E.T.G.

Fin de présentation de la BB26070 en gare de Nice-Ville (06) en septembre 1995. Remarquer la mention "Attention, ne pas toucher aux essuie-glace" sur les plaques en verre placées devant les phares. Ces plaques ont ensuite et assez rapidement, sans doute par simplification, et parce qu'elles étaient inutiles, disparu.

Le X2150, petit dernier de la série, est en coupure entre deux trains en gare de Lannion (22), en septembre 1995. Comme six autres X2100 rennais, il est resté en livrée bleu Anglais au lieu de virer au vert perroquet. Ces engins seront mutés un an après à Toulouse, pour lui, et Limoges pour les autres, dans le cadre de l'échange avec des X2200 de Limoges pour Marseille, ce dernier cédant des X4500 à Rennes pour boucler la boucle.

Vue générale de la gare et du dépôt de Saint-Gervais-les-Bains-Le-Fayet (74) en août 1994.

Tenez, je crois que ça peut figurer ici. Après le chien mort de soif dans un train immobilisé par temps caniculaire, un chat réfugié sous un train et "sciemment écrasé" par le conducteur: https://fr.yahoo.com/news/paris-décision-sncf-faire-rouler-162504087.html

Dans le principe, la logique, oui. Sans chercher très loin, on a pourtant vu la S.N.C.F. condamnée parce que des gamins se sont électrocutés sur le toit d'une locomotive, pourtant garée sur les terrains privés de l'entreprise, où ils n'avaient donc pas à être.

Ok pour les Alpes, je le sais bien aussi. Mais pour la modification, je soutiens mordicus ce que j'indiquais précédemment. J'ai regardé dans les dossiers annuels sur le matériel moteur de la revue Voies Ferrées, dans les années concernées. Il n'indique en aucun cas la sortie d'usine des rames 386 à 405 en 430, sous-entendu, qu'elles seraient différentes des autres. On trouve seulement une mention en 2002 de rames 301 à 385 T.V.M. 300 et 386 à 405 en 430, ce qui ne veut pas dire que ces dernières le sont d'origine. Pas découragé pour autant, j'ai consulté le hors-série Loco Revue sur le système T.G.V., qui stipule bien que les rames 301 à 405 sont sorties en 300 mais que les 386 à 405 sont devenues 430 ultérieurement, mais sans toutefois préciser quand. Je vais essayer de trouver le temps de regarder un hors-série Le Train avant de partir très bientôt en congés. Sinon, un de mes amis du Mans, où je serai, possède me semble-t-il la série complète des Rail Passion, et on devrait pouvoir trouver assez facilement trace de la modification quand elle a été faite (cette revue, assez complète dans la diversité des sujets qu'elle traite, n'aurait pas passé ça sous silence). Sinon, on s'appelle régulièrement avec un autre ami, véritable spécialiste du matériel (il a écrit de nombreux dossiers sur le matériel dans plusieurs revues et il est très bien documenté, il a la matière pour), et il connaît très bien les rames Atlantique, je pense qu'il saura répondre d'emblée à une telle question sans chercher nulle part. Dès que j'ai l'information, je vous la reproduirai avec sa provenance.

Certainement pas, la 405, toute dernière, est sortie en 1992 et l'installation de la 430 est postérieure à cette date. Il s'agit d'une modification reçue à postériori et sur ce point, je suis sûr de ce que j'avance.

L'élément automoteur X4624-XR8336 se lance à l'assaut de la ligne de Breil-sur-Roya depuis Nice (06) où il est vu entre la gare Saint-Roch et la halte de l'Ariane-la Trinité. Pour l'instant, la rampe est modérée, mais de Drap-Cantaron jusqu'au faîte dans le tunnel du Col de Braus, ce sera une autre paire de manches.

La BB63403 équipée du B.S.I. est garée au triage du mans (72) en mai 1995.

Deux X2800 viennent de s'engager sur la ligne des Dombes (Lyon - Bourg-en-Bresse par...les Dombes!) peu après la bifurcation de Sathonay (69). L'autre direction possible à cette bifurcation était la L.G.V. sud-est, sur laquelle les X2800 ne s'aventuraient bien évidemment jamais!

La BB4765 est au repos au dépôt de Toulouse (31) en août 1995.

Le X4540-XR8550 est garé au dépôt de Saint-Brieuc (22) en compagnie d'un élément modernisé et de trois X2100 en septembre 1995.

Cette allège postale préservée avec le X2448 est vue garée sur ce qui semble être un ancien E.P., à proximité de Saint-Amand-les-Eaux (59) en août 1994. Si le X2448 a hélas finalement été démoli (me semble-t-il avant même d'avoir eu le temps de rouler en touristique), j'ignore ce qu'est devenue cette allège.

Hélas non. Déjà celle-ci est à contrejour...

Et même pas sous celles de Capelanbrest?🤣

Il y a dû y avoir un loupé alors, car en principe je vire les photos de mon vivier à publications immédiatement après les avoir postées. Mais certaines ont pu passer au travers des mailles du filet, d'autant que j'ai une souris folle, qui saute parfois et me cause quelques soucis...

En fait, il y a peut-être un problème de dates: je ne me rappelle pas que les rames Atlantique qui ont reçu la T.V.M. 430 l'auraient eue dès 1994, qui correspond aux ouvertures des L.G.V. Nord et Rhône-Alpes (elles ont assuré des trains intersecteurs ouest/sud-est et ouest/sud-ouest - nord, mais plus tard pour ces derniers, me semble-t-il). Comme en 1996, date de ma prise de vue, elles rentraient toujours à Perrache, c'est donc qu'elles ne descendaient pas encore en dessous de Lyon. J'en ai donc déduit que leur équipement en 430 datait de l'époque de l'ouverture de la L.G.V. Méditerranée, leur permettant après avoir desservi Lyon-Part-Dieu de se ré enquiller sur L.G.V. jusqu'à Valence, avec continuation jusqu'à Marseille par la ligne classique, permettant également de desservir Avignon. Il est possible que l'équipement de ces vingt rames date de 1994 pour assurer des intersecteurs, mais il me semble pourtant que ces trains étaient au départ du seul ressort des rames Réseau, ne justifiant donc pas si tôt l'équipement des Atlantique en 430. Donc ta remarque est pertinente, si un spécialiste pouvait éclairer notre lanterne... Je poste en même temps les mêmes photos avec les mêmes légendes sur quelques groupes sur Facebook. Ce site, quoi qu'on en pense, est comme ici parcouru par des personnes dont le moins que l'on puisse dire pour certaines est qu'elles sont fiables, et pour le moment, personne ne m'a repris sur ladite publication, alors peut-être ai-je raison?

Quelques Z2 avec les séries 9500 et 9600 dont certaines journées de roulement les amènent à rouler sur des trains semblables, la différence d'aménagement intérieur entre version express et omnibus n'étant pas gênante pour ces services-là. D'une façon générale et en utilisation normale, les Z9500 avaient une zone d'action plus large que ne l'avaient les Z9600 du même dépôt (Vénissieux) avec de belles courses les amenant jusque vers Belfort et même Mulhouse, tandis que les Z9600 se cantonnaient davantage aux Savoie, qu'elles parcouraient en interpénétration avec les Z9500. Il était surtout fait distinguo au départ de Lyon du classement sur les trains à tranches multiples des éléments monocourants et bicourants, de façon à ce que bien sûr les éléments pur 1500 volts ne soient pas à destination de la zone 25000. Sur ces trains, en principe, les éléments 1500 volts étaient des Z7500 de Marseille, donc en version express, circulant sur de longues courses les menant de Marseille à Lyon puis à Genève-Cornavin, la version omnibus -Z7300- de ce dépôt ayant, elle, une utilisation plutôt axée sur le sud de l'artère impériale, la transversale languedocienne jusqu'à Port-Bou (Espagne), ainsi que la ligne Béziers - Neussargues. Les trois premières photos, Z9631 et 9516, sont prises (sans certitude) à Annemasse (74) et les deux dernières, Z9512, en gare d'Evian (74 également).

Le Y8220 est garé en attente d'une intervention à l'atelier du dépôt de Toulouse (31) en août 1995.

L'élément automoteur X4582-XR8373 se dore la pilule sous un beau soleil au dépôt de Marseille-Blancarde (13) en août 1994.

Une BB16500 tractant un segment de R.I.O. Nord-Pas-de-Calais approche de Saint-Amand-les-Eaux (59) en août 1994.

Le segment R.R.R. "0" est à quai en gare de Rennes (35) en août 1994. Il est attelé à un segment Bretagne dans son dos, et sa pousse ou traction relève d'une BB25500. C'est le segment de réserve nationale, de propriété S.N.C.F., à trois caisses et à aménagements intérieurs périurbains, dépourvu de tout marquage régional sur ses portes et du bandeau T.E.R. au dessus de ces dernières. Il a été utilisé dans pas mal de Régions mais a dans la pratique souvent été affecté à Rennes, qui fut sa dernière affectation.

La rame T.G.V.-Atlantique 371 cisaille toutes les voies du viaduc sur le Rhône entre le faisceau de remisage de la Scaronne et la première voie à quai le long du bâtiment-voyageurs de la gare de Lyon-Perrache (69) en juillet 1996. Elle assurera un train intersecteurs Lyon - Rennes, de mémoire départ 16h37, qui me mettait au Mans à à peine 20h00 lorsque je l'utilisais pour rentrer en permission. A l'ouverture de la L.G.V. Méditerranée, ces trains ont été prolongés/amorcés à Marseille-Saint-Charles mais ont été réservés aux rames 386 à 405, seules équipées chez les rames Atlantiques pour la circonstance de la T.V.M. 430 alors en vigueur sur ce prolongement.

L'élément automoteur X4770-XR8770 pimpant pour être récemment sorti de Révision aux Ateliers de Nevers-Machines est en pause entre deux trains en gare d'Alençon (61), en août 1994. Il est resté reconnaissable quelques semaines tout pendant que c'était le seul (premier traité) élément sur l'ouest à avoir les trompes d'avertisseur reportées sous la jupe avant, et donc plus les grillages noirs de chaque côté du phare frontal. Cette disposition avait été prise pour les éléments passant en révision sans modernisation afin d'éviter les entrées d'eau en toiture et in fine, contrarier la corrosion des faces avant. On ne pourra que regretter que cette modification n'ait été appliquée que très tard, à partir de 1993, plutôt que dès la sortie des éléments modernisés (1987), qui bénéficiaient d'emblée de cette solution.

La BB67497 est garée dans le dépôt de Marseille-Blancarde (13), en août 1994.