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Le Web des Cheminots

Reportage envoyé spécial du 26/09/2013 sur l'état de la SNCF 2 mois après Brétigny.


Invité technicentre

Messages recommandés

Invité technicentre

Pour ne pas polluer le sujet sur Brétigny, je vous propose de créer un sujet spécifique sur le reportage de France2...

Tout d'abord, un lien pour voir le sujet... http://www.france2.fr/emissions/envoye-special/videos/89163612

Nous, contrairement à cette émission, nous laissons un droit de réponse...

Les premières réponses et contributions se trouvent '?do=embed' frameborder='0' data-embedContent>>

Pour l'équipe de modération, comme je me suis permis de mettre les liens pour situer le début de ces réponses, pas trop besoin, à mon avis, de faire le ménage...

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Dans le reportage, ou dans les Grands Bureaux, on ne publiera jamais les interview, les tracts, les anciens préavis , les alertes qui étaient lancé par la majorité des agents qu'on ne voulait pas d'un chemin de fer à l'Anglaise post Thatcher; mais que l'Etat nous y amenais de plus en plus.

Que l’opinion, les élus nous lançaient à la face qu'on ne défendait QUE nos acquis, nos avantages et notre fegnantise.

Alors que si effectivement il y avait des messages, des revendications propre à notre entreprise et nos conditions de travail; L'alerte sur les conséquences à venir était lancé.

Aujourd'hui nous voyons tous l’état du réseau, des condition pour gerer et utiliser ce réseau.

On preferera dire, ouin ouin la voie à 50 ans, ouin ouin je me lève à 6h du mat - ils se sont levé à quelle heure les agents pour qu'il soit la ton train de 06h30, morue !

Ouin ouin je suis pas en sécurité sur cette ligne, regarder le train roule doucement. Mais je le prends quand même.

Enfin il reste l'histoire de gros sous, car c'est bien beau tout cela, mais entretenir, refaire, mettre du personnel, il faut payer; et personne ne veux mettre la main à la poche. Et RFF avec la dette qu'on lui a laissé (merci le tgv normalement financé par l'etat) n'a pas eu des bases saines.

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Bonjour,

Moi je suis curieux de savoir comment elle connait la vitesse à laquelle circule le train, parce que déjà, sur Nantes - St Gilles Croix de vie, ça roule pas à 160, et que c'est pas parce que le train le peut, que la voie le permet...

Personnellement, je trouve toujours ce genre de reportage bien trop orienté pour être impartial. Si tu les écoutes, on a des morts tous les jours à cause d'un déraillement ou on risque notre vie dès qu'on approche d'une gare. Si au lieu de nous critiquer sur nos grèves, les gens cherchez à nous comprendre, il serait surement avec nous...

Enfin bref, Tant que le mouton suis le troupeau, tout va bien...++

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Bonjour,

Moi je suis curieux de savoir comment elle connait la vitesse à laquelle circule le train,

Les GPS et autres applications sur les portables permettent de surveiller la vitesse réelle du train, ce sont de vrais outils pour espionner les conducteurs de trains

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Au point où l'Etat des voies est, la seule réforme courageuse serait que la DDE qui s'occupe des routes englobe le ferroviaire et son personnel, RFF et SNCF, en laissant le choix du statut pour le personnel pendant...30 ans!

L'organisation de gros chantiers routiers ou leur entretien sont un peu moins complexe que sur ferroviaire mais il y a de réelles synergies puisque confié aux boites privés même si le ferroviaire a des spécificités propre ( comme moins d'entreprises).

La surveillance des circulations reviendra dans le rôle régalien de l'Etat, permettant de fermer une impasse ( epic) quelques décennies qui ont couté chères pour des économies de bout de chandelles avec au final un réseau en mauvais état.

Mais rassurez vous, on vit en France et l'Etat inventera une usine à gaz complexe " la meilleure du monde" évidemment et entre temps demandera un nouvel nouvel nouvel audit suisse sur le réseau ferré, sans prendre aucune mesure comme d'habitude.

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Le reportage (je viens de le regarder) laisse un goût amer : il deviner que des cheminots soucieux de la qualité de leur travail n'ont plus la possibilité de l'effectuer correctement, que l’entreprise SNCF est plus soucieuse de la réduction des couts que de la sécurité.

On commence à voir la prolifération de "gestionnaires" qui ne connaissent rien, ou si peu, à la technique : celui à qui on pose la question à propos d'un tire-fond manquant répons qu'il ne sait pas, sa réponse ne serait pas grave s'il avait répondu "je ne le sais par par cœur mais dans ce cas je me réfère au document XXX qui traite de ce sujet et donne la réponse en fonction des paramètres applicables"...

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Le reportage est interessant même si je note toujours ces pratiques médiatiques qui visent à rabaisser le débat au ras des paquerettes en évitant d'aborder la question technique.

Quelques petites choses qui me gênent:

  • L'accident ferroviaire les plus grave des 25 dernières années (Faux)
  • Toujours cette confusion entre RFF et SNCF
  • Un sujet abordé sous un angle fortement émotionnel (Gros plan sur les visage, témoignage d'individus sans mise en perspective)
  • On se focalise sur des erreurs ayant une cause humaine (et venant des personnes qui occupent le bas de la hierarchie) pratiquement sur les erreurs qui viendraient des procédures
  • Le sujet est abordée d'une manière destructurée: leur démarche intellectuelle d'analyse ne me parait pas claire
  • On glissse sournoisement quelques idées dans le reportage (Trains toujours en retard, la SNCF vous ment sur la sécurité,Le réseau et le matériel sont totalement vétuste,les voyageurs sont globalement insatisfait de la qualité du service mais ils préfèrent prendre le TER plutot que la voiture pour aller au travail)
  • On n'essaie pas de quantifier le danger, on se contente juste d'instiller la défiance. ("Le risque de déraillement existe mais n'est pas nul" sous-entendu à cause des essieux defecteux alors que meme sans essieu defectueux le risque de déraillement est non nul)

J'ai un peu l'impression de voir les ravages des technique de communications moderne sur la société tant chez les journalistes qui ne savent plus poser les bonnes questions que dans les entreprises (ici la SNCF) où j'ai l'impression qu'il s'installe une véritable culture de la négation du réel dirigée contre les employés comme vers les extérieurs.

Et à côté de ça on a des infos sur "l'incident d'exploitation" de Lyon dont on parle dans le reportage?

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Pas mal, ça rend triste mais on l'était déjà avant.

Par contre, le journaliste retraité à la vie du rail qui prend son bâton de pèlerin, ça me laisse perplexe.

Il a travaillé toute sa vie à "la voie de son maître" à cautionner toutes les décisions de la SNCF et donc a un peu participé au résultat actuel.

Il ferait mieux de faire un pélerinage à St Jacques de Compostelle en réparation de ses fautes.

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Dans le reportage, ou dans les Grands Bureaux, on ne publiera jamais les interview, les tracts, les anciens préavis , les alertes qui étaient lancé par la majorité des agents qu'on ne voulait pas d'un chemin de fer à l'Anglaise post Thatcher; mais que l'Etat nous y amenais de plus en plus.

Que l’opinion, les élus nous lançaient à la face qu'on ne défendait QUE nos acquis, nos avantages et notre fegnantise.

Alors que si effectivement il y avait des messages, des revendications propre à notre entreprise et nos conditions de travail; L'alerte sur les conséquences à venir était lancé.

Aujourd'hui nous voyons tous l’état du réseau, des condition pour gerer et utiliser ce réseau.

Certes, mais il y a un point crucial à comprendre pour cerner les réactions des usagers :

Pourquoi les cheminots feraient-ils grêve pour défendre les intérêts des "clients" et non les leurs ? (la problématique est d'ailleurs la même pour le milieu enseignant ...)

Dans un contexte d'individualisation de la société, cela peut paraître ... étrange ! Voire irréaliste !

Dans quelles autres entreprises y a-t-il un sens du collectif si important, et publiquement affiché ? Certains ici ont déjà avancé l'idée que la séparation des activités permettait la désolidarisation nécessaire pour faire passer les changements organisationnels de l'entreprise ...

Nox

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Invité necroshine

Je n'ai pas vu l'émission mais d'après ce qu'on m'a dit et ce qui a choqué mon entourage est :

- qu'ils ont interrogé un DPX sur l'état de la voie, qui n'aurait su répondre qu'il était manager et rien d'autre....

Ce qui veut dire que c'est un gars qui sort d'une grande école... Il ne connait rien au métier, il est juste la pour prêcher la bonne parole et mettre des coups de 12 a ses personnels...

Modifié par necroshine
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Invité necroshine

Faudrait peut être que les médias arrêtent de jouer les vierges effarouchées....

La vérité est dénoncée depuis des années par les OS.... mais bon celles ci ne sont considérés par tous comme des annexes de l'ancienne URSS, contrôlées par Moscou... et, composees de pauvres alcooliques feignants...

Les films :

- Cheminots,

- SNCF, une erreur d'aiguillage expliquaient depuis 7-8 ans la débâcle du système ferroviaire Français....

La vérité était su depuis de nombreuses années déjà.... Mais la direction SNCF a tout fait pour contrer cela, et je ne parle pas de l'état UMP qui se réjouissait de cette débâcle et d'y installer les potes Veolia, Eiffage, Vinci et tant d'autres qui ensuite devaient bien les arroser...

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Je n'ai pas vue l'émission mais d'après ce qu'on m'as dit et ce qui aurait choquer mon entourage est :

- qu'ils ont interrogé un DPX sur l'état de la voie, qui n'aurait su répondre qu'il était manager et rien d'autre....

Ce qui veut dire que c'est un gars qui sort d'une grande école... Il ne connait rien au métier, il est juste la pour prêcher la bonne parole et mettre des coups de 12 a ses personnels...

vu de l'extérieur moi j'ai plutôt pensé en voyant la réaction de l'homme, qu'il ne souhaitait pas s'exprimer sans le dire ouvertement ou bien qu'il respectait des consignes qu'il avit reçu de sa hiérarchie lui rapellant que c'est elle a qui revenait le droit de communiquer et non aux agents.

Botter en touche ainsi est fréquent quant on est pas autorisé à communiquer...ça coupe court à tout ! (même si ça pas élégant pour ceux qui regardent ensuite le reportage et restent aisni sur leur faim.)

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1er point: ce n'est pas un dpx qui avoue ne pas connaitre les normes en cours et se déclare "Manager".

Ce n'est pas n'importe qui, c'est Luc Cocherel Directeur de la Maintenance Voies SNCF des Pays de la Loire.

C'est bien un Manager avec un grand M, ouf, car j'aurai eu peur si cela avait été un dpx du terrain...

Excusable pour un grand Chef sauf que le téléspectateur n'aura pas saisi la nuance et va mal conclure (chef= manager incapable)

ìl y a des petits chefs qui connaissent le métier.

Sérieusement, croyez-vous que les chantiers de la région Pays de la Loire ont l'honneur d'être supervisé par Mr le Directeur de la Maintenance Voies SNCF des Pays de la Loire en personne?

Bravo aux média pour coincer et retourner une communication d'entreprise en période difficile.

Propaganda.

Sinon côté communication et son décorum, on a eu le droit à du grand art de propagande.

Evidemment que G.Pépy est soucieux de son image, du sérieux de la boite et défenseur de ses cheminots; aussi a-t-il choisi un endroit au soleil. entre les voies où un gros plan le montrera dans une ambiance ferroviaire avec un gros logo SNCF au fond. De même dans un bureau, il porte la cravate.

Et là crack au montage:

  • 18e minute, G.Pépy est ridiculement assis tassé sur sa petite chaise au bord d'une voie: c'est ainsi qu'il est filmé de 3/4: on se croirait à un procès soviétique où le tribunal prend plaisir à ridiculiser l'accusé.
  • A la fin, le coup de la cravatte où lon voit un G.Pépy de dos nouer son noeud (coulant): alors là chapeau ! Heureusement qu'il n' a pas remis sa chemise dans son pantalon sinon on aurait eu droit un gros plan sur sa main baladeuse. Une bonne leçon de "comment rendre ridicule l'accusé"; en prime dans le bureau, un cadrage serré permettant de mettre en valeur la belle maquette auto de sport jaune sur l'étagère: et non, plus de TGV ou de vapeur dans le bureau du directeur de la SNCF; Ben là, les médias du service public de l' Etat font fort

Re-regardez ce reportage avec l'oeil d'un procès soviétique à charge: tous les éléments pour influencer sont là, pour charger la barque.

RFF n'existe plus, SNCF est l'accusé.

Et comme la passagère du train Orléans-Paris a un si beau décolleté: tout, on a eu droit à tout.

Propaganda, ya

Modifié par 2D2
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J'ai quelques doutes sur l'affirmation de la voie âgée de 100 ans. Même si la voie est, de toute évidence, ancienne, les traverses ne peuvent pas "durer" 100 ans.

Ensuite, le soit-disant spécialiste, ex journaliste de la vie du rail, qui s'insurge contre le fait que la voie s’affaisse un peu lors du passage d'une rame, n'a jamais dû regarder ce qui se passe, sur une voie dite en bon état, au passage d'une circulation.

Enfin l'amalgame sur le temps d'inspection entre les 236 essieux concernés par un serrage avec une clé dynamométrique (réglée à un couple anormal) et la rupture d'essieu qui à conduit à un déraillement, relève d'une méconnaissance profonde des notions de base en mécanique. Les deux problèmes n'ont absolument pas la même urgence...

D'un autre côté, il n'y pas besoin d'aller chercher bien loin pour trouver des voies en état "limite" : il suffit d'attendre son train en gare de la Part-Dieu à Lyon.

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On ne sait d'ailleurs pas non plus quelle(s) partie(s) de ces essieux était(ent) mal serrée(s) :Smiley_23:

Certes mais vu la taille de la clé dynamométrique présentée dans le reportage, seules la fixation des disques de frein ou bien le couvercle de la boîte d'essieu pouvaient être en cause. Un serrage avec un couple trop faible n'a pas un effet instantané, mais à long terme

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Pour la partie terminale de la ligne Nantes-pornic (ainsi que celle de Nantes-Saint-Gilles Croix de Vie), je confirme: les rails DC datent bien de 1897, et ils sont morts. Cela fait beaucoup de foin en ce moment dans la région PDL parce que le Conseil Régional , qui a déjà beaucoup investi dans le rail, n'a pas les moyens financiers de procéder tout seul à la réfection de la voie. Souvenez-vous seulement d'Alès-Bessèges fermée l'an dernier pour cause de voie pourrie, du Blanc-Argent sauvé de justesse (voie pourrie), de Gisors-Serqueux fermé pendant trois ans pour cause de voie pourrie, de Volvic-Lapeyrouse fermée pour cause de voie pourrie, de Montluçon-Eygaurande fermée pour cause de voie pourrie ... et j'en oublie sûrement ! A chaque fois, la seule possibilité de réouverture dépend des finances du Conseil Régional (dont ça ne fait pas partie de ses attributions, d'ailleurs). Comment en est-on arrivé là?

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15 ans de gestion Gallois + Pépy ?

Pour le financement des voies ce n'est peut être pas exactement de leur faute à tous les deux ???

Quand on pense, en effet, que certaines lignes sont remises en état de circulation aux frais des Conseils Régionaux, moi je me demande un peu ce que fait RFF dans cette affaire car, là, la Sncf n'y peut pas grand chose...

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Pour le financement des voies ce n'est peut être pas exactement de leur faute à tous les deux ???

Quand on pense, en effet, que certaines lignes sont remises en état de circulation aux frais des Conseils Régionaux, moi je me demande un peu ce que fait RFF dans cette affaire car, là, la Sncf n'y peut pas grand chose...

Pourtant cet argent passe par RFF et ils décident ou non de faire les travaux! on se rappel le merdier pour débuter la modernisation du mont blanc express!

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C'est ce que je dis Rail Cassé : que fait RFF dans ces coups-là (ceux où les travaux sont finalement payés par les Conseils Régionaux) ??? Il annonce aux Régions qu'il n'a pas les budgets ? Et du coup il encaisse avant ?

Je ne connais pas du tout le système...

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C'est ce que je dis Rail Cassé : que fait RFF dans ces coups-là (ceux où les travaux sont finalement payés par les Conseils Régionaux) ??? Il annonce aux Régions qu'il n'a pas les budgets ? Et du coup il encaisse avant ?

Je ne connais pas du tout le système...

Et comme les conseils régionaux n'ont plus un rond, on va voir la fin des rénovations de lignes à vocation purement régionale payés par les dits conseils régionaux et de plus si bons nombres de ces conseils basculent à droite, il va y avoir un sacré coup de frein au subventionnement du transport ferroviaire.

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C'est ce que je dis Rail Cassé : que fait RFF dans ces coups-là (ceux où les travaux sont finalement payés par les Conseils Régionaux) ??? Il annonce aux Régions qu'il n'a pas les budgets ? Et du coup il encaisse avant ?

Je ne connais pas du tout le système...

hello miss! tout cela a été une histoire de fou!!! ils empochent les lignes comptables et font du chantage après! ils ont même faillit laisser tomber la ligne ( nous nous étions pour ! hi! hi! hi! ) mais la région et la sncf se demandaient comment exploiter le truc derrière! A mon avis, ce n'est que partie remise après la fins des travaux en 2015.

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