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Class66220

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Tout ce qui a été posté par Class66220

  1. L'explication est très simple. Avant de devenir DG de ECR il me semble que Emmanuel Delachambre étaiot directeur de VFLI. Il a été remplacé et VFLI existe encore. Pour clarifier les chose VFLI = groupe SNCF Geodis. ECR = groupe DB Schenker
  2. Bonjour, Après avoir lu l'article de Ville, Rail et Transports sur l'effondrement de FRET SNCF, j'aimerais comprendre ce qu'il s'est passé à Thouars par rapport à Eurovia. Si j'ai bien lu, la direction proposait de faire quelques aménagements au RH077 pour être plus compétitif et il y a eu un front syndical qui a préféré faire perdre le trafic plutôt que de voir quelques aménagements et la direction a du utiliser VFLI pour conserver le traffic aux conditions de la CCN. Que s'est-il réellement passé et y a-t-il déjà eu un sujet à cet effet ? Quels étaient ces aménagements que voulaient faire la direction ? N'aurait-il pas été judicieux de faire justement quelques aménagements en restant malgré tout plus favorable que la CCN ?
  3. Plan hors sec. Là c'était pas la 27000 qui aurait appris à se cabrer mais plutôt le train de voyageurs avec je pense un effet accordéon. Il y aurait surement eu du monde par terre et des blessés voire des morts et là par contre ça n'aurait pas été la même pour ECR et qui sait ça aurait peut-être posé des questions intéressantes telles que la réglementation du travail dans le transport ferroviaire privé et par conséquent on aurait peut-être dit que le RH077 est une référence. Ou peut-être qu'on va imposer a ECR de respecter strictement les taquets (notamment pour les conditions du travail de nuit) mais je pense que là on est dans le rêve ou la spéculation puisque l'UE veille au grain pour continuer à nous imposer le système américain pour le plus grand bonheur des Etats-Unis (le 4ème Reich dirigé par José Manuel Barroso qui laisse crever son peuple sans rien dire du tout et s'en met plein les poches). Et bien d'autres questions à mon avis.
  4. Cependant ce qui m'a découragé de la SNCF, c'est la séparation des activités de production. Ca j'ai pas encore digéré. C'est pour ça que j'ai choisi Euro Cargo Rail.
  5. Sinon je persiste à dire que ces roulements mixtes étaient quelque chose de bénéfique dans la carrière d'un conducteur. Tout le monde voit midi à sa porte et veut son petit coin de pré vert en dépit du sens commun ou de l’intérêt général...
  6. Emmanuel Delachambre a bien saisi sa chance en devenant DG de ECR...
  7. A titre personnel. Je suis passionné de train depuis tout petit. Et j'ai pas été déçu. Bien au contraire. C'est bien mieux que je ne l'espérais. Je ne suis pas à la SNCF mais en tout cas ma passion a aidé. Et plus on rentre dans le métier, plus c'est passionnant.
  8. Class66220

    Fret SNCF, la fin ?

    Et là il n'y avait pas de séparation des activités de production... L'Etat Français n'a fait que pousser un peu plus le fret dans le suicide où elle s'était engagée à ce que je vois d'après les réactions.
  9. La morale de l'Histoire est que le peuple suédois avait raison et qu'il a pris son destin en main et la démocratie a fini par triomphé et le pays ne s'en est que mieux sorti. Et ce malgré l'opposition de la classe politique suédoise ainsi que du principal syndicat suédois et toutes les manipulations qui ont été faites
  10. N'oublions pas de dire que Francois Asselineau est critiqué par le FN et Alain Soral entre autres.
  11. Avec entre autre l'exemple suédois http://www.youtube.com/watch?v=Fv8i6tia8kw
  12. Class66220

    Fret SNCF, la fin ?

    On y parle de tous ces "plans de la dernière chance" fait par les pdg succesifs de la branche FRET de la SNCF
  13. Class66220

    Fret SNCF, la fin ?

    Je déterre un peu ce post pour dire que dans l'édition de Ville, Rail et Transports qui vient de sortir, on trouve un article qui analyse la déconfiture de FRET SNCF. Je l'ai feuilleté et il analyse tous les aspects et pas seulement le dogme du statut. Il est parle mais ce n'est qu'une partie du problème. On y parle aussi de désindustrialisation (notamment la sidérurgie) et bien d’autres raisons. Il y a au moins 10 bonnes raisons à cette déconfiture.
  14. http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/03/22/20002-20120322ARTFIG00781-reforme-du-travail-monti-veut-passer-en-force.php Réforme du travail : Monti veut passer en force Le président du Conseil italien proposera sa réforme du Code du travail au Conseil des ministres ce vendredi. Mais il n'a pas obtenu l'accord de la CGIL, le principal syndicat italien, qui appelle à la grève générale. Faute d'accord avec le plus puissant des syndicats italiens, la CGIL, Mario Monti va tenter de passer en force son projet de réforme du Code du travail, qui permettra de faciliter les licenciements en Italie. Après avoir présenté le texte aux syndicats modérés et au patronat, jeudi soir, le chef du gouvernement italien compte faire adopter ce projet de réforme du Code du travail au Conseil des ministres, ce vendredi, afin de le faire voter au plus vite par le Parlement. «Nous formulerons le texte de sorte qu'il empêche tout abus dans les licenciements », a promis Mario Monti jeudi soir. Le temps presse pour le président du Conseil qui joue son va-tout sur cette réforme très attendue par les marchés et la Banque centrale européenne. La confédération CGIL, qui a refusé de signer le texte et quitté la table des négociations, appelle à la grève générale. Le Parti démocrate se démarque pour la première fois de Mario Monti et promet de livrer bataille. La coalition au pouvoir, sans laquelle Mario Monti serait impuissant, menace d'exploser. Sur la forme, la réforme Monti vise à moderniser un Code du travail italien datant des années 1970, accusé de bloquer la croissance. Sur le fond, il s'attaque à deux problèmes majeurs en Italie: d'un côté, des licenciements quasi impossibles dans les grandes entreprises, de l'autre une précarité accrue du travail, sans filets sociaux dignes de ce nom. Pour casser cette dualité du marché du travail - que l'on retrouve aussi en Espagne - Mario Monti veut faciliter les licenciements en offrant une protection sociale aux nombreux travailleurs qui en sont privés, tout en facilitant l'embauche des jeunes. Rupture conventionnelle Côté social, les allocations chômage deviendraient universelles et dureront 12 mois - 18 mois pour les seniors - et atteindront 1119 euros par mois, plus qu'aujourd'hui. Un congé paternité serait introduit dans certaines branches. Et un fonds de soutien aux seniors sans emploi serait constitué. Pour Stefano Libman, professeur de droit du travail à l'université Bocconi de Milan, cette réforme a le mérite de «jeter les bases d'une protection sociale pour ces millions de travailleurs aujourd'hui privés d'une couverture sociale généralisée». Pour aider l'emploi des jeunes, la réforme prévoit la rationalisation des types de contrats. D'une quarantaine, ils seront ramenés à huit. L'apprentissage devient le contrat type et durera trois ans. « Dans le court terme, avec la crise, cela se traduira inévitablement par des licenciements. Mais, à terme, cela permettra de créer un emploi stable», estime Stefano Libman. Là où la réforme bloque, c'est sur le droit de licenciement, encadré par l'article 18 du Code du travail, qui interdit les licenciements «sans motif légitime». Dans les faits, l'article 18 ne bloque qu'une vingtaine de licenciements par an, mais dans les esprits il est devenu le symbole de la rigidité du marché du travail italien. Le gouvernement insiste pour le réviser. Il prévoit d'instaurer une forme de «rupture conventionnelle» à la française qui permet de se séparer d'un employé en lui versant des indemnités pouvant aller jusqu'à 24 mois de salaire.
  15. Il reconnait cependant son erreur vis à vis de cette séparation. En même temps me direz vous, c'est facile quand on est plus là de dire... Si ma tante en avait on l'aurait appelé mon oncle. Sinon je trouve dommage que les conducteurs de VFE et Proximités s'en tapent. Ça les sortirait un peu de la routine auquel ils ont l'air de bien se plaire (On peut comprendre la raison). Certes çà fait travailler de nuit mais en même temps, ils ont signé pour non ?...
  16. Conducteur ECR je peux te dire que j'en conduit des trains de 4 ou 5 wagons vides. Des wagons citernes qui étaient qui p)lus est aptes à la charge D (22.5t max par essieu). Si tu les charge tu as déjà 500t. Et si les autres wagons n'étaient pas déchargés, il faut bien renvoyer des wagons à l'usine pour rechargement sinon tu la mets en chomage technique... Je confirme comme SNCF21 que ta réaction est... débile.
  17. Heureusement que les trains supprimés sont pas pris en compte dans les statistiques de la régularité...
  18. L'incident du train de nuit Strasbourg-Nice/Port-Bou aurait du servir de signal d'alarme. D'électrochoc. Résultat des comptes : on persiste et signe dans une organisation toujours aussi fumeuse. On a imputé ça à une erreur de planification et en disant que le train n'aurait jamais du partir de Strasbourg (ce qui n'est sans doute pas faux) au lieu d'aller en profondeur dans les vraies causes de ce problème. Si on a relevé qu'il n'y avait pas de conducteur sur place à Belfort possédant les habilitations EM et ligne nécessaires pour ce train. C'est ça aussi d'avoir choisi d'acheter des machines spécialisées fret au lieu de prendre des machines polyvalentes pour la SNCF mais séparation des activités oblige, chacun compte ses sous. Pourquoi acheter une machine capable de faire du fret à 140 et du voyageur à 200 quand on à besoin de faire que du fret ou que du voyageur ? si il y avait éventuellement la BB27300 mais non. La dernière machine en date prévue pour cette utilisation était Astride mais elle est arrivée au mauvais moment. La Sybic reste la dernière locomotive polyvalente de la SNCF. Maintenant il y a les Traxx éventuellement et éventuellement les Prima II si elles arrivent un jour et Vectron de Siemens. Nous verrons bien ce que l'avenir ferroviaire nous réserve.
  19. Le problème est que c'est un correcteur orthographique. Pas un correcteur de grammaire et de syntaxe.
  20. Si tout le monde connait toutes les lignes et toutes les machines de son UP, alors il n'y a plus à se casser la tête. Mais bon puisque les dirigeants n'ont pas de couilles pour le faire... L'Europe a demandé une séparation de l'Infra et de l'exploitation, pas de filialiser les activités de manière déguisée. C'est dégueulasse. C'est ça qui me dégoûte le plus à la SNCF. C'était un métier polyvalent et où on ne te laissais pas dans l'habitude en te laissant sur un roulement de 2 lignes avec le même engin moteur. Pour moi, les roulements mixtes (je ne les ai pas connu mais j'en ai eu des échos) c'était le pied. Mais quand j'ai appris que la SNCF séparait toutes ces activités par une cloison étanche et que ca allait devenir le marché couvert dans sa propre maison plutôt que de mettre l'infra d'un coté et le reste de l'autre, elle a été plus royaliste que le roi. Dans ce cas, autant aller à Paris faire du RER ou à la RATP faire du métro. Et ça ça m'a dégouté. Pour autant c'est pas pour ça que je suis chez ECR. Ca a été un choix par défaut je pense mais je ne le regrette pas comme première mise en bouche sur les trains de fret. Le métier de conducteur de train est pour moi, l'un des plus beaux métiers au monde même si c'est pas facile tous les jours.
  21. :) Remarque personnelle : Enfin une bonne nouvelle dans une Europe veut toujours plus d'ouverture et qui est le dindon de la farce quand beaucoup d'autre grands pays (en l'occurrence le Japon) défendent leurs intérêts économiques et adoptent des mesures protectionnistes. http://www.ville-rai....com/node/17155 Après le succès d’Hitachi Rail en Grande-Bretagne avec le contrat Agility Trains (530 voitures pour une valeur de 4,5 milliards de livres sterling), Hitachi s’apprête à se présenter sur un grand appel d’offres de la Deutsche Bahn concernant 60 rames de trains de banlieue destinées au S Bahn de Hambourg. Alors que le marché japonais est fermé, la situation alarme la VdB et la FIF, les fédérations allemande et française d’industriels du ferroviaire. Après le succès d’Hitachi Rail en Grande-Bretagne avec le contrat Agility Trains (530 voitures pour une valeur de 4,5 milliards de livres sterling), Hitachi s’apprête à se présenter sur un grand appel d’offres de la Deutsche Bahn concernant 60 rames de trains de banlieue destinées au S Bahn de Hambourg. Alors que le marché japonais est fermé, la situation alarme la VdB et la FIF, les fédérations allemande et française d’industriels du ferroviaire. La VdB et la FIF demandent, dans un communiqué commun du 15 mars, que les entreprises japonaises ne puissent plus « soumissionner aux appels d’offres lancés par des entités publiques européennes relevant du secteur ferroviaire ou du transport urbain. » Les entités concernées peuvent s’appuyer, précisent les deux fédérations, « sur l’article 58 de la directive 2004/17/EC pour exclure les offres japonaises ». Déjà, dans une déclaration du 12 juillet 2010, la VdB et la FIF avaient appelé à la mise en œuvre du principe de réciprocité sur l’ouverture des marchés publics dans le domaine des matériels de transport ferroviaire. Pourtant, à ce jour, déplorent-elles, le Japon « refuse toujours de modifier sa position et son marché reste fermé aux produits ferroviaires européens ». La VdB et la FIF demandent que « l’Etat allemand et l’Etat français, ainsi que leurs entités publiques adjudicatrices nationales du secteur, veillent de façon drastique à ce que l’argent public des contribuables ne contribue pas à favoriser de tels déséquilibres concurrentiels potentiellement destructeurs d’emplois dans l’industrie ferroviaire européenne ». La VdB et la FIF réitèrent leur soutien à la Commission européenne et à l’Unife dans le cadre des négociations engagées avec le Japon sur le ferroviaire. La levée des barrières non tarifaires, notamment la clause de sécurité opérationnelle, régulièrement appliquée par les Japan Railways pour exclure les produits européens, doit « rester un préalable au lancement de négociations d’un accord de libre-échange ». La VdB et le FIF appellent l’Union européenne à « se doter d’un instrument législatif, efficace, uniforme et suffisamment persuasif, afin d’établir une véritable réciprocité dans l’accès aux marchés publics des pays tiers ».
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