Aller au contenu
Le Web des Cheminots

E.T.G.

Membre
  • Compteur de contenus

    3 473
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. La BB63817 est garée au dépôt d'Avignon (84) en février 1995.
  2. C'est l'heure de la toilette pour le X4443 qui vient de rentrer "à la maison", Metz-Sablon (57), en avril 1995.
  3. La BB22400 "TU" est garée au dépôt de Fréthun (62) en avril 1995. Deuxième et troisième photos: marquages liés à ce service particulier qui avait fait l'objet d'un descriptif approfondi il y a quelque temps.
  4. Départ du X2820 de Toulouse-Matabiau (31) pour Auch en août 1995.
  5. Train d'essais comprenant une voiture avec vigie pour observation de la caténaire et des voitures Grand Confort garé au Mans (72) en mai 1996.
  6. L'élément automoteur X4521-XR8614 s'apprête à démarrer de Nice-Ville (06) pour assurer en solo l'aller-retour quotidien avec Cuneo, en septembre 1996.
  7. Une CC72000 tractant un train de fret dans lequel se sont invitées deux A1AA1A68000 en C.V. (Convoi Véhicule) traverse Vierzon (18) en août 1995.
  8. Pourquoi les rames ne s'y rendent pas par leurs propres moyens?
  9. C'est même beaucoup moins: depuis l'ouverture de la L.G.V. de bout en bout, le trajet ne dure pas plus de 1h26, au mieux. Je suis complètement d'accord qu'il y a une question de "jalousie", mais aussi...de mode: chacun veut maintenant la L.G.V. à sa porte. Ne voit-on pas des demandes de Clermont-Ferrand, Rouen et le Havre, Toulouse (alors que le prolongement jusqu'à Bordeaux a déjà bien rapproché cette ville), etc.? Paris - Nantes en 1h50 (car la L.G.V. B.P.L. raccourcit encore un peu le trajet d'avant), c'est déjà très honorable, pas besoin de mieux. Pour un gain relativement limité, puisqu'une bonne partie du parcours actuellement sur ligne classique est déjà de 220 km/h, ce qui n'est pas mal du tout. Le vrai sens d'une L.G.V. jusqu'à Nantes serait de libérer des sillons sur la ligne classique pour le trafic T.E.R., faute de pouvoir tripler les voies à l'approche de Nantes (tunnels). Après, l'insertion d'une ligne aux portes de Nantes (disons vers le Blottereau) malgré l'urbanisation, ne me paraît pas infaisable, comme ça ne l'a pas été à Rennes, dont la périphérie est également urbanisée.
  10. Pas sûr que ce soit le bon topic pour le sujet que tu exposes ici. Néanmoins, j'y répondrai: mon dernier retour du Mans a été supprimé à cause d'une grève, dite telle quelle (en l'occurrence, des aiguilleurs, ce que j'ignorais complètement). "Manque de personnel" et "grève", ce ne sont pas les mêmes raisons, même si ça change rien au résultat: train(s) supprimé(s), et il me semble que la S.N.C.F. annonce plus facilement les grèves lorsque c'est le cas plutôt qu'invoquer une autre raison bidon. D'autant que "grève", ça sous-entend que des employés ne veulent pas travailler ce jour-là, tandis que "manque de personnel", nonobstant le covid et ses malades résiduels, c'est moins avouable car ça trahit un manque d'anticipation dans les recrutements ou la gestion (le recrutement) des ressources humaines. Alors peut-être qu'il y avait une grève en Nouvelle Aquitaine, mais j'imagine que cette Région est comme toute les autres, frappée par un réel manque de personnel, indépendamment des grèves, et que c'était la véritable raison de suppression des trains ce jour-là..
  11. Pas sûr que ce soit le bon topic pour le sujet que tu exposes ici. Néanmoins, j'y répondrai: mon dernier retour du Mans a été supprimé à cause d'une grève, dite telle quelle (en l'occurrence, des aiguilleurs, ce que j'ignorais complètement). "Manque de personnel" et "grève", ce ne sont pas les mêmes raisons, même si ça change rien au résultat: train(s) supprimé(s), et il me semble que la S.N.C.F. annonce plus facilement les grèves lorsque c'est le cas plutôt qu'invoquer une autre raison bidon. D'autant que "grève", ça sous-entend que des employés ne veulent pas travailler ce jour-là, tandis que "manque de personnel", nonobstant le covid et ses malades résiduels, c'est moins avouable car ça trahit un manque d'anticipation dans les recrutements ou la gestion (le recrutement) des ressources humaines. Alors peut-être qu'il y avait une grève en Nouvelle Aquitaine, mais j'imagine que cette Région est comme toute les autres, frappée par un réel manque de personnel, indépendamment des grèves, et que c'était la véritable raison de suppression des trains ce jour-là..
  12. Je vais aller m'installer entre Mende et La Bastide-Saint-Laurent les Bains ou de l'autre côté, entre Mende et Marvejols, et je vais me plaindre pour leur montrer qu'ils ne sont pas les plus malheureux. Proposez d'autres destinations qui rendraient le trajet difficile avec Paris, pour leur montrer leur ridicule!
  13. La grand-mère des Z2, l'élément Z7301-ZR17301 est vu en gare de Toulouse-Matabiau (31) en août 1995. Par contrainte de voies disponibles, les trains peuvent comme ici être mis à quai cul à cul. Ainsi positionnés, la BB8500 et son segment inoxydable sont probablement en partance pour Latour-de-Carol tandis que notre Z2 le pourra l'être que pour Montauban (et au delà).
  14. La BB16760 est en tête d'un segment R.I.O. Lorraine en gare de Nancy (54) en avril 1995. Sur les deux autres vues, en une autre occasion, aménagements intérieurs d'un segment identique, en seconde et première classe.
  15. L'élément automoteur X4718-XR8715 est prêt au départ en gare de Lyon-Perrache (69) en juillet 1996.
  16. Pas de matériel roulant dans cette publication, mais des installations, vues en avril 1998 sur la ligne Nice - Breil-sur-Roya en aval de Peille (06), avec une maisonnette de cantonnement, et une sorte de mur de soutènement réalisé à l'aide de rails vissés (ou tirefonnés sur des traverses, le tout planté dans le sol à la verticale.
  17. Dernier regard sur le X3814 de l'A.A.T.Y., vu au dépôt de Metz-Sablon (57) en avril 1995.
  18. La BB67522 en charge d'un segment de Remorques Réversibles Régionales Alsace est vu en gare de Haguenau (67) en avril 1995 avant et après un crochet, probablement vers Wissembourg.
  19. Une remorque XR8300, 8500 ou 8750 (reconnaissable au fait qu'elle soit garée orientée avec l'extrémité 2 vers Tours, et, autrement, par la présence des câblots d'accouplement sur le dossier de caisse) ainsi que la motrice X4508 sont garés aux Ateliers du Mans (72) en 1991. La remorque est arrivée dans son élément pour prise en main et elle a déjà été désaccouplée de sa motrice, elle possède encore tous ses équipements. On distingue le bourrelet horizontal sous le caisson d'attelage, finalement supprimé tandis que les verticaux étaient raccourcis, afin d'éviter la stagnation d'eau et donc la corrosion. La X4508, elle, radiée après une collision de sa remorque sur un passage à niveau, a déjà donné ses organes principaux (bogies, moteur, boîte de vitesses, etc.) tandis que son arrêt définitif permettra aussi de récupérer ses équipements électriques Télémécanique pour favoriser la maintenance des autres E.A.D. ainsi équipés, Le Mans étant déjà à l'époque déjà confronté à un problème de pièces sur ces organes. Une reconstitution de cette motrice assortie d'un remariage avec une remorque Postale avait néanmoins été proposée pour constituer l'élément expérimental Astrée, finalement obtenu par l'utilisation de deux motrices diésel d'E.T.G. Les E.T.G. radiés commençant à encombrer l'établissement, leurs caisses non retenues pour le projet de former de nouveaux X4900 furent ferraillés non loin de là dans une campagne de démolition réalisée en 1997, dans laquelle la X4508 et quelques autres matériels dont des Z5100 furent inclus. Sur la première photo, on distingue également des caisses d'E.T.G. ainsi qu'un wagon "cul jaune" et des E.A.D. Postaux.
  20. La BB7386 est vue dans les faubourgs de Montpellier (34) en février 1995 tandis qu'elle se dirige vers Narbonne.
  21. La rame T.G.V.-Atlantique est à quai en gare de Toulouse-Matabiau (31) en août 1995 et ses passagers embarquent tranquillement en attendant le départ dans quelques minutes.
  22. Une draisine D.U.65 (Draisine Unifiée 1965) suivie d'un wagonnet arrive à l'Escarène (06) en avril 1998. Quelques travaux sont en effet menés sur la ligne Nice - Breil-sur-Roya afin d'accompagner à postériori l'arrivée des X2200 et XR6100 en remplacement des X4500. Ces travaux ne permettront toutefois pas d'amélioration des temps de parcours, les X2200 ne se montrant pas beaucoup plus à l'aise (ou plutôt moins mal à l'aise) que leurs devanciers puisqu'ils seront quasi systématiquement accompagnés d'une (U.S. et U.M.) à deux (U.M. uniquement) remorques XR6100. Il faudra attendre l'arrivée des X76500 pour enfin disposer sur la ligne d'un matériel performant, mais ce qui a été gagné d'un côté a été perdu par ailleurs à cause de limitations de vitesse dont la ligne est désormais frappée sur la plupart de son itinéraire (40 km/h contre 70 à l'époque), en dépit d'investissements conséquents ayant permis une meilleure desserte et une meilleure exploitation. Mentionnons le tunnel de Braus qui fut à l'issue des travaux parcourable à 100 km/h et dont une partie non négligeable de sa longueur ne l'est également désormais plus qu'à...40: sans commentaire!
  23. Lyon-Saint-Paul (69) et l'Ouest-Lyonnais, repaire des X4630 de Lyon-Vaise qui en avaient le monopole en août 1996. Cette mainmise ne sera guère troublée peu de temps après que par le parcours d'une U.M. de X2800 encadrant une XR6000 "GRR" (GRaisseur de Rail) avec un aller-retour sur chaque branche le samedi afin de compenser la disparition des convois de dessertes qui donc ne rempliraient plus ce rôle. Il a aussi circulé exceptionnellement des X2700 monomoteurs utilisés au pied levé sur ce "réseau", en cas d'indisponibilité de X4630.
  24. Deux BB66400 dans un état impeccable, dont la 405 sont garées au droit de la gare de Boulogne-sur-Mer (62) en avril 1995.
  25. Les X2200 de Limoges auraient-ils progressé en productivité pour en arriver à assurer des dessertes en Région Paca? C'est ce que pourrait laisser croire la première photo de cette série. Il n'en est pourtant rien, les X2200 limougeauds se contentent toujours de dessertes cantonnées au sud-ouest de la France, tandis que les dessertes assurées par cette série de matériel en Paca, et plus précisément sur la ligne Nice - Coni sont du ressort des engins du dépôt de Marseille, accompagnés de remorques XR6100 affectées à Nice. C'est ainsi que nous voyons en gare de Breil-Sur-Roya (06) et en avril 1998 le X2213 affecté à Marseille depuis octobre 1996, dont son nouveau titulaire n'a pas dans ce délai trouvé le temps d'indiquer sur cet engin qu'il l'a en gestion! Sur la remorque XR6112 arrivée au printemps 1996, Nice a bien fait le nécessaire, et sur le X2215 de l'autre côté de cette remorque, Marseille est bien indiqué. Notons enfin qu'entre les X2213 et 15, le X2214 n'a pas été affecté à Marseille pour avoir avant l'arrivée des X2200 en Paca été détruit dans une collision à un passage à niveau survenue à Arjuzanx en mai 1995.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.