E.T.G.

Je suis curieux de savoir ce que ça donne question odeurs: les bus de Rouen, ou tout au moins certains, fonctionnaient au diester de colza dans les années 90 et il flottait en ville une odeur qui n'était pas mauvaise mais qui était caractéristique.

Une Réseau, faite à l'improviste à mon arrivée lors d'une de mes précédentes rentrées au Mans:

J'en profite pour demander: j'ai photographié il y a quelques semaines ce détail que toutes les rames n'ont pas: que sont et à quoi servent l'espèce de poignée sur la motrice, au dessus du marquage "390 tonnes"?

J'ai cru un instant que cette photo avait été faite il y a quelques minutes, comme les miennes qui suivent. En effet, je viens de voir cette rame en gare Montparnasse aussi et je vous en fait vite fait quelques photos aussi, dont certaines de détails, avant de monter dans mon train (rame 709):

Si parce qu'on recompose en permanence les rames chaque caisse ne fait pas le même nombre de km, ça va être un beau bordel. Mais j'imagine que des grosses têtes ont pensé à tout cela...

Donc si les marches démontrent que par temps de pluie les horaires ne peuvent être respectés, on a promis aux clients et pire on leur a vendu des billets qui impliquent de facto qu'ils pourront arriver en retard? Rampe de Petit Jouy je veux bien, mais avec huit voitures, une BB22200 ne devrait pas trop mal s'en sortir... La raison de ces marches d'essais ne semble donc pas devoir être les conditions techniques de circulation de ces trains.

Oui mais comme indiqué, il y a la carte Easy qui le remplace, et il y en a plein qui circulent actuellement. Elles se vendent comme des petits pains. En fait, tu n'achètes plus dix carnets en papier cartonné, mais dix voyages chargés dans une carte. Notons d'ailleurs que depuis la semaine dernière, il est désormais possible de charger jusqu'à cinq cartes différentes (Easy et/ou Navigo mensuel et/ou Navigo Hebdomadaire, etc.) en une seule transaction, en se présentant à l'agent au comptoir. Ceci afin d'accélérer légèrement les clients "multi-chargements" et leur faire gagner du temps. Les automates ne permettent pas ça. Et le sans-contact, très demandé, va être déployé sous deux ans, me semble-t-il.

La gare de L'Escarène (06) et les croisements qui s'y opèrent, suite! En avril 1997, un train Breil-sur-Roya - Nice composé du X2216 circulant en solo croise une composition à destination de Coni, menée par le X2204.

Le 16 juin 1997 à Laon (02), la CC72020 "petit numéros", tranche 72001 à 20 limitée à 140 km/h (sauf la 72017 autorisée 160) est en tête de la rame de voitures Corail qu'elle a amenée de Paris sous le numéro 12307 et avec laquelle elle va repartir sous la marche 12314.

Les éléments X4577-XR8596 et X4544-XR8335 assurant l'aller-retour quotidien Nice - Coni sont vus sur le train aller et desservent Limone-Piemonte (99-Italie) en avril 1994. Si quelqu'un connaît un moyen d'effacer les petites traces blanches sur la partie droite de la photo, invisibles sur la photo originelle mais qui apparaissent après scan et plusieurs méthodes de nettoyage utilisées dont aucune ne s'est révélée concluante, je suis preneur. Merci.

Deux BB8500 dont la 8536 manoeuvrent au dépôt de Toulouse (31) en août 1995. En matière de BB8500 le dépôt de Toulouse avait à son effectif des grandes cabines tandis que les petites cabines comme celles vues ici étaient plutôt de Limoges. Lorsque ce dernier a été dépossédé de ses locomotives électriques, il les avait reversées à un autre dépôt (Paris-Sud-Ouest, si je me rappelle bien). En prime, une autre vue de BB8500 vue de profil et faite deux ans plus tôt au même endroit, qui traînait dans mon vivier à publications et dont la publication seule n'avait pas d'intérêt.

C'en est fini pour l'E.T.G. T1011-TR51004-21004-T1504 pour son service commercial. Cet élément était issu d'une recomposition devenue permanente après l'incendie du compartiment moteur de la T1004, qui ne fut hélas pas réparée. L'élément 04 ayant subi une opération de prolongement de parcours dont n'avait pas bénéficié le 11, on préleva seulement la motrice turbine de ce dernier pour la traiter et la remarier avec les voitures restantes du 04, plutôt que de traiter le 11 entièrement et garder les caisses restantes du 04 en réserve. Nous le voyons ici début 1996 garé pour des raisons de place disponible au triage voisin des Ateliers du Mans (72) plutôt qu'aux Ateliers, justement, et en attente de jours meilleurs...qui n'arriveront pas! En effet, un projet de réutilisation partielle de cette série en la transformant et l'assimilant aux X4900 n'a pas vu le jour, en raison de son prix de reconditionnement élevé (surtout si l'on compare à la capacité qu'un tel élément peut offrir). Ayant transité par les Ateliers pour récupération de pièces avant de redescendre au triage pour garage, la 1011 put revoir une dernière fois les remorques avec lesquelles elle composait son élément originel, l'autre motrice T1511 ayant été réutilisée entre-temps pour constituer avec la 1512 l'élément Astrée. Une campagne de démolition opérée en 1997 entraînera la démolition de sa motrice turbine et de sa remorque bar, les autres caisses étant conservées en vue du projet sus-mentionné. Elles ne seront elles détruites que lors d'une autre campagne qui s'est déroulée en 2010 et les quelques années précédentes pour sa préparation. Autres vues, intérieur du fourgon, en motrice diésel, semblable à celui des E.A.D., coin grill-express dans la remorque-bar, et portes d'intercirculation de deux modèles différents, celle avec la petite vitre circulaire s'adressant en principe aux E.A.D. rouges et crème et était celle en principe utilisée pour les E.T.G. tandis que celle avec la grande vitre était le modèle équipant normalement les E.A.D. rénovés ainsi que les modernisés.

Segment Paca 185 en queue d'une U.M. tracté par une BB25500, ce train Vintimille - Saint-Raphaël ou Les Arcs-Draguignan démarre de Cannes-la-Bocca (06) en avril 1994.

X4912 au repos en gare d'Argentan (61) en août 1994.

Locotracteur réformé et "transformé" en Locma (LOCotracteur de MAnoeuvre), étant désormais considéré comme outillage, vu au dépôt de Nevers (58) en juin 1997.

Le train international Coni - Nice désormais assuré en formation X2200 accompagnés de remorque(s) XR6100 démarre de Breil-sur-Roya (06) en avril 1998.

La BB7284 en tête d'un train qui de souvenir est un Strasbourg - Nice, train qu'elle remorque de Dijon à Marseille, dessert Lyon-Part-Dieu (69) en février 1995.

L'élément X4507-XR8370 est garé en mai 1997 à Busigny (59) entre deux trains.

Dans une série de photos faites à Toulouse (31) et ses environs, actuellement en cours de publication, comment ne pas publier dès maintenant celle que vous attendiez tous: la 141R1126 sagement garée au dépôt de la ville citée, vue ici en août 1995?

Couplage Z7509 Paca et 97383 Languedoc-Roussillon au repos en gare d'Avignon (84) en février 1995.

BB63758 semble-t-il, garée au dépôt de Saint-Etienne (42) en juin 1997.

Je suis de ton avis, et c'est bien ce que je disais dans mon post précédent celui que tu cites.

Encore un bon: https://actu.fr/normandie/lisieux_14366/l-image-lisieux-un-vehicule-stationne-sur-la-voie-ferree-deux-trains-supprimes_49734324.html Ou un bourré, allez savoir. Déjà que ce n'est pas la joie en Normandie mais si en plus certains s'y mettent, on n'est pas près d'en sortir...

Il y a pourtant une certaine frange, voire une frange certaine de la clientèle qui veut pouvoir venir au guichet acheter ses billets de trains comme elle va chez le boulanger acheter sa baguette: sans rendez-vous, et donc en toute simplicité.

José et René, avec d'assez bons sketches, mais il faut déchiffrer le mayennais: https://www.youtube.com/watch?v=ovMpMxeYdB4 Il y a tout un ensemble de vidéos de leurs entretiens radiophoniques.