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Le titre me laisse songeuse... Il fallait moins de temps pour aller de Paris au Tréport il y a 100 ans qu'aujourd'hui...

(mais pour le reste je peux comprendre que les voyageurs n'en puissent plus).

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Et bien c est vrai ailleurs il faut plus de temps aujourd'hui par exemple pour faire Paris Montargis qu il y a 30 ans.

Et pourtant l électrification le BAL ont modernisés la ligne mais lé cadencèment est passé par la et les trains de banlieue  comme partout en France sont devenus des métros et des omnibus.

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Les joies de la "pépysation" : détendre exagérément les horaires pour obtenir une régularité ponctualité supérieure à 95%, supprimer tout train risquant d'avoir plus de 5 min de retard au départ car un train supprimé est moins pénalisé par les AO qu'un train en retard, rendre omnibus tous les trains pour "faciliter la lecture des dessertes par nos clients", etc.

La SNCF est au service de ses concurrents et pourrir les dessertes en attendant 2019 fait partie de cette stratégie d'aide à ces futurs "nouveaux entrants". Rien de nouveau, ça fait au moins 15 ans que c'est comme ça.

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La SNCF est au service de ses concurrents et pourrir les dessertes en attendant 2019 fait partie de cette stratégie d'aide à ces futurs "nouveaux entrants". Rien de nouveau, ça fait au moins 15 ans que c'est comme ça.

Quand on te pond des sillons reguliers ME120 qui mettent presque 8h sans arrêt entre Valenton et Sibelin on peut se poser la question....

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pour ma part le sujet devrait être déplacé dans le sujet lgv haute normandie (c'est lié) : si on n'a pas l'argent pour rénover l'existant et remplacer les rames corail ! - comment construire une nouvelle infrastructure ex nihilo ? avec quel argent ?

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Il s'agissait de deux AR en semaine, accessibles uniquement aux voyageurs de première classe ayant en outre acquitté un supplément. Je doute que la clientèle d'aujourd'hui accepterait de payer un tel prix...

 

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"

Il s'agissait de deux AR en semaine, accessibles uniquement aux voyageurs de première classe ayant en outre acquitté un supplément. Je doute que la clientèle d'aujourd'hui accepterait de payer un tel prix...

 

En 30 ans, le billet de train qui était très abordable semble être devenu un produit de luxe, sauf si on s'y prend 60J à l'avance.

Le prix a augmenté bien plus vite que l'inflation à tel point que je me demande si on ne paye pas déjà un prix de 1ere classe avec supplément pour un service qui, pour sa part, semble avoir glissé vers la troisième classe, pourtant supprimée depuis près de 60 ans...

 

  • J'adore 3
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Il s'agissait de deux AR en semaine, accessibles uniquement aux voyageurs de première classe ayant en outre acquitté un supplément. Je doute que la clientèle d'aujourd'hui accepterait de payer un tel prix...

 

Oui, si on ne peut plus faire ce temps là aujourd'hui, c'est en partie parce qu'il n'y a plus de trains "drapeau". Les IC Paris - Le Havre desservent aujourd'hui systématiquement Yvetot et Bréauté-Beuzeville, alors que j'imagine que ces rapides à supplément ne s'arrêtaient qu'à Rouen.

Et puis le trafic "banlieue" n'était peut-être pas aussi dense qu'aujourd'hui entre Paris et Mantes...

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Oui, si on ne peut plus faire ce temps là aujourd'hui, c'est en partie parce qu'il n'y a plus de trains "drapeau". Les IC Paris - Le Havre desservent aujourd'hui systématiquement Yvetot et Bréauté-Beuzeville, alors que j'imagine que ces rapides à supplément ne s'arrêtaient qu'à Rouen.

Et puis le trafic "banlieue" n'était peut-être pas aussi dense qu'aujourd'hui entre Paris et Mantes...

Peu importe les raisons. Le prix, le nombre de trains, le trafic... la constatation est là, et c'est vrai sur beaucoup de lignes (hors TGV bien sûr... )

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"

En 30 ans, le billet de train qui était très abordable semble être devenu un produit de luxe, sauf si on s'y prend 60J à l'avance.

Le prix a augmenté bien plus vite que l'inflation à tel point que je me demande si on ne paye pas déjà un prix de 1ere classe avec supplément pour un service qui, pour sa part, semble avoir glissé vers la troisième classe, pourtant supprimée depuis près de 60 ans...

 

C'est (peut être) vrai...

En 1973 le trajet Paris  Le Havre en première et avec supplément coutait 51,80 francs (soit grosso modo 8€uros). Aujourd'hui le même trajet en première et plein pot coute 53€uros mais aussi 18€uros en billet prem's. Les prix ont donc augmenté de façon vertigineuse si l'on ne tient pas compte de l'inflation...

... et il serait intéressant de faire le calcul.

M'est avis que la différence ne doit pas être si énorme.

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C'est (peut être) vrai...

En 1973 le trajet Paris  Le Havre en première et avec supplément coutait 51,80 francs (soit grosso modo 8€uros). Aujourd'hui le même trajet en première et plein pot coute 53€uros mais aussi 18€uros en billet prem's. Les prix ont donc augmenté de façon vertigineuse si l'on ne tient pas compte de l'inflation...

... et il serait intéressant de faire le calcul.

M'est avis que la différence ne doit pas être si énorme.

En prenant en compte l'inflation 51,80 F de 1973 représentent environ 49 € de 2015.

Donc le prix n'a pas baissé.

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En prenant en compte l'inflation 51,80 F de 1973 représentent environ 49 € de 2015.

Donc le prix n'a pas baissé.

Vrai. Il a donc augmenté de 0.1% par an.
Inadmissible.

 

 

Peu importent les raisons. Le prix, le nombre de trains, le trafic... la constatation est là, et c'est vrai sur beaucoup de lignes (hors TGV bien sûr... )

Ben oui, si en plus il faut se mettre à raisonner, où va t'on? :Smiley_20:

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Les joies de la "pépysation" : détendre exagérément les horaires pour obtenir une régularité ponctualité supérieure à 95%, supprimer tout train risquant d'avoir plus de 5 min de retard au départ car un train supprimé est moins pénalisé par les AO qu'un train en retard,

Cela dépend, nous en Champagne-Ardenne par exemple, il faut que le train roule. Il est assez rare qu'il soit supprimé. On peut en faire rouler plusieurs l'un derrière l'autre mais il faut que ça roule.

 

Christophe

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Cela dépend, nous en Champagne-Ardenne par exemple, il faut que le train roule. Il est assez rare qu'il soit supprimé. On peut en faire rouler plusieurs l'un derrière l'autre mais il faut que ça roule.

 

Christophe

 

Oui et c'est pareil dans d'autres régions : le taux de "réalisation" (trains qui ont roulé) est plus soumis à malus que la régularité ; cela dépend de chaque convention d'exploitation des 20 activités TER.

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  • 2 semaines plus tard...
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En prenant en compte l'inflation 51,80 F de 1973 représentent environ 49 € de 2015.

Donc le prix n'a pas baissé.

Si on compare sur  une quarantaine d'années, le prix est relativement stable. Mais l'inflation en France a surtout été très importante 12 ans de 1973 à 1985 (+260%) alors que les  30 années suivantes n'ont connu que 83% d'augmentation. http://france-inflation.com/calculateur_inflation.php

Or, l'augmentation des prix  du billet SNCF a été plus linéaire, ce qui me fait dire qu'en 1985, au regard de l'inflation, les prix SNCF étaient compétitifs.  Au contraire, sur les 30 dernières années où l'inflation a été très modérée, les prix du billet ont augmenté plus vite. Voilà pourquoi les personnes de moins de 45 ans peuvent avoir l'impression que le train est devenu cher.

Le problème est que pendant cette période :

A) le réseau routier se modernisait , les autoroutes furent construites,  diminuant drastiquement les temps de trajet.

B) le prix du km parcouru en automobile chute , notamment avec des consommations de 5 L /100 en diesel contre 10L/100 en essence à l'époque

C) Le confort automobile progresse très vite avec des voitures plus silencieuses, mieux équipées, plus performantes, climatisées.  Au contraire, l'amélioration est moins flagrante entre une corail de 75 et un AGC ou un coradia de 2015

D)  La durée du  trajet Paris-Le havre en train s'est sensiblement allongée en 40 ans. Maintenant que le temps coûté très cher,  la clientèle peut percevoir ce phénomène  comme une forte dégradation du service.

 

Pour répondre à Barquerouge, je reconnais avoir été provocateur en parlant de 3e classe et suis prêt à reconnaître que nous ne circulons plus, assis sur des banquettes de bois  dans des boîtes à tonnerre. Cependant a clientèle est devenue exigeante. Si les banquettes sont devenues moelleuses et l'air climatisé, cela ne suffit pas à combattre l'impression d'un confort et d'un service en retrait  par rapport à d'autres moyens de transport.

  • J'adore 5
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Salut ,

Le petit plus :

Et il y avait une prime de charbon à l'époque .:jesuisdehors:

Bon blague à part , quand on considère les performances des trains drapeaux de l'époque à deux chiffres , et ce qui pratique de nos jours . Il convient de préciser , que ces trains se payaient pour leurs prestation avec un supplément , soit par une composition unique en première classe , voire les deux à la fois .

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Publication:

Salut ,

Le petit plus :

Et il y avait une prime de charbon à l'époque .:jesuisdehors:

Bon blague à part , quand on considère les performances des trains drapeaux de l'époque à deux chiffres , et ce qui pratique de nos jours . Il convient de préciser , que ces trains se payaient pour leurs prestation avec un supplément , soit par une composition unique en première classe , voire les deux à la fois .

et tu avais de la restauration (de la vrai ) a bord

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Si on compare sur  une quarantaine d'années, le prix est relativement stable. Mais l'inflation en France a surtout été très importante 12 ans de 1973 à 1985 (+260%) alors que les  30 années suivantes n'ont connu que 83% d'augmentation. http://france-inflation.com/calculateur_inflation.php

Or, l'augmentation des prix  du billet SNCF a été plus linéaire, ce qui me fait dire qu'en 1985, au regard de l'inflation, les prix SNCF étaient compétitifs.  Au contraire, sur les 30 dernières années où l'inflation a été très modérée, les prix du billet ont augmenté plus vite. Voilà pourquoi les personnes de moins de 45 ans peuvent avoir l'impression que le train est devenu cher.

Le problème est que pendant cette période :

A) le réseau routier se modernisait , les autoroutes furent construites,  diminuant drastiquement les temps de trajet.

B) le prix du km parcouru en automobile chute , notamment avec des consommations de 5 L /100 en diesel contre 10L/100 en essence à l'époque

C) Le confort automobile progresse très vite avec des voitures plus silencieuses, mieux équipées, plus performantes, climatisées.  Au contraire, l'amélioration est moins flagrante entre une corail de 75 et un AGC ou un coradia de 2015

D)  La durée du  trajet Paris-Le havre en train s'est sensiblement allongée en 40 ans. Maintenant que le temps coûté très cher,  la clientèle peut percevoir ce phénomène  comme une forte dégradation du service.

 

Pour répondre à Barquerouge, je reconnais avoir été provocateur en parlant de 3e classe et suis prêt à reconnaître que nous ne circulons plus, assis sur des banquettes de bois  dans des boîtes à tonnerre. Cependant a clientèle est devenue exigeante. Si les banquettes sont devenues moelleuses et l'air climatisé, cela ne suffit pas à combattre l'impression d'un confort et d'un service en retrait  par rapport à d'autres moyens de transport.

tu as oublié :

  • le fait également que les automobiles soient devenues plus "abordables" pour le péquin lambda et incontournables compte tenu de l'étalement périurbains en plein boom.
  • le fait également qu'a à partir des années 80 la jeunesse avait en général permis de conduire dès 20 ans....ce qui dans les habitudes donnent l'indépendance, contrairement à la génération, qui elle avait du subir le train comme unique moyen de transport pratique pour un voyage un peu significatif. (voyage qui avant les années 70/75 était souvnet poussif et fastidieux et bien chargé. voyager à cette époque dans les couloirs sur les plates formes était monnaie courante.
  • Effectivement le niveau d’exigence était bien moindre à cette époque faute d'avoir connu mieux... ;)
  • quant au coût du temps c'est surtout dans les têtes qu'il s'est installé .......avec cette boulimie systématique pour le péquin lambda de vouloir faire toujours plus de choses souvent pour le simple fait, de faire des choses.....la société de l'hyper consommation ayant largement contribué à cette état d'esprit.

 

  • J'adore 3
Publication: (modifié)

En se limitant aux Le Havre Rouen Paris arrivant pendant la "période de pointe du matin"

En 1975, 1 train 1ere restauration à la place, majoration d'environ 10% de l'abonnement 1ere annuel pour 22 AR par mois dans ce type de train. Arrivée à St Lazare à 9h05. Hors voyageurs occasionnels, réservé à quelques caboteurs "haut de gamme", pas obligés à une heure de début de travail plus matinale. 0h40 du Havre à Rouen, 1minute à Rouen, 1h04 de Rouen à Paris

En 2015, 2 trains 1re-2e. Arrivées à St Lazare à 8h39 et 9h15 (9h15 acceptable ou transparent dans certains métiers, et bien des organismes et entreprises acceptent mieux les "arrangements d'horaires" qu'il y a 40ans : par exemple parent 1 (pas de sexisme) tard le matin et le soir, parent 2 tôt le matin et le soir). Le 8h39 est à coup sûr une ressource pour certains caboteurs rouennais. En défalquant 4minutes pour Bréauté et Yvetot, on arrive à 0h46 ou 0h48 du Havre à Rouen, 3minutes à Rouen, 1h10 et 1h16 de Rouen à Paris.

Je pense que la variation entre Le Havre et Rouen, et celle du temps d'arrêt à Rouen, correspond à la volonté de partir à l'heure de Rouen aussi souvent que possible. Par contre, ne disposant pas des horaires de passage à Mantes, je ne peux analyser l'emplacement des différences de temps intermédiaires. Je pourrais comprendre une "énorme  détente" entre Rouen et Vernon, de façon à se donner la chance statistique de se présenter 95/99 fois sur 100 à l'heure à l'entrée sur le tronçon le plus critique Vernon Mantes Paris (sauf les cas de défaut d'intégrité de la voie et du train en amont). La forte détente était la méthode pour mettre à quai en super-pointe à Austerlitz, 20minutes avant départ (je dis bien 20), des rames préparées, couchettes équipées, par la "gérance" de matériel de...Cerbère (968km d'Austerlitz), le top zéro pour la dernière section à parcourir étant à Brétigny.

Une fois qu'on a tout fait pour que chacun ait de très grandes chances de se présenter à l'heure à son entrée (ou son départ) dans la section critique, à mon avis "rien ne va plus" comme on dit au casino : "çà passe, ou çà casse" au moindre incident, une marge de régularité "standard" ne veut rien dire, le respect des points horaires intermédiaires et des vitesses suggérées prime (sans pilotage automatique avec recalcul d'horaire en temps réel, bravo aux conducteurs), et puis les "misères" arrivent aléatoirement : incidents pénalisants (entre plusieurs dizaines de minutes et de 5 à 10 minutes), menues dérives, bouchons en accordéon associés. Sur 1 voie par sens dont on ne peut pas sortir, on arrive vite aux limites des solutions de régulation.

Je suis resté dans le sujet du présent fil, mais à mon avis les excédés n'ont rien à voir avec Le Havre, mais plutôt avec les tronçons situés dans l'Eure et jusqu'à Rouen en Seine Maritime.  Habiter de plus en plus loin de son travail ou ses études, c'est objectivement devenir très dépendant de la fiabilité des transports en commun et/ou du réseau routier (voies et véhicules). Je ne veux pas ouvrir le débat,  il y a depuis l'origine du Chemin de Fer de Saint Germain des interactions entre urbanisme et transports en "région parisienne" (au sens de plus en plus large), pour un tas de raisons, et une multitude d'acteurs individuels et de pouvoirs publics, chacun pouvant expliquer la logique de ses choix lors des interviews. Même la Chine n'affecte plus au bâtiment B53 (célibataires) ou B25 (mariés) les membres de l'Unité de Travail n°4, çà donne du boulot aux concepteurs d'urbanisme et de réseaux routiers ou ferrés :-)

 

 

Modifié par PN407
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Complément sur les excédés (c'est pas pour les énerver encore plus, c'est le début du weekend pour ceux qui en ont !!!)

Demander sur Dailymotion Elle court elle court la banlieue Part 5  et regarder à partir de la minute 3:25

La séquence donnera des éléments de réponse au "directeur de ligne" actuel lors de sa prochaine rencontre avec des clients /usagers remontés : "c'était votre grand-mère qui avait servi de modèle à la cheftaine des pétitionnaires dans le film ? Est-ce qu'elle va bien ? Je vous demande çà, parce que le modèle du "directeur des réclamations SNCF" du film, c'était mon grand-père". Cà ne fait que 42ans que la ligne du groupe 5 est cinématographiquement célèbre (film de 1973, à partir du livre 4 heures de transport par jour écrit en 1970 par Madame Brigitte Gros, à l'époque du film sénatrice-maire de Meulan).

Pour l'Eure, 173000 actifs occupés en 1982, 3800 actifs à Paris, 246000 actifs occupés en 2012, dont 41300 dans une région autre que la Haute Normandie (dont on peut penser que l'Ile de France représente une grande part, pas de détail dans l'INSEE public en consultation rapide). Tous ne prennent pas les transports en commun, mais...

 

 

Publication:

 et sur la ligne il n'y avait déjà plus les saucissons de l'état

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C'est (peut être) vrai...

En 1973 le trajet Paris  Le Havre en première et avec supplément coutait 51,80 francs (soit grosso modo 8€uros). Aujourd'hui le même trajet en première et plein pot coute 53€uros mais aussi 18€uros en billet prem's. Les prix ont donc augmenté de façon vertigineuse si l'on ne tient pas compte de l'inflation...

... et il serait intéressant de faire le calcul.

M'est avis que la différence ne doit pas être si énorme.

Equivalent en Euros 2014 de 52 francs : 45, 20 €

Ce n'est donc pas vertigineux

http://www.insee.fr/fr/service/reviser/calcul-pouvoir-achat.asp

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