Inharime

Bof, c'est un marché de niche qui n'offre aucune souplesse, encombre le graphique et est moins performant que le service existant. Mais si ça peut, comme à la SNCF inciter à la création de services ''éco'' par la DB...tout le monde y gagnera sauf le personnel bien sûr. (Qui dit service économique dit salaires du même tonneau).

ne pas confondre chair et chaire, ça peut coûter cher...

Tu pourrais organiser un pot de départ...

A part Charlie et le Canard qui n'appartiennent pas à un ''gros bonnet'' et ne publient pas une ligne de pub, tous les journaux sont plus ou moins dépendants de leur propriétaire ou des annonceurs. Certains résistent mieux que d'autres c'est tout. Et après tout chacun sait que le Figaro est le porte voix de la sarkozie sans que cela ne peine personne. LaVoix du Nord ne fait qu'émettre une opinion, libre aux lecteurs d'y adhérer ou non.

Oui mais il y a aussi dans le privé des individus qui baladent leur incopétence d'une entreprise à l'autre. Et avec prime de départ et d'arrivée pour les plus doués d'entre eux.

Et en plus ça sent pas bon...

Qui dit privatisation dit alourdissement de la masse salariale des hauts dirigeants et encombrement de l'organigramme par les copains qu'il faut caser. Peut être enfin le bon moyen de virer les bons potentiels et de garder ceux qui marchent au pas et courbent l'échine...

Ce qui représente une amélioration considérable...

Le premier schéma de principe de la tangentielle nord (c'est à dire une étude aboutie pour laquelle il ne manquait que le financement) date du milieu des années 70. Il a été relancé dans les années 90 et ce sont les atermoiements du STP qui en on fortement ralentit l'exécution. Le projet de tangentielle ouest est plus récent et nécessite moins de travaux. Sa réalisation devrait être plus simple.

L'abstention montre peut être le manque de confiance envers les syndicats majoritaires mais il montre tout autant le même manque de confiance envers les syndicats non majoritaires. Sinon les abstentionnistes auraient voté pour eux...

L'informatique a ceci de merveilleux (?) qu'elle est mondialisée et que n'importe qui (pour peu qu'il ait les moyens et les compétences) peut bidouiller ce qu'il veut d'où il veut. Si le 'bidouilleur' est vraiment efficace la fraude sera difficile à voir car elle n'a pas besoin d'etre importante pour inverser un resultat (souvent un ecart de deux ou trois points suffit). Le vote 'papier' peut être également bidouillé, mais localement, et sachant qu'en France un bureau de vote ne compte guère plus d'un millier d'électeurs la fraude, si elle se réalise, n'aura que peu de conséquences. Même si cette fraude se situait à un niveau supérieur il me parait difficile d'atteindre les exploits de certaines dictatures (pour le moment du moins...).

Je suis totalement opposé au vote électronique, c'est la porte ouverte à tous les abus et toutes les manipulations. Un ordinateur peut être programmé avant le début du vote pour attribuer, quelque soit le nombre de votants, un pourcentage déterminé à chacun des candidats, le vote des électeurs n'a rien de secret, il est très facile de savoir qui vote qui. Même si le vote 'papier' n'est pas sans défaut la fraude y est plus difficile et ne peut être généralisée, du moins dans un pays un tant soit peu démocratique. Ailleurs, quelque soit le type de vote le résultat est connu d'avance mais c'est une autre histoire...

Ces téléphones étaient appelés Du Guesclin.

Cela n'a pas marché à cause de la cupidité des intervenants, spécialistes des passe droits, des marchés truqués, du copinage...et des rétro-commissions.

Je crains que le conditionnel soit inutile..Les PPP à la sauce du précédent gouvernement étaient de formidables pompes à fric.

Je suis un éternel optimiste...et là où j'habite je viens de lire le programme du candidat ex UMP. Il peut être certain que je ne voterai pas pour lui...

Certes mais là il s'agit d'élections régionales... l'enjeu n'est pas le même. Si les prérogatives d'un conseil régional (lycées, transport, développement local, culture, aménagement du territoire...) ne te concernent pas tu peux effectivement aller aux champignons, mais tu as au moins un avis ou un souhait sur l'un de ces sujets. Il serait dommage de ne pas l'exprimer...

Tout à fait, mais là encore, où place t'on le curseur? En France certains économistes ou politiciens n'hésitent pas à remettre en cause la politique sociale actuellement en vigueur (sécurité sociale, retraite par répartition, droit du travail..) partant du principe que la solidarité n'est rien de plus que de l'assistanat et que c'est à chacun de se prendre en charge. Le transport n'est qu'un sujet secondaire dans ce débat mais il est représentatif de l'évolution, dangeureuse à mon avis, de notre société qui tend de plus en plus vers le profit immédiat, l'absence de vision à long terme et le chacun pour soi.

Certes, mais il y a rentabilité et rentabilité selon les critères pris en compte. Si on se basait sur les plus ultra libéraux il y a longtemps que le chemin de fer n'existerait plus. Avec tous les inconvénients (pollution, embouteillages, accidents...) que cela entraînerait. Le problème c'est que personne n'a jamais su faire la vraie part des choses et donc chacun peut y aller de sa théorie.

Je rigolerais qu'il pleuve recueil des chroniques de François Morel le vendredi sur France Inter. Chroniques droles, tendres, nostalgiques seon l'actualité du moment ou l'humeur de l'auteur...

Pendant des décennies le chemin de fer a fonctionné selon un schéma national.Chaque pays possédait sa propre entreprise, souvent publique, qui répondait au mieux aux besoins de la clientѐle et aux désirs des gouvernants. Cela n'empéchait pas de faire circuler des voitures directes entre Paris et Moscou ou Istanbul, les oranges allaient directement d'Espagne en Allemagne ou en Gde Bretagne et la gare de Villiers le Bel recevait réguliѐrement un wagon frigorifique chargé de jambons en provenance de Yougoslavie (si, si!). Chaque entreprise coopérait avec sa voisine et un organisme internationnal, l'UIC, se chargeait, calmement et avec pragmatisme, d'harmoniser ce qui méritait une harmonisation. Aujourd'hui la Yougoslavie a disparu et d'incertains diafoirus qui me semblent aussi compétents en chemin de fer qu'un éléphant en chasse au papillon se penchent sur l'avenir du rail. Je ne suis pas certain que cette évolution soit la plus judicieuse.

En tout cas c'est une gare comme beaucoup aimeraient en voir, il n'y a que des autocars...

Ce qui est curieux c'est que l'Etat est aux deux bouts de l'affaire, coté Vinci via la caisse des dépôts ( pour les profits) et coté SNCF (pour le déficit). M'est avis que la balance penchera toujours dans le même sens...

Ermeline