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Le Web des Cheminots

E.T.G.

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Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. Que vont devenir ceux à qui la moutarde monte au nez?🤣
  2. E.T.G.

    Actu RATP

    Je crois que ce qu'il y a eu surtout, c'est 45 ans d'absence de réelle volonté (et/ou de moyens) de réaliser ce prolongement plus tôt. Et tout pendant que le prolongement ne se fait pas, les études ne continuent pas, elles sont arrêtées, il ne se passe rien et c'est du temps de perdu.
  3. CGO a raison sur un point: il existe tout un tas de mesures qu'il ne sera peut-être pas si simple de faire sauter, mais qui ont particulièrement pénalisé le fonctionnement de l'entreprise: remettons-nous dans le contexte lors de la mise en place de la gestion par activités: il fallait que chaque entité aie un budget dont elle était responsable, et elles ont réclamé et obtenu d'avoir leur propre parc d'engins moteurs (et/ou de matériels remorqués) et leurs conducteurs. Mais ce n'était pas obligatoire d'en arriver là: il y avait une autre solution moins pénalisant, qu'on s'est à l'époque bien gardé de préférer (sans doute pour que chaque directeur d'activité soit le maître de sa chapelle, la plus large possible): le parc de matériels et conducteurs pouvait rester unifié, chaque activité payant par exemple sa participation au prorata des kilomètres parcourus par chaque locomotive ou chaque agent, qui auraient continué d'appartenir à la même Direction. Les engins et les agents auraient ainsi conservé une polyvalence et surtout une rationalité qu'ils ont perdus. Je sais bien que rien n'est simple, je sais bien qu'à ton niveau même avec la meilleure volonté du monde tu ne peux rien y changer, mais là tu parles comme des dirigeants et il y a un petit truc qui me froisse dans ces propos: d'emblée c'est une position de fatalisme qui est adoptée, consistant à argumenter qu'il y a ceci et cela qui empêche que. Or, quand on veut, on trouve de la bonne volonté, quand on ne veut pas, on trouve des prétextes! Ce dont on tente aujourd'hui de nous faire croire que ce n'est plus possible aujourd'hui, on l'a pourtant fait dans le temps, c'était la base et ça marchait très bien. Dans le temps les agents touchaient régulièrement plusieurs types d'engins et de trains et ils en faisaient une bonne proportion de chacun ce qui fait qu'ils n'avaient aucun risque de perdre une habilitation engins ou ligne faute d'y être revenu depuis trop longtemps. Pour reprendre ton exemple de l'U.P. de Creil cité plus haut, faire du D ou du T.E.R. est tout à fait possible par les mêmes gars. Le coût des formations peut être annihilé par une meilleure productivité du personnel qui par exemple sur sa première moitié de journée de service va faire un demi-tour Paris, suivi dans sa deuxième moitié par un demi-tour Beauvais ou Saint-Quentin. Idem pour les réserves, pour lesquelles tu n'auras pas besoin d'avoir une réserve pour le D et une autre pour le T.E.R., mais une seule apte et prête à partir au pied levé pour remplacer un conducteur manquant, sans contrainte de connaissance engins ou ligne.
  4. Délai d'édition dépassé (erreur de fil pour le post précédent), je n'ai pas dû louper de grand-chose. Bref. Balade sur l'ancienne ligne Mayenne - Laval en juillet 1997 avec mon oncle, retraité de la S.N.C.F., Direction du Transport, qui connaissait le réseau comme sa poche et particulièrement le sud-est, duquel il s'occupait, et les lignes de Mayenne, où ma famille s'était établie et où il s'était retiré. Il est décédé quelques mois après à 58 ans d'un malaise cardiaque mais je n'ai pu être prévenu qu'à mon retour à la caserne (pas de téléphone mobile à l'époque) car quand c'est survenu j'étais sous les drapeaux mais parti en permission voir les X4300 sur Colmar - Metzéral et Mulhouse - Kruth... Première photo à la sortie de la ville de Mayenne, juste après une petite zone industrielle séparée d'un lotissement par la voie. Trois photos suivantes, sur le viaduc de l'Aron (rivière); puis dernière photo vue de la ligne depuis le pont-route en sortie de gare de Mayenne vers Laval.
  5. Les X4696-XR8693 et X4730-XR8727 sont vus à l'approche de L'Arbresle (69) en provenance de la ligne de l'Ouest Lyonnais en mai 1997. La XR8727 connaitra un retrait de service anticipé après avoir heurté une voiture sur un passage à niveau. Malgré le peu de dégâts qu'elle avait alors subi, elle ne sera pas remise en état mais sera remplacée par la XR8600 provenant de la X4581 radiée, remorque ayant bénéficié d'un prolongement de parcours (A.T.P.-PR) pour sa nouvelle utilisation comme complément à la X4730 disposant encore d'un potentiel intéressant.
  6. La BB66111 a quelques difficultés à briller sous la lumière du soleil déclinant malgré que sans être comme neuve elle reste largement présentable. Dépôt d'Avignon (84) en février 1995.
  7. Toulouse (31) en août 1995, avec les X2854 et 2831 encadrant une XR6000 qui partiront pour Auch dans quelques minutes. Remrquer la XR6000 dans le dépôt voisin, qui témoigne qu'elle passera bientôt en maintenance car à Toulouse comme dans beaucoup d'endroits de France les remorques ne rentrent pas en dépôt mais restent en gare ou sur des faisceaux ou voies de garage qui leur sont dédiés (à Toulouse, le faisceau de Raynal, situé à gauche après la sortie de la gare en direction de Tarbes, Auch ou Latour-de-Carol. Et photos souvenirs de votre serviteur, quand il était encore jeune, beau, et pas gros! Le magnétophone pour enregistrer les bruits de moteur et le carnet de notes sont du voyage!
  8. Pauvres BB8100 et autres "BB Midi" garées à proximité immédiate des Ateliers de Béziers (34) et attendant un sort funeste en février 1995.
  9. Star déchue, le X4502-XR8365 a terminé le tournage du film La Voie est Libre et il est garé au dépôt de Lyon-Vaise (69) en juin 1998, d'où il sera expédié quelques temps plus tard aux Ateliers du Mans pour récupération de pièces (notamment ses bogies, et comme il n'y avait plus assez de bogies d'atelier pour le remettre sur roues, les deux caisses furent grutées et se retrouvèrent au cimetière des E.A.D. et E.T.G. posées à même le sol d'une allée en se faisant face). Nous observons dans le fourgon le strapontin qui avait été monté sur la cloison ouvrante de l'armoire électrique, et par la baie du fourgon également des banquettes tandis que l'on aperçoit la première baie voyageurs qui est une baie ouvrante (toute les baies de cette face furent ainsi modifiées) alors que sur les E.A.D. sur le côté droit des motrices et gauche des remorques elles sont normalement fixes. J'avais précédemment donné le détail des modifications qui avaient été apportées à l'élément ainsi qu'à la motrice X4321 et à l'élément X4699-XR8696 pour les besoins du tournage du film. Et vous avez de la chance, vous en verrez déjà beaucoup dans cette vidéo du film complet qui a été mise en ligne récemment. Vous noterez qu'au début, lorsqu'on voit la Z6400 arriver à quai c'est un bruit de X4500 qui est mis en fond, alors que plus loin dans le film, à chaque démarrage d'un des trains c'est un bruit de X4630 qui est mis, même quand c'est justement le X4500 qui démarre. J'avais d'ailleurs assisté au tournage de certaines d'entre-elles de même que j'ai eu le privilège de pouvoir accompagner le X4500 pour rentrer de Lozanne à Lyon-Vaise lorsqu'il fut libéré à la toute fin du tournage (il était rentré par ses propres moyens conduit par un conducteur détaché aux tournages accompagné pour son retour d'un chef de traction). Notez certaines scènes comme à 13'51" montrant l'élément X4500 et la X4321 poussés par une BB63500 (on devine le marchepied avant que la scène soit coupée), et par exemple aussi un autre moment ou l'image est à l'envers (sigle S.N.C.F. sur la face de l'engin) ou l'installation de pancartes "REV" en gare de L'Arbresle, qui n'ont pas lieu d'être dans cette gare puisqu'aucun matériel genre R.C.R. n'y circule. S'il y a des questions ou si vous relevez d'autres "anomalies" au niveau ferroviaire, on peut en discuter... Le film: https://www.youtube.com/watch?v=mQfPoOSF7K4
  10. Terminons la visite de l'embranchement particulier des Magasins Généraux du Mans (72) avec quelques photos de son pont tournant vu en mai 1996. Il y aura une suite ultérieurement car j'ai encore quelques autres photos prises un peu plus tard sur ce site. Le temps de les scanner, mais elles ne font pas partie de la prochaine séance.
  11. Deux trains Brive - Toulouse via Capdenac et Aurillac - Rodez se font correspondance en gare de Capdenac (12) en août 1995. L'un est formé d'un X2800 tractant une XR6000 tandis que l'autre n'est désormais plus formé que d'un X2800, le locotracteur Y8000 de la gare venant de lu soustraire sa XR96200. Signalons justement une particularité qui a existé dans les roulements de ces matériels, notamment dans les années 80, et qui a consisté à une époque et tandis que chacun de ces trains était assuré par un X2800 tractant une remorque, à permuter la remorque de chacun d'entre eux en gare de Capdenac, permettant d'offrir aux voyageurs des trajets sans correspondance Brive - Toulouse ou Rodez et Aurillac - Rodez ou Toulouse. Bien que cela puisse prêter à polémique, je pense qu'une bonne correspondance quai à quai comme ici n'est pas beaucoup moins pratique pour les voyageurs tandis qu'elle permet d'accélérer ces trains en leur évitant ces manoeuvres de corps d'armée. Enfin, et pour la culture générale de chacun, terminons par une particularité peu connue au sujet de la ville de Capdenac, qui est divisée en deux parties, Capdenac-Gare, située dans l'Aveyron, et Capdenac-le-Haut, située dans le Lot, la rivière éponyme faisant office de limite entre les deux départements, par ailleurs tout deux situés en Midi-Pyrénées, ancienne Région noyée dans ce qui constitue maintenant l'Occitanie.
  12. En août 1995, les trains Nantes - Lyon et retour sont encore aux mains des CC72000 et voitures Corail et l'offre est encore attractive malgré la concurrence des T.G.V. intersecteurs. La CC72070 qui assure un de ces trains numérotés 3500 (les deux premiers chiffres signifiant le réseau sur lequel il circule, du réseau Atlantique ex partie Ouest représentée par le 3, vers le Sud-Est représenté lui par le 5; trains 5300 dans l'autre sens) souffle quelques minutes lors de l'arrêt en gare de Saint-Germain-des-Fossés (03), où Patrick, un sympathique conducteur tourangeau va passer le relai à un de ses homologues de Lyon-Vaise qui emmènera le train jusqu'à son terminus. Et justement, sur les deux autres vues, notre conducteur photographié avant l'arrivée au bout de son étape.
  13. X4757, 4758, ...4759? Non, 4308! Je n'ai pas encore les numéros dans l'ordre donc pour l'instant je ne vais pas jouer au loto! En gare du Mans (72) en avril 1995 les deux premiers engins sont en tête d'une belle petite triplette au départ en direction de Caen tandis que le X4308 stationne.
  14. La belle CC6540 impeccable en livrée Maurienne est vue en février 1995 au repos au dépôt d'Avignon (84). Mais celui-ci est presque terminé puisque nous retrouvons notre locomotive en sortie de dépôt quelques instants plus tard puis encore quelques minutes plus tard mise en tête d'un train de wagons-citerne à un endroit qui de souvenir serait le faisceau situé en sortie de gare lorsqu'on va vers Miramas par la ligne impériale, ce n'est pas celui-ci qu'on appelle Champfleury? En prime, petite vue de profil de la face avant.
  15. Je vous avais publié il y a quelques mois des photos du X2125 accidenté. Il fut réparé par les bons soins des Ateliers de Nevers, qui s'en étaient d'ailleurs servis comme cobaye pour les O.P.C.E., Opérations Périodiques Confort Esthétique, qui allaient bientôt commencer sur la série. Du bien beau travail de remise en état, mais on notera toutefois deux "fantaisies de peintres": l'adoption pour ses marquages latéraux d'immatriculation de caractères gris foncé sur fond bleu Anglais, qui n'en facilitent pas la lecture; et l'affichage indu de la lettre "u", qui désigne un véhicule climatisé, alors que chez les X2100 il n'en est rien... Nous le retrouvons ici en tête de la XR96202 Midi-Pyrénées en août 1995, dans une gare dont je n'ai en revanche pas noté le nom mais qui en tout cas se situe ente Toulouse et Auch (sens de circulation du train). Il semble devoir s'agir de Gimont-Cahuzac ou de L'Isle-Jourdain. Nous remercions par avance les spécialistes qui voudront bien éclairer notre lanterne.
  16. L'hiver est terminé, le printemps arrive, le C.N.S., Chasse Neige Spécial d'Aurillac (15), qui n'a pas dû souvent servir l'hiver dernier tellement il a été clément, peut de nouveau "hiberner" jusqu'à l'hiver prochain. Nous le voyons ici dans son dépôt en août 1995. Fin de l'hiver signifie aussi la fin pour la S.N.C.F. de son "Plan Grand Froid" (et pour nous si nous sommes amateurs de contrepèteries 🤣).
  17. Petite erreur de légende sur le post précédent, revoici la BB63133 avec le bon numéro, et, puisqu'il était question de la 63222, la voici. Et comme c'est vous, jamais deux sans trois, je joins également la 63194. Elles sont toutes trois garées dans le dépôt de Marseille-Blancarde (13) en mai 1997.
  18. L'élément X4602-XR8402 vient en mai 1997 de rentrer au dépôt de Fives (59) où il sera nettoyé et ses pleins faits avant d'être classé pour une pause bien méritée avant sa prochaine utilisation. Détail d'une modification faite de façon "artisanale" sur son front, ayant consisté à obturer les orifices de ses trompes d'avertisseur sonore. En effet, depuis 1993, les engins passant en révision et n'étant pas modernisés bénéficient aussi du déplacement de cet équipement sous la traverse avant, afin d'éviter les entrées d'eau et in fine la corrosion du haut des faces avant et éventuellement les infiltration d'eau dans les cabines de conduite. Pour ce dernier point, une autre modification sera apportée sur les tout derniers engins révisés (une poignée), avec (enfin!) le montage des pares-brises sur des joints en néoprène, comme sur les éléments modernisés, plutôt que fixés dans leur encadrement et mastiqués.
  19. La BB63222 toujours propre dans sa livrée verte est garée sur les voies du pont tournant thermique du dépôt de Marseille-Blancarde (13) en mai 1997.
  20. La XR96215 attend que le prochain autorail avec lequel elle assurera un train l'accoste en gare d'Aurillac (15) en août 1995. En supplément, l'aménagement intérieur de seconde classe (photo publiée dans le livre d'Alain Blot consacré aux X2100/2200 et remorques XR6000 et cie), ainsi qu'une photo de détail du modèle de siège et marquages extérieurs.
  21. Yellow Submachine avec la BB22402 qui stationne quelques instants à quai en gare du Mans (72) en août 1995.
  22. Encore un E.A.D. attendant le croisement en août 1994 à L'Escarène (06), sur la ligne Nice - Breil-sur-Roya, avec le X4624-XR8336 dans un état bien délavé. Cet élément sera pris en révision aux Ateliers du Mans moins de deux ans après et il servira de "prototype" aux engins traités en rénovation Bretagne.
  23. Revoici la voiture de graissage des caténaires, cette fois garée à Lyon-Perrache (69) en juin 1997.
  24. C'est très certainement entre Rennes et Châteaubriant.
  25. Attention, car dans certains cas, il est possible d'assurer plus à moyens constants, du moins à moyens "nets" , c'est à dire en exploitation pure (par opposition à "brut", qui implique que pour un nombre de km supplémentaires parcourus il faut disposer de davantage de matériel pas en exploitation mais en atelier puisqu'il y a plus de maintenance programmée).
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