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Le Web des Cheminots

E.T.G.

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Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. Arrestation d'un client qui transportait 58 kg de cocaïne estimée à trois millions d'euros à la vente: https://www.leparisien.fr/faits-divers/interpelle-avec-3-millions-deuros-de-cocaine-le-livreur-de-la-gare-de-lyon-ecroue-21-01-2022-55C33XJFRJFS7MEJYNYNQQEZJY.php Question subsidiaire : s'il s'était fait voler sa valise, serait-il allé s'en plaindre?🤣🤣🤣
  2. Absolument, ça t'était bien destiné, puisque tu n'es pas venu juste expliquer le principe de circulation d'air et ce qu'il transporte sans citer personne, mais que tu citais bien mon message, en plus assorti de ta remarque finale insinuant que la personne que tu cites, en l'occurrence moi donc, ferait exprès de n'avoir rien compris ou d'en faire semblant. Cette phrase, qui ne pouvait après m'avoir cité et avoir voulu démontrer ce que j'étais supposé selon toi ne pas avoir compris, ne pouvait donc pas être adressée à Monsieur Tout le monde. Et tu ne peux pas le nier, elle n'est qu'une méchanceté gratuite parfaitement inutile, surtout si tu avais réellement voulu seulement expliquer la contradiction de l'aération des habitations avec de l'air pollué duquel il faudrait se protéger dehors, ce que j'avais, comme je l'ai dit plus haut, bien compris en lisant l'image initiale.
  3. Donc confirmation, ce soir ce fut un dîner au restaurant de spécialités savoyardes "le Chalet", au Mans. Moi et mon ami nous sommes contentés d'une fondue savoyarde, plat proposé pour deux. Les pommes de terre en habit des champs étaient dans le récipient en bois sur la table voisine, que nous avons pris sur la nôtre après lui avoir fait un peu de place. Il ne manquait plus qu'une BB25150 pour que je me croie dans cette région.😃
  4. Brasserie Madeleine au Mans, avant-hier, avec un jarret de porc 1 kg. Je suis juste parvenu à le terminer, j'étais plein comme un oeuf en sortant! J'hésitais avec une andouillette 5A. En entrée j'avais pris un demi camembert rôti. Et ce soir, ce sera en principe le restaurant Le Chalet, toujours au Mans, qui propose des spécialités savoyardes.
  5. Non, tu as bien raison, je suis loin de me rappeler de tout ce que j'ai appris à l'école, mais il y a des choses que je n'ai pu oublier. Je me rappelle aussi d'une autre règle qui consiste à ne pas utiliser un ascenseur dans un meuble en feu. Neanmoins, il faut admettre à ces jeunes une excuse que nous plus anciens n'avons pas: rappelons-nous dans le temps toutes ces lignes téléphoniques qui n'étaient pas enfouies mais supportées par des poteaux, sur lesquels il y avait systématiquement l'inscription "ne jamais touchervaux fil, même tombes à terre". De telle sorte que ce message nous était ni plus ni moins martelé. Évidemment, avec le passage de câbles dans le sol, cette inscription a quasiment disparu du domaine public pour ne subsister que dans certains milieux comme le chemin de fer en présence de caténaires avec leur poteaux. Je ne suis même pas certain que ces inscriptions aient été maintenues sur les poteaux qui alimentent les lignes aériennes de contact sur les voies de tramway. En tout cas, et à charge pour ces jeunes et bien que ça ne m'aie pas été inculqué, il ne me serait pas venu à l'idée, à moi, de tenter de monter sur des wagons. Je sais bien qu'on en est arrivés à devoir trouver sur des notices d'utilisation de fours à micro-ondes que ceux-ci ne doivent pas être utilisés pour cuire un chat, mais il y a un moment auquel il faut arrêter d'assister les gens.
  6. Mais rassures-toi, j'ai pour ma part parfaitement compris qu'il s'agissait d'humour, qui n'est pas loin de celui de Chevallier et Laspales, que j'apprécie beaucoup pour ma part avec ce côté ubuesque. Comme il est moqueur envers l'exécutif tout en étant vrai, je me permettais de préciser que ce dernier n'est pas à une contradiction près malgré ces exemples flagrants mis en exergue par ces messages de blagounettes (notamment ces images qui fleurissent de partout avec un fond de couleur délivrant un message démontrant l'absurdité de certaines règles). On peut se demander comment avec ou après ces messages humoristiques certaines autres règles ont pu être mises au point, si j'ose dire, malgré leur bêtise et leur côté nul et non avenu, qui ont d'ailleurs contraint l'exécutif à reculer une fois que l'absurdité était mise en évidence, évidence ou contradiction qu'il a lui-même créé de toutes pièces parce qu'il ne l'avait pas saisie en amont, et qui n'ont pas manqué de faire rire tout un chacun vu le niveau d'amateurisme avec lequel elles étaient inventées. Et ça s'est vérifié pas mal de fois depuis le début de la pandémie. Comme ce n'est pas la première fois que je remarque de ta part des sous-entendus pour me ridiculiser (ici la dernière phrase de ton post), je me dois de te dire à toi aussi que je ne suis pas, personne ici n'est ton punching-ball, tu iras te défouler ailleurs, et tu n'es comme quiconque ici supérieur à personne. La fin de ton post n'avait donc pas lieu d'être, on s'en serait bien passé, tu es tenu comme tous les membres de respecter les autres intervenants et tenu également d'éviter ce genre d'attaques gratuites destinées à les mettre en cause ou tenter de les rabaisser ou les déshonorer. Ceci pour garantir la bonne ambiance du forum, sur lequel l'égo de chacun ou leurs tentatives de paraître plus malin que les autres n'ont pas à figurer.
  7. Autre cas similaire, sur un train de fret arrêté en ligne cette fois: https://www.google.com/amp/s/www.leparisien.fr/amp/seine-saint-denis-93/seine-saint-denis-deux-adolescents-de-16-ans-electrises-sur-les-voies-du-rer-b-lun-grievement-blesse-20-01-2022-H5MSL7FV6FAI3NH3OBJAYIRQJU.php Il me semblait qu'on savait tous, au moins ici et indépendamment de notre connaissance du milieu ferroviaire, qu'il ne faut jamais approcher des câbles électriques. Avec de tels accidents, je commence à me demander si ce genre de danger est encore enseigné à l'école ou transmis par les parents à leurs enfants...
  8. Ils ne sont plus à une contradiction près...
  9. Moi c'est pareil, mais quasi uniquement Princesse, qui regarde ici avec moi un film sur la fabrication des Z2 chez Carel et Fouché au Mans. Non contente de venir spontanément sur mes genoux, elle commence à mettre sur la table du clavier une patte, puis deux, puis tiens, voilà que je m'allonge si je ne la retiens pas (si elle pouvait avoir la même assiduité dans la litière ça m'arrangerait). Duchesse, restée assez sauvage, elle, ne vient quasiment pas sur mes genoux. En revanche pour me rappeler qu'elle est là elle vient se frotter à mes bras (ou à ceux de mes visiteurs) quand je suis assis sur mon lit. Et elle a d'autres lubies: chez mes parents elle viendra d'elle-même se glisser avec moi dans mon lit tandis qu'à Créteil, jamais. Mais les deux ont quand-même un point commun: elles s'allongent facilement sur des documents que je pose sur mon lit quand je fais du tri et du rangement.
  10. Trois couleurs de Z2 avec les Z9604 vert Bretagne (seul élément -à l'époque- dans cette couleur), 9622 bleu Isabelle Pays-de-la-Loire et 9628 demeurée pour l'instant en livrée originelle bleu nuit, rouge et gris, malgré qu'elle porte les armoiries de la Région Pays-de-la Loire (seize éléments conventionnés mais seulement quinze repeints en bleu Isabelle). Ils sont vus par un bel après-midi de juillet 1997 au dépôt du Mans, à quelques encablures du lieu qui les a vu naître, même si à l'époque l'usine a été rasée depuis longtemps et un nouveau quartier et même un nouveau lycée ont été bâtis sur ses emprises.
  11. La BB66612, encore munie de ses plaques et enjoliveurs, est garée chez elle, dans le dépôt d'Avignon (84), en février 1995.
  12. L'élément automoteur X4404-XR8366 est garé à quai entre deux services en gare de Laon (02) en juin 1996. L'occasion pour nous d'étudier la consistance du parc E.A.D. de Metz, gros dépôt s'il en a été puisqu'il en a eu un nombre conséquent en gestion: 167 éléments différents, à raison de 122 X4300 et 45 X4750, ainsi qu'il a eu en simultané 121 éléments à deux reprises, répartis à chaque fois en 91 X4300 et trente X4750, ainsi qu'il a eu pour chacune de ces deux séries des effectifs simultanés maximaux respectifs de 97 et 31. Excusez du peu, car cependant, ces scores ont empêché Metz de se retrouver plus gros dépôt d'E.A.D., seulement battu d'une très courte tête par Longueau, qui avait réussi à disposer de 122 éléments maximum en simultané. Il est vrai que Metz a terminé seul centre à gérer des autorails ou des éléments automoteurs pour toute la Région est, couvrant intégralement la Lorraine, l'Alsace, Champagne-Ardennes, et en débordant largement puisque ce parc aura aussi pour mission d'assurer des dessertes de l'Ile-de-France sur sa frange est, ainsi qu'il poussera sur Montbéliard, Laon et assurera même de là quelques trains sur Hirson, au nez et à la barbe des X4500 et 4630 de Longueau (relation intégralement située en Picardie). Sans oublier les relations inter-régionales Troyes - Saint-Florentin, ligne assurée tantôt par les engins de Metz, tantôt par ceux de Nevers, voire les deux (cette ligne était la variable d'ajustement des effectifs de chacun d'entre eux, ainsi que le point d'échange encas de mutation de l'un à l'autre. En revanche, la relation Charleville-Mézières - Valenciennes ne leur a jamais été ouverte, restée intégralement assurée par les engins de Longueau pour le peu de trains omnibus qui la parcouraient C'est donc le 04 juillet 1964 que Metz touche son premier élément, des AN.F., avec le X4323. Il continuera à s'alimenter majoritairement de cette manière jusqu'à la réception du dernier élément de la série, le X4451 le 19 décembre 1970. Entre temps, Metz avait récupéré dès septembre 1964 les seuls trois X4300 de Strasbourg, dotation dissoute, ainsi que quelques éléments de seconde main, tandis qu'il enregistrait quelques rares départs. On notera quelques pauses dans la progression de l'effectif. En octobre 1971, Metz qui doit reprendre le service délaissé notamment par les vénérables V.H. et les X3700, reprend la progression grâce à un jeu de chaises musicales: les parcs de certains dépôts sont déjà dans leur configuration d'avenir pour l'époque et les X4630 vont unifier les effectifs de certains d'entre eux, permettant de regrouper les X4300 et 4500. Un gigantesque mouvement va alors se dessiner avec la cession en particulier de X4500 à Longueau, qui va à son tour alimenter Metz en X4300, avec en prime la mise à profit de ces cascades de mutations pour échanger les remorques sur les motrices et redéfinir l'affectation ce celles à 12 ou 24 places de première classe en fonction des services à assurer. Metz, qui disposait à la livraison du X4451 de 39 éléments va voir son effectif monter en flèche puisqu'il va se retrouver après la reprise des éléments reçus de Longueau à 87, le 02 novembre 1976: X4306, 17 à 19, 21 à 23, 25 à 28, 30, 33, 38, 39, 41 à 45, 48 à 50, 52 à 55, 57 à 59, 63, 64, 66, 68, 69, 72 à 75, 77, 78, 80, 81, 86, 89, 91, 93, 95 à 98, 4405, 08, 11, 13 à 15, 17 à 25, 27 à 29, 32 à 39, 42 à 51. Mais décidément atteint de boulimie et faute de pouvoir dans l'immédiat recevoir de nouveaux X4300, Metz va encore recevoir du 20 janvier au 29 juin 1978 quinze X4750, les X4775 à 4789. Ces engins aptes à 140 km/h, aptes à des montées en vitesse rapides et puissants: 600 ch ou 440 kw, contre 400 ch et 295 kw (rappelons que la puissance des X4300 avait été détarée et ramenée de 425 ch à 400 en 1968, pour tenter d'enrayer de gros problèmes de tenue de leurs moteurs Poyaud), seront engagées plutôt dans les Vosges, où leur puissance sera employée et bien mise à profit, tandis que leur vitesse-limite permet de dégager plus rapidement la ligne 1 depuis Nancy jusqu'aux gares de bifurcation vers Epinal et Remirement (Blainville-Damelevières) ou Saint-Dié (Lunéville). Le séjour du X4789 sera toutefois bref puisqu'il sera muté à Sotteville le 01 octobre 1979 pour y compléter son parc, un peu juste. La dissolution du parc des X4750 de Longueau (huit éléments qui assuraient principalement le service de la Flèche d'Or Paris - Boulogne-Aéroglisseurs, plus quelques trains en complément pour meubler leur roulement) à l'entrée du service d'hiver 1981 bénéficiera à Metz à hauteur de cinq engins. Quelques mouvements épars sont enregistrés avant la réception en bloc de cinq X4300 de Nantes le 01 juin 1985, dans le cadre dans ce dernier centre de la substitution de X4630 à ses X4300. Cela nous amène à la période des modernisations, initiée en 1987, période à partir de laquelle les mouvements d'E.A.D. à Metz vont devenir incessants, mais tout cela sera à voir plus tard!
  13. En juillet 1997, la CC7134 porte assistance à la rame TGV17, grâce à l'attelage de secours de cette dernière monté sur la locomotive. Notre ensemble est vu en transit à Lyon-Guillottière (69).
  14. Un des X97150 est en coupure entre deux trains en gare de Guingamp (22) en juillet 1994.
  15. Long serpent en inox avec cette triplette de segments R.I.O. Provence-Alpes-Côte-d'Azur poussés par une BB25500 dans les environs de Cagnes-sur-Mer (06) en avril 1998. Avec cette composition, nous sommes à la limite de composition autorisée pour ce matériel: neuf voitures maximum.
  16. Je ne me rappelle pas l'avoir vu en activité déjà dans les années 80. Il existe un reportage sur le sujet qui a été publié chez Loco-Revue il y a quelques petites années. Vous pouvez leur commander ce numéro (ce que je dois faire aussi, mais moi, ce sera inclus dans une commande à plus grande échelle).
  17. Nous retrouvons l'élément automoteur X (Y) 4502-XR8365 sagement garé à L'Arbresle (69) en mai 1997, entre deux séances de tournage du film "La Voie est Libre".
  18. La BB63417 équipée du B.S.I. est vue en gare du Mans (72) en mai 1997.
  19. Pas de numéros qui se suivent avec cette unité multiple de T.G.V. Réseau, donc pas une unité en plus, mais un chiffre en plus, avec ces numéros qui se ressemblent, avec les rames 506 et 4506 vues en gare de Nice-Ville (06) en septembre 1996.
  20. Caisse et bogie de BB8100 en cours de travaux aux Ateliers de Béziers (34) en février 1995.
  21. Je n'arrive pas à citer les réponses de Capelanbrest, donc je cite celui-ci, qui lui répond. Relisez mon propos, et relisez-le bien: je répondais à C.G.O. qui demandait, en gros, ce que certains avaient à gagner à accuser les barrières d'être ouvertes au moment de la survenue du train: je ne parle en aucun cas de ce que la justice dit, mais de ce qu'en disent certains des fameux témoins et ce que ça leur rapporte. Il ne vous a pas échappé que lors d'accident, quoiqu'il arrive et avant même qu'on sache la cause voire même seulement sa nature, certains "citoyens" se défoulent sur la S.N.C.F. et son personnel, c'est forcément elle qui est responsable, ça ne peut pas être autrement. Il y a de la part de certains une haine viscérale de l'entreprise et de ses agents, comme d'autres détestent les policiers ou que sais-je comme autre corporation. En répondant à C.G.O., je ne faisais que répondre de la façon dont ces individus ont pu commenter l'accident sur les réseaux sociaux (mais vous allez au comptoir de n'importe quel troquet, ce sera du même tonneau), avec une synthétisation pour résumer ce que j'ai pu lire de la part de certains intervenants. Je n'ai pas d'exemple à vous apporter, mais en allant sur n'importe quel réseau social en cas d'accident impliquant un train, vous trouverez ce genre de commentaires, qui ont bien été écrits. Donc, tes attaques au fer (rouge) Capelanbret (et accesoirement ADC01 dans ta réponse à Capelanbrest), pour tenter de me faire dire ce que je n'ai pas dit et me ridiculiser par rapport à tout le monde n'ont pas lieu d'être. Je ne suis pas, ni personne d'autre, votre punchball. Il me semblait pourtant évident que je ne parlais ici aucunement de ce qu'en pense la justice, qui n'était pas concernée dans la question de C.G.O., mais que je ne faisais que reprendre les propos de certains survenus lors d'accidents (ou même de simples retards de trains: tout est bon pour certains pour accabler la S.N.C.F. et son personnel dès qu'il y a le moindre incident), et que je ne les pense aucunement moi-même. Il faut être naïf pour croire, avec ma passion des chemins de fer chevillée au corps, que je suis anti S.N.C.F. et que je ne porte pas les cheminots dans mon coeur. Ce serait encore plus "con" si c'était le cas car si vous (re)lisiez le post que j'avais fait pour me présenter dans le topic ad-hoc, vous vous apercevriez que: mon père lui-même était agent, que j'ai d'autres cheminots dans ma famille (ceci dit, je connais effectivement un gars qui déteste les policiers alors que son père l'est, ce qui permet de ramener un salaire à la maison et payer au gosse ses terminaux internet dont il se sert pour critiquer les policiers, mais si ce dernier a des problèmes avec sa conscience, ce n'est pas mon cas). J'ai "croqué" les facilités de circulation jusqu'à mes 21 ans (et même encore après sous certaines conditions) et j'en ai largement profité, j'ai toujours été bien sinon très bien accueilli partout où j'allais. Et je garde jalousement les documents et tous les trésors que j'ai pu avoir lors de mes visites dans les établissements, et n'oublie pas de dépenser un budget conséquent à m'acheter des produits de bibliothèque ferroviaire ou lié à la passion. Manifestement, non, je ne peux pas détester l'entreprise et ses salariés. D'autant que je dois aussi rappeler que je travaille dans une entreprise qui en est "cousine". Vraiment, ça n'aurait aucun sens, sinon, je n'aime pas mon entreprise ni mes collègues non plus. En guise de quoi, je ne vois vraiment pas en quoi, Capelanbrest, la critique dans mon post sur l'entreprise et ses agents pourrait émaner de moi alors qu'encore une fois, puisque cela ne t'a pas sauté aux yeux, je ne faisais que reprendre les propos du commun des mortels visant à descendre la S.N.C.F. pour le plaisir de la descendre. Ca porte même un nom, qu'on avait vu apparaître il y a quelques mois, qui était le "S.N.C.F. bashing". Moi non plus ça ne me plaît pas, mais ça existe et il faut en tenir compte.
  22. Démarrage fumant pour Chartres d'un X4300 modernisé Centre de la gare du Mans (72) en mai 1997. Certains objecteront le parcours entièrement sous caténaires, mais ce n'est pas pour rien et c'est juste un transfert en charge puisque ce départ à 15h07 permettait d'alimenter Chartres en éléments automoteurs où ils étaient utiles pour la desserte de Courtalain-Saint-Pellerin. Un mouvement inverse existait et cet échange naturel avait lieu du lundi au samedi, si je me souviens bien. Lorsque les X73500 ont été utilisés sur la ligne beauceronne à leur place, l'échange était fait par Voves mais dont une partie se faisait sur une ligne fermée au trafic voyageurs, donc en W et donc dont la rationalité n'était pas meilleure, d'autant que la relation d'échange des X4300 sur Le Mans - Chartres fut reprise par un élément Z5300 à quatre caisses, largement surcapacitaire pour ces trains qu'ils assuraient.
  23. Voitures Ocem (Office Central d'Etudes du Matériel) garées à L'Arbresle (69) en mai 1997.
  24. Démarrage fumant en gare de Breil-sur-Roya (06) pour les X2204 et 13 encadrant une XR6100 en mai 1997, alors qu'ils assurent l'aller-retour international quotidien Nice - Coni.
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