Inharime

Faut arrêter l'huile d'olive extra vierge Jacky...

N'empêche que la disparition des nappes aériennes a entrainé celle des hirondelles qui ne savent plus où se poser. Et ça c'est pas bien. Et les câbles enterrés ça dérange les taupes et les mulots (les vrais, ceux à 4 pattes avec des poils partout). Et c'est pas bien non plus.

Salut Nécro, D'après ce que j'ai pu comprendre de ce projet tu as surement raison. Cela n'est pas clairement exprimé mais toute proposition d'économie sous entend une contraction des effectifs (de base bien sûr...) et l'abandon de services considérés comme peu porteurs. Une des ambitions affichée étant de faire du porte à porte, des taxis ou des minibus devraient suffire pour remplacer avantageusement les trains circulant sur ces lignes car cela donnera au voyageur l'impression qu'il est l'objet d'une attention particulière. Après tout l'important n'est pas ce que l'on vend mais ce que les clients ont l'impression d'acheter...

La Région finance RFF qui délègue l'exécution des travaux à qui bon lui semble (avec les péripéties que l'on sait). Durant les travaux la SNCF se dé...brouille pour assurer la continuité du service. Une fois les travaux terminés RFF recommence à encaisser les péages comme si de rien n'était. Le bon sens voudrait que les Régions soient exonérées du paiement des péages à concurrence des frais engagés. Mais ça n'est pas prévu. Et il ne faut pas oublier que RFF ne peut pas engager de travaux dont le coût ne serait pas couvert par les péages. Alors...d'ores et déjà l'avenir de certaines lignes est plus que précaire (Laon - Hirson et Abbeville - Le Tréport pour ne citer que ces deux là). Les préconisations des assises du ferroviaire ou de la Cour des Comptes risquent fort d'être suivies d'effet, non pas brutalement comme elles le souhaitaient mais de façon plus insidieuse.

IDBus a été crée en 2012, année qui a été consacrée au recrutement et à la formation du personnel ainsi qu'à l'achat du matériel. Les premiers services commerciaux n'ont débuté qu'en 2013. Dans ces conditions il n'a pas pu y avoir de rentrée d'argent en 2012 et toutes les dépenses effectuées cette année là sont forcément à inscrire au passif. Ce n'est qu'à l'issue de l'exercice 2013 qu'il sera possible de se faire une idée de la viabilité du projet. L'auteur de cet article fait preuve de manque de logique et de mauvaise foi ainsi que d'une totale méconnaissance des règles comptables.

Ho oui, ho oui!!!!

De nombreux cheminots travaillent le dimanche. Pour eux il n'y aura pas de changement. Dire que les syndicats ne veulent rien est faux, ils veulent -entre autre- des augmentations de salaire, une amélioration des conditions de travail, la prise en compte de la pénibilité, la lutte contre le chômage et les inégalités... L'offensive actuellement menée par le patronat fait suite à celle initiée par le précédent président de la république qui, là aussi, a fait la preuve de son incompétence puisqu'il n'est pas parvenu à l'imposer. Prétexter que la "non ouverture" d'un magasin le dimanche supprimerait des emplois est un foutage de gu... caractérisé, sauf pour les magasins ouverts seulement ce jour là... Reste, c'est vrai, l'éventuelle perte de pouvoir d'achat. Là aussi l'hypocrisie du patronat est sans borne. Ce n'est pas parce que les magasins seront ouverts le dimanche qu'ils vendront d'avantage, le pouvoir d'achat des consommateurs n'est pas infini et les dépenses qu'ils feraient le dimanche ne seraient pas effectués en semaine. Les recettes restant égales, les patrons pourraient accorder cette augmentation de salaire sans imposer de contraintes supplémentaires. Enfin il faut surtout voir dans cette offensive la volonté des grandes chaines de magasins de tuer définitivement les petits commerces de proximité qui ne pourront pas faire face à cette nouvelle agression.

Mouais, sauf que pour la SNCF ce ne peut être une simulation, elle est vraiment en difficulté... Cela dit, quel type de maintenance: voie, matériel...?

Superbe et nostalgique...

Ce genre de mésaventure peut arriver à n'importe qui. Même si les gares sont équipées de toilettes, celles ci sont rarement à proximité immédiate du poste de travail. De service de nuit en gare de ... et "victime" d'une crise d'entérite aussi subite que désagréable je n'ai sauvé mon slip et mon pantalon que grâce à la présence d'un seau à charbon dont la fonction avait été détournée. La hauteur du comptoir du guichet permettant de le soustraire de la vue des clients et les odeurs étant filtrées par l'hygiaphone j'ai été le seul à "bénéficier" de ce désagrément. Après le passage du dernier train l'ouverture en grand d'une fenêtre coté rue et de la porte coté quai a chassé les effluves et l'agent qui m'a relevé ne s'est aperçu de rien. Mais c'est quand même la seule fois de ma carrière où j'ai vendu des billets les fesses à l'air.

Vrai, mais selon Ferrovissime (n° 64, octobre 2013) cette séparation ne peut se faire... qu'en atelier.

La personnalité et les ambitions des présidents des deux entités doit aussi y être pour quelque chose...

Les gens voient le mal partout... :Smiley_39:

Dans ce cas il ne faut que des voitures de 1ère classe

Vrai, la carotte a aussi son importance...

Va sûrement y avoir des défections...

Je doute fortement que l'attribution des sillons soit faite par la SNCF.

C'est pour ça que tu t'appelles ADC Ayant Des C.... (...ompétences).

Oui, mais il fallait enterrer la gare pour faire de la place aux automobiles...

Il y a une photo d'un tel acheminement dans le Rail Passion d'octobre (page 11).

Comme c'est joliment dit...

La gare souterraine à été mise en service en mars 1969. Le passage à niveau a dû disparaître à cette époque.

Au service d'hiver 1972/73 (service valable du 1er octobre 1972 au 2 juin 1973), par exemple, les automobiles étaient chargées en gare de Paris Austerlitz du: - 1er octobre au 18 décembre 1972, - 5 janvier au 4 avril 1973, - à partir du 29 avril 1973. et ce pour les destinations de Toulouse et Bordeaux. En dehors de ces périodes le chargement se faisait à Paris Tolbiac et, outre Bordeaux et Toulouse, également à destination de Narbonne, Biarritz et Saintes. Source: ma mémoire (gnarf, gnarf!) et le "Chaix" de la période idoine