a aucun train qui y passe. Donc c'est bien la SNCF qui condamne ces lignes.

Je pense qu'ils s'en fichent de savoir si c'est public ou privé, ce qui compte c'est la valeur de leur bien immobilier, sncf ou pas. Surtout si on leur dit que c'est pour une entreprise de béton pour construire du logement social un peu partout.

Dans ce cas là, il y a encore plus simple : payer directement les agresseurs avant qu'ils ne frappent, et affecter ça aux frais généraux.

Vers 1998/2000 les act se partageiant la surveillance, l'un regardant à contrevoie au moment de l'arrêt. Mais bon, sur un arrêt de 10 mn parfois pour un train de 16 voitures, c'était un peu léger.

Je veux bien y croire, mais pour l'instant, techniquement, ça paraît difficile. Et politiquement encore plus, cette portion de PC traversant des quartiers peu passionnés de circulation ferroviaire. Déja que les architectes ont eu la nausée quand on les a obligé à dessiner un semblant de voie ferrée sur leur beau bassin....

Ce n'est pas un problème de coût, c'est un problème de choix politique. Un RVB intégral sur une voie existante pourra être difficilement contesté par les politiques et les riverains. Mais retransformer une voie-verte en voie ferrée, autant affronter un troupeau de pittbulls à mains nues.

Ils sont lents à comprendre les suisses. Chez nous dans les années 90 les bandes écumaient les trains de nuit du sud-est entre les arrêts de service d'avignon et lyon-perrache, en plus les plages horaires étaient parfaitement adaptées à leur activité (0h30/3h30 dans le sens montant, 3h30/6h30 dans le sens descendant). Rien de neuf.

On paie des impôts donc ça nous appartient, on fait ce qu'on veut...

Il faut juste que ça tienne le jour de la présentation aux journaleux et aux politiques, après on s'en fout

Si, généralement le préfet envoie les crs là où il n'y a pas de risques qu'ils se blessent contre des perturbateurs virulents. >