E.T.G.

Quand bien-même je demande à voir leur expertise: comment peuvent-ils trouver certaines solutions alors qu'ils touchent à tout sans rentrer dans les détails? J'aurais tendance à toujours plus faire confiance à un guichetier S.N.C.F. qui connait les ficelles et astuces pour voyager qu'une agence de voyages dont le personnel ne pourra pas rentrer dans les détails. Personne dans une agence de voyages n'ira chercher, en complément de ce que trouverait un ordinateur, des solutions comme changer de train à Saincaize, Surdon, Onville, Meymac, Eugurandes-Merlines, etc. Tout au plus leurs employés connaissent-ils de gros "hubs" de correspondances comme Saint-Pierre-des-Corps ou Lyon-Part-Dieu. Le guichetier S.N.C.F., lui, les connait tous. Tout en admettant qu'ils vendent sans doute moins de billets imposant une correspondance dans ces gares que de trajets directs Paris- Marseille ou Paris - Lille...

A un détail près: le train percuté était certainement freins serrés (en attente de départ), donc qu'il y ait de la place derrière lui ou non, le train percuteur lui serait certainement monté dessus -et l'aurait ouvert- de la même manière. Sans oublier qu'un nouvel élément fut recomposé par la suite avec les caisses valides provenant du percuteur (Z5301) et percuté (Z5342), comme quoi la motrice 5342 en queue ne devait pas être trop amochée pour avoir touché le fond de gare...si toutefois elle l'a bien touché, en ayant effectivement reculé, ce qui n'est pas démontré (pour savoir de façon sûre, il faudrait disposer des mesures prises sur les lieux du sinistre, et comparer avec le point d'arrêt normal des trains).

Ce n'est pas tous les jours qu'on prolonge une ligne de métro. Travaillant hier soir jeudi, voici quelques photos que j'ai prises du prolongement de la ligne 12, sur laquelle je travaille, dans Aubervilliers, ouvert le matin même aux marches de rodage, et qui le sera au public le 31 mai.

J'ai aussi remarqué ça, surtout quand je rentre du Mans et bien chargé tant qu'à faire! J'ai la poisse ces derniers voyages retours.

Bien qu'on n'est jamais en train d'essayer de battre des records, et que je trouve maladroit la comparaison dans ces circonstances ni ne nie ce qu'a pu entraîner cet accident comme douleurs et autres, une des pires catastrophes, on ne doit pas avoir moi et l'auteur de ces propos la même définition du mot "pire"...

Ca tombe bien, ils ont surtout besoin de voix!😉

Permets-moi d'émettre de gros doutes sur les relations que tu cites: il y a Paris - Rambouillet et Paris - Plaisir, mais pas de relation Plaisir - Rambouillet, même en W car l'emprunt du raccordement de Bois Gazé désorienterait le sens du train, et je doute, à moins d'aller rebrousser vers Versailles ou Saint-Cyr, de la pertinence de tels acheminements.

Non, il ne s'agit que d'un pelliculage et d'un rehoussage des sièges les moins beaux. D'ailleurs, en ce qui concerne les Ouigo "lents", l'un d'eux s'est déjà illustré tel quel: https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/transports/parti-de-paris-le-train-ouigo-met-7h30-a-rejoindre-nantes_AN-202204240238.html Du reste, je me pose la question de savoir s'il faut vraiment distinguer les Ouigo qu'ils soient à grande vitesse ou non, de la même façon qu'on ne catégorise pas les T.E.R. qui plafonnent à 120 km/h de ceux qui atteignent 160 ou même 200.. Le concept n'inclut pas la vitesse, mais les prix bas, la vitesse de fond, en tant que telle, n'est pas le problème du voyageur.

Je t'aurais pensé plus malin pour ne pas demander ce que ce mot peut désigner.😉 C'est un mot que j'avais lu dans une revue, Chemins de Fer, si je me souviens bien, et qui me semblait bien représentatif de ce qu'il désigne. N'abuse pas quand-même, Wikipédia n'a rien de très officiel et il peut y avoir des erreurs. Quant aux anglicismes, tu en utilises certainement aussi sans forcément le vouloir, voire même sans t'en apercevoir.😉

Un X2800 encore orné de son monogramme dessert une gare non identifiée qui néanmoins selon le "déroulé" de mes photos se trouverait dans l'Aveyron, entre Capdenac et Rodez, en août 1995.

Quelques blasons: _Colombes (92), BB17011; _Gretz-Armainvilliers (77), BB15001; _Foix (09) BB8602; _Combs-la-Ville (77), TGV31; _Vigneux-sur-Seine (91), TGV102.

Deux X4500 desservent L'Escarène (06) en avril 1994. L'élément de tête est le X4552-XR8334, tout pimpant pour être passé par les Ateliers du Mans en Révision deux ans auparavant. Un petit bol d'air parmi les engins de Marseille dont aucun n'est revenu d'une telle opération depuis plusieurs années, ses engins désignés pour y passer en 1990 et 1991 ayant été modernisés Bretagne et mutés à Rennes en sortie. De ce fait, la plupart des X4500 de Marseille sont généralement, au mieux, dans un état moyen... Après le X4552, le prochain à y passer n'ira qu'en 1995, toutefois, cette année, trois engins de ce dépôt iront (X4515, 44 et 49) puisqu'ils ont épuisé leur parcours à ce moment-là, suivi d'un quatrième (X4623) en 1996, en report de 1995, pour non présentation de l'engin aux Ateliers en temps voulu (oubli par Marseille de l'expédier). Pour en revenir au X4552, il est l'un des tout premiers non modernisés dont les trompes d'avertisseurs ont été reportées d'autour du troisième phare à sous la jupe, comme sur les éléments modernisés, afin d'éviter les entrées d'eau et la corrosion des cabines de conduite. Quant à l'abri-quai, on observera que seule sa façade a été nettoyée assez récemment, tandis que sur le côté on aura du mal à expliquer l'auréole plus propre au milieu de parties dont on dira qu'elles le sont moins!

Les Y7543 et 7689 sont garés à Lyon-Guillotière (69) en juillet 1997.

Les R.T.G. ont subi deux pertes considérables avec les mises sous tension des itinéraires complets Lyon - Strasbourg par le pied du Jura en 1995 puis Paris - Cherbourg et l'antenne Lisieux - Trouville-Deauville en 1996. Au retrait de service des matériels libérés par ces opérations, des garages furent organisés sur plusieurs sites en attendant la démolition ou un réemploi après transformation. Dans l'optique de cette dernière solution, plusieurs caisses ont été dirigées vers les Ateliers de Varennes-Vauzelles (58), voisins de Nevers, établissement désigné pour cette éventuelle transformation et dont les compétences auraient permis à ce matériel de qualité une seconde vie méritée avec un réaménagement réussi, dont l'idée était intéressante. Pour des raisons techniques et financières, ce projet tomba à l'eau, ne laissant qu'un petit effectif trop juste et non modernisé pour l'exploitation de la relation Lyon - Bordeaux. On observera sur les photos que ce matériel âgé d'à peine plus de vingt ans était encore dans un état de propreté remarquable. Dans l'attente de la réalisation de ce projet, les caisse furent garées sur le faisceau du Petit-Saulon, à proximité immédiate des Ateliers, et nous pouvons identifier sur ces photos prises en juin 1997 les T2045 et 2077. Cette dernière est d'autant plus propre puisqu'elle fut réparée seulement cinq ans auparavant après une collision sur un passage à niveau avec un camion transportant des pierres du chantier de déviation de certaines sections de la ligne Paris - Caen - Cherbourg afin d'obtenir des portions aptes à 200 km/h. Cet accident survenu le 07 octobre 1991 à Courtonne-la-Meurdrac devait hélas entraîner le décès du conducteur et d'un contrôleur. La T2077 connaîtra cependant une seconde carrière dans une utilisation fort différente du projet mentionné supra puisqu'elle fut avec la T2081 vendue à Bombardier qui transforma ces deux motrices réunies en un élément expérimental dénommé Axis pour des essais de pendulation, essais qui mettait également à contribution l'élément X72547/48 et la rame TGV101 renumérotée P01, et qui restèrent sans suite. Cet élément fut ensuite garé à l'état d'épave à Audun-le-Roman, antichambre du ferrailleur désigné pour le démolir. Il n'est d'ailleurs pas impossible qu'aujourd'hui 24 avril 2022 il y soit encore, certains pourront confirmer ou infirmer mon propos.

La BB9616 qui vient de récupérer l'Aubrac descendant est prête à démarrer de Neussargues (15) en août 1995.

Plusieurs E.A.D. dont le X4364-XR8354 sont garés sur le faisceau de Laon (02) en mai 1997.

Départ de Breil-sur-Roya (06) vers Nice en avril 1997. A gauche, la voie de la ligne de Vintimille qui plonge dès la sortie de gare, tandis que le quai à droite n'est pas un quai de la gare.

Le X2103 entre en gare d'Aurillac (15) en août 1995.

La BB63582 est comme neuve sous le soleil du dépôt de Toulouse (31) en août 1995.

Il serait plus judicieux quitte à les mettre en fixe qu'il y ait (à peu près) la même proportion de sièges dans chaque sens, et non tous sauf une rangée, en évitant la "trumite" pendant qu'on y est.

Ce sont plutôt ses motrices, qui iront sur le tronçon de la 4406.

Je ne vois pas en quoi cela a aggravé la catastrophe: ce serait à refaire aujourd'hui, la collision se déroulerait exactement pareil. D'ailleurs, il me semble qu'il y a toujours actuellement des trains qui font demi-tour dans cette gare.

J'ai vu des agents de la Police des Transports faire la remarque à des voyageurs en dehors de ces zones donc j'en ai déduit que c'était de l'entrée à la sortie de l'espace couvert (et en plus dans des espaces réduits comme les stations de métro, c'est logique parce que si on considère que le masque permet de se protéger, je ne vois pas en quoi le fait d'être en zone péagée devient plus risqué en terme de transmission du virus qu'en zone non péagée, à partir du moment où tu es déjà dans un espace contraint. J'ai même vu des agents faire la réflexion à des voyageurs sur les quais de la station Créteil-Préfecture, quais qui sont en zone péagée mais aériens! Donc potentiellement un endroit où c'est moins risqué que dans la zone non péagée d'une station couverte. En gare du Mans, ils t'emmerdent même si tu ne fais qu'utiliser la partie non péagée du passage souterrain pour passer d'un côté de la ville à l'autre.

Oui pour le document de P.V. Pour le port du masque, c'est dans tous les espaces de transport, indépendamment de la zone péagée, donc, de l'entrée dans la station à la sortie. Ca sert d'autant moins qu'il ne faut pas mettre les tickets cartonnés à côté de tout ce qui est téléphone, clefs, pièces, aimants (fermoirs de sacs à main, par exemple), disons tout ce qui est métallique ou à ondes: c'est à proscrire car ça les démagnétise. Ce sont les carnets de tickets cartonnés pour le bus ou le métro seulement qui disparaissent. Et encore, leur disparition prend du retard, la vente va être prolongée au delà de ce qui était prévue, la suppression est maintenant envisagée pour octobre, me semble-t-il. Pour la banlieue hors métro, pour l'instant, les tickets cartonnés restent, qu'ils soient en carnet ou à l'unité. Le ticket cartonné unité métro ou bus n'est pour l'instant pas concerné par la disparition. Seulement les carnets, bien que comme je l'indique juste au dessus, cela prenne du retard.

Oui enfin, quand c'est la risée, je ne suis pas certain que pour les politiques cette publicité soit très bénéfique. Ils ont certainement aussi ce sentiment d'être ridiculisés, alors tu parles d'une publicité...