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il y a 26 minutes, ADC01 a dit :

Mort de rire. Qu'est ce qui prouve que ces abonnés prendront le train ? C'est vraiment du n'importe quoi.

Tout est dans le coefficient 😉. C'est une étude de marché a peu de frais (enfin je l'espère), mais il ne faut pas etre innocent, si on te commande ce type d'études, il faut etre un peu c** pour dire à ton client le contraire e ce qu'il attend.

Et sans vouloir médire, la maison SNCF, comme bien d'autres entités, a eu recours à ce type d'entourloupe pour faire avancer certains de ses projets

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Il y a 12 heures, ADC01 a dit :

Je serai curieux de consulter l'étude de marché sur cette relation, car à part Bordeaux, Limoges et Lyon, c'est un peu le désert

Oui mais cela peut aussi s'adresser aux caboteurs, et là, tu peux ajouter Périgueux, Montluçon et Roanne.

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Il y a 6 heures, E.T.G. a dit :

Oui mais cela peut aussi s'adresser aux caboteurs, et là, tu peux ajouter Périgueux, Montluçon et Roanne.

Oui mais plus les villes desservies sont petites plus les caboteurs éventuels seront moins nombreux et avec une desserte telle que proposée par cette coop, les caboteurs prendront leur Scénic ou leur Prius

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Il y a 6 heures, E.T.G. a dit :

Oui mais cela peut aussi s'adresser aux caboteurs, et là, tu peux ajouter Périgueux, Montluçon et Roanne.

Habitant à Lyon et originaire de Périgueux, j'ai emprunté cette ligne de très nombreuses fois quand elle circulait de bout en bout. J'ai connu les RTG, puis des rames Corail, puis les dernières rames automotrices réversibles ...

En règle générale, il y  avait du monde entre Lyon et Roanne, et entre Limoges et Bordeaux. Point barre.

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Il y a 2 heures, zitoune a dit :

Habitant à Lyon et originaire de Périgueux, j'ai emprunté cette ligne de très nombreuses fois quand elle circulait de bout en bout. J'ai connu les RTG, puis des rames Corail, puis les dernières rames automotrices réversibles ...

En règle générale, il y  avait du monde entre Lyon et Roanne, et entre Limoges et Bordeaux. Point barre.

c'est à dire grosso modo la où se trouve les plus grandes densités de population....ce qui est normal.

 

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Une étude de marché se fait dans le temps. Il ne suffit pas de faire des pronostics sur les déplacements des abonnés de X opérateurs téléphoniques.

Le mieux est de mettre des personnes dans les gares les plus importantes et faire des sondages, ensuite vous faites la même chose dans les gares de moyennes importances et vous finissez par les gares de petites importances.

Ensuite vous avez plus ou moins une vision claire de la viabilité du trajet.

Ou bien vous vous basez sur les résultats de la SNCF sur X années avant la suppression de la relation Bordeaux Lyon.

Sachant que la deuxième solution est la plus simple mais forcément fiable.

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il y a 41 minutes, nicolas80100 a dit :

Mais pas forcément fiable.

Un message un modifiable pendant une heure grâce au trois petits points situés en haut à droite…

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Le 12/09/2023 à 12:04, zitoune a dit :

En règle générale, il y  avait du monde entre Lyon et Roanne, et entre Limoges et Bordeaux. Point barre.

Lorsque la question de remplacer les R.T.G. s’était posée, la S.N.C.F. s’était orientée vers des X4750 pour leur faculté à atteindre rapidement 140 km/h. et le soutenir, et parce qu’avec ces éléments il était facile d’adapter les compositions, avec un élément assurant la desserte de bout en bout, sur lequel se joindrait un ou deux autres éléments en bout de ligne. La desserte de la partie la moins fréquentée se faisait donc avec un seul élément, bien suffisant.

Une affectation de quelques éléments (six ou sept prévus, si je me souviens bien) était envisagée à Limoges mais faute de pouvoir en libérer, l’idée est tombée à l’eau et on ne put que trouver des locomotives et des rames, avec leurs inconvénients sur une telle relation (rigidité de composition et réversibilité impossible aux points de rebroussement).

A noter que les simulations de marches X4750/R.T.G. faisaient apparaître des pertes de temps qui étaient minimes.

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Dans la lettre hebdomadaire du jour, on ne parle plus de la vente des bons d'achat. Sans doute que ça ne marche pas très bien.

On ne trouve pas non plus de bilan chiffré de la "levée de fonds". Sans doute que ça ne fonctionne pas non plus.

Quelqu'un disait ici que Railcoop était "caduc". Au train, si j'ose dire, où vont les choses, c'est surtout le vote des sociétaires sur la poursuite d'activité qui risque d'être caduc.

Mais tant que la faillite n'est pas prononcée, on continue à communiquer. Mieux : on relance la campagne de comm'.

Citation

 Ce que nous avons fait cette semaine  

La semaine prochaine, c’est la Semaine européenne de la Mobilité. Ce sera également une semaine décisive pour Railcoop. Nous allons relancer la campagne de communication en la réorientant sur la levée de fonds, afin de parvenir à notre objectif de 500 000 euros à fin septembre, comme annoncé au plan d’action. Nous tiendrons dans la semaine une conférence de presse pour en renforcer l’écho. 

Afin de vous éclairer en vue de la prochaine Assemblée générale, et pour vous expliquer, comme annoncé, la réponse à nos demandes de sillon, vous trouverez ci-dessous un document pédagogique vous expliquant les points clés : le schéma de travail avec le Fonds d’investissement, la vision coopérative qui en découle, ainsi que les différentes options de lancement du Bordeaux – Lyon au regard des sillons qui nous ont été attribués. 

Découvrez le document

Un document de réponse à toutes les questions qui nous été posées en vue de l’AG vous sera également adressé la semaine prochaine.

 Campagne de mobilisation générale  

Levée de fonds : continuons à nous mobiliser 

mail?url=https%3A%2F%2Fxpgwm.mjt.lu%2Fim

Il nous reste deux semaines pour atteindre l’objectif de 500 000 euros de levée de fonds. C’est possible si nous retrouvons le rythme du début de l’été. 

C’est pourquoi, la semaine prochaine, nous comptons sur toutes et tous pour relayer le plus possible nos messages de mobilisation sur les réseaux sociaux.

 

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J'ai jeté un œil au document en lien.

Page 4, que se passerait-il sans fonds d'investissement (dont on ignore le nom) ? Réponse : liquidation, rachat ou transformation de la société coopérative en "association de défense du ferroviaire". Cette dernière piste est intéressante : puisque le modèle de Railcoop (entreprise de communication à fonds perdus) a fait ses preuves, les cadres dirigeants pourraient continuer cette activité en changeant simplement la forme juridique et l'objet social. Avec un noyau resserré de généreux donateurs et sans doute toujours un recours à l'argent public (fut-ce par le biais de la réduction fiscale sur les dons), Railcoop pourrait ainsi "défendre le ferroviaire" avec autant d'efficacité qu'elle a relancé le Lyon - Bordeaux.

Page 6, sur le lancement du service :

Citation

Le démarrage serait possible avec un aller-retour Lyon – Limoges les samedis, dimanches et jours fériés.
Compte tenu des délais de négociations avec le Fonds d’investissement et du temps de rénovation des rames, le lancement du service ne pourrait pas s’effectuer dès le mois de juin, mais à la toute fin de l’été.
Ce premier créneau ne pourra donc probablement pas être retenu.

Le report du lancement du service est donc certain et n'a strictement rien à voir avec la question des sillons.

Ce n'est pas tout, car il y a ensuite des travaux. Aucune précision n'est donnée sur ces "travaux structurants", mais la conclusion est déjà trouvée : le lancement du service est reporté à décembre 2024.

Bien sûr, tout ça n'est pas écrit car subordonné à des "ateliers de réflexion avec les sociétaires" (qui n'auront aucun pouvoir décisionnaire et seront là uniquement pour habiller la décision officielle de la direction d'un vernis de participation).

Page 8, des précisions sur les modalités de la campagne de comm' : dépenses publicitaires (les généreux contributeurs seront heureux de savoir que le produit de la "levée de fonds" sera judicieusement utilisé) et investissement bénévole des sociétaires priés d'écrire à leur député.

Page 9, on voit se dessiner un tournant dans le discours d'appel à contribution. Le discours reste néanmoins trompeur :

Citation

Si la coopérative venait à être liquidée, les sociétaires perdraient le montant des parts qu’ils ont achetées.

En fait, les parts sociales ne valent déjà plus rien. Pour qu'elles reprennent de la valeur, il faut non seulement que la société ne soit pas liquidée, mais encore que sa situation se redresse de manière durable. On ne voit pas bien comment cela arriverait.

Pas grave :

Citation

Souscrire une part sociale Railcoop aujourd’hui, ce n’est donc pas un « investissement », c’est un soutien militant.

Voyez comme cela a changé : il y a encore quelques mois, l'achat de parts sociales par les collectivités locales était un "investissement" et non une subvention.

Parler d'"acte militant" permet de préfigurer la suite : transformer la société en association "militante". CQFD.

Et page 10, on termine par quelques lieux communs à trois francs six sous : nul n'est parfait et surtout pas nous. C'est toujours vrai, même sur un Powerpoint.

Vivement que la farce se termine.

Modifié par Cyril83
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Citation

En toute hypothèse, le lancement en 2024 est conditionné au succès du tour de table financier, nécessaire
pour la rénovation des rames.

Donc toujours pas de matos en état de rouler puisque la "rénovation des rames" n'a pas débuté...

Vivement la fin de l'histoire !

Modifié par NEMO94
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Il y a 4 heures, Cyril83 a dit :

Dans la lettre hebdomadaire du jour, on ne parle plus de la vente des bons d'achat. Sans doute que ça ne marche pas très bien.

On ne trouve pas non plus de bilan chiffré de la "levée de fonds". Sans doute que ça ne fonctionne pas non plus.

Quelqu'un disait ici que Railcoop était "caduc". Au train, si j'ose dire, où vont les choses, c'est surtout le vote des sociétaires sur la poursuite d'activité qui risque d'être caduc.

Mais tant que la faillite n'est pas prononcée, on continue à communiquer. Mieux : on relance la campagne de comm'.

 

J'exprimais juste mon ressenti, railcoop est une arnaque, un puits sans fond.

Toutes les semaines un coup ils sont mâles, un coup femelles, un coup on se sait plus trop.

Bref et maintenant la transformation est de devenir une association de défense ferroviaire dans quel intérêt 

Juste parce que les dirigeants se nourrissent aux mamelles de leurs sociétaires.

Magnifique d'être sociétaires et vaches à lait.

Le coup de l'aveugle qui demande qu'on allume la lumière.

Même si leurs actions ne valent plus rien, il y a toujours des utopistes qui nourriront ce système.

Après tout si ça marche pourquoi les dirigeants s'en priveraient 

 

 

Modifié par nicolas80100
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Le 11/09/2023 à 17:17, ADC01 a dit :

J'ose espérer que oui sinon c'est encore pire que ce que je pensais

Bin non c'est ce que je disais. Ils ont fait des estimations, ce qui n'est pas pareil.

Et même une étude, ça reste discutable, me souvient que l'on prévoyait quelque chose comme 3000 personnes par jour entre Delle et Belfort, on a péniblement atteint 500, là (Bon faut admettre que l'offre est pas top, mais elle est mieux que Railcoop ... ).

Le trafic en zone faiblement dense, c'est dur. Même en Suisse, avec un bus/train par heure et un maillage fin, c'est très délicat d'avoir 20 à 30 pourcent de couverture des coûts, alors ne parlons pas de rentabilité.

Parce qu'en zone faiblement dense, à la campagne, la voiture est toujours plus rapide que le transport public, il n'y a pas de bouchon et en général on se parque très facilement. Sans parler du fait que ce n'est pas vraiment plus cher, au fond, c'est simplement plus pratique (moi je m'en fous, j'habite une ville, petite, mais une ville, et là pas besoin de voiture).

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Le 15/09/2023 à 17:38, Cyril83 a dit :

J'ai jeté un œil au document en lien.

Page 4, que se passerait-il sans fonds d'investissement (dont on ignore le nom) ? Réponse : liquidation, rachat ou transformation de la société coopérative en "association de défense du ferroviaire". Cette dernière piste est intéressante : puisque le modèle de Railcoop (entreprise de communication à fonds perdus) a fait ses preuves, les cadres dirigeants pourraient continuer cette activité en changeant simplement la forme juridique et l'objet social. Avec un noyau resserré de généreux donateurs et sans doute toujours un recours à l'argent public (fut-ce par le biais de la réduction fiscale sur les dons), Railcoop pourrait ainsi "défendre le ferroviaire" avec autant d'efficacité qu'elle a relancé le Lyon - Bordeaux.

Page 6, sur le lancement du service :

Le report du lancement du service est donc certain et n'a strictement rien à voir avec la question des sillons.

Ce n'est pas tout, car il y a ensuite des travaux. Aucune précision n'est donnée sur ces "travaux structurants", mais la conclusion est déjà trouvée : le lancement du service est reporté à décembre 2024.

Bien sûr, tout ça n'est pas écrit car subordonné à des "ateliers de réflexion avec les sociétaires" (qui n'auront aucun pouvoir décisionnaire et seront là uniquement pour habiller la décision officielle de la direction d'un vernis de participation).

Page 8, des précisions sur les modalités de la campagne de comm' : dépenses publicitaires (les généreux contributeurs seront heureux de savoir que le produit de la "levée de fonds" sera judicieusement utilisé) et investissement bénévole des sociétaires priés d'écrire à leur député.

Page 9, on voit se dessiner un tournant dans le discours d'appel à contribution. Le discours reste néanmoins trompeur :

En fait, les parts sociales ne valent déjà plus rien. Pour qu'elles reprennent de la valeur, il faut non seulement que la société ne soit pas liquidée, mais encore que sa situation se redresse de manière durable. On ne voit pas bien comment cela arriverait.

Pas grave :

Voyez comme cela a changé : il y a encore quelques mois, l'achat de parts sociales par les collectivités locales était un "investissement" et non une subvention.

Parler d'"acte militant" permet de préfigurer la suite : transformer la société en association "militante". CQFD.

Et page 10, on termine par quelques lieux communs à trois francs six sous : nul n'est parfait et surtout pas nous. C'est toujours vrai, même sur un Powerpoint.

Vivement que la farce se termine.

Quand je disais que ça ressemblait à une association historique ...

On va finir par la voir rouler, leur rame, et ce sera bien le weekend , aux journées du patrimoine.

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Il y a 20 heures, likorn a dit :

Bin non c'est ce que je disais. Ils ont fait des estimations, ce qui n'est pas pareil.

Et même une étude, ça reste discutable, me souvient que l'on prévoyait quelque chose comme 3000 personnes par jour entre Delle et Belfort, on a péniblement atteint 500, là (Bon faut admettre que l'offre est pas top, mais elle est mieux que Railcoop ... ).

Le trafic en zone faiblement dense, c'est dur. Même en Suisse, avec un bus/train par heure et un maillage fin, c'est très délicat d'avoir 20 à 30 pourcent de couverture des coûts, alors ne parlons pas de rentabilité.

Parce qu'en zone faiblement dense, à la campagne, la voiture est toujours plus rapide que le transport public, il n'y a pas de bouchon et en général on se parque très facilement. Sans parler du fait que ce n'est pas vraiment plus cher, au fond, c'est simplement plus pratique (moi je m'en fous, j'habite une ville, petite, mais une ville, et là pas besoin de voiture).

Je crois que ce n'est ni réaliste, ni même utile écologiquement de s'acharner à rétablir des liaisons ferroviaires directes sur des itinéraires en zone peu dense qui sont déjà desservis par une autoroute. D'autant que les lignes concernées ont généralement un profil (rampe et rayon minimal de courbure) médiocre, en plus d'être à voie unique et non électrifiées (ou avec un système électrique tellement obsolète qu'il est plus un handicap qu'autre chose).

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il y a 9 minutes, 30kg est a dit :

Vu ce jour dans le progrès de Lyon : 

 

Tiens, tiens , la PQR commence a s'interroger sur le devenir de cette coop.

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Les réponses aux questions posées lors d'une récente réunion destinée aux sociétaires :

railcoop-questions-posees-lors-du-webinaire-060923.pdf

On apprend que pour que l'activité cesse par le vote des sociétaires, la majorité des deux tiers sera nécessaire. J'ai apporté ma contribution personnelle mais il est clair que ceux qui ont généreusement remis au pot ces derniers mois ne vont pas scier la branche sur laquelle ils se sont assis, même si la branche finira par tomber toute seule.

Par ailleurs, il manque 440 000 euros pour finir l'année.

Modifié par Cyril83
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Ce qui conforte mon intuition c'est que Railcoop s'est mis en relation avec un tribunal de commerce pour son assistance aux entreprises en difficultés.

Deuxièmement : Pourquoi créer 2 entités alors même qu'ils ont un trou de 440 K€.

Troisièmement : Pourquoi ce fond d'investissement tient à rester anonyme aux yeux des sociétaires ?

Quatrièmement : Lorsqu'on lit qui est prêt à investir on a tout le monde,CCI, conseils régionaux, départements, banques etc...

Soit à Railcoop, on a faire à des schizophrènes, à des doux rêveurs, à des opportunistes qui profitent du système.

A des sociétaires qui remettent la main à la poche sachant que c'est à fond perdu et sachant qu'ils sont assis sur une planche pourrie tentant de retarder l'inévitable.

Quand on revient au quatrièmement :Les promesses n'engagent ceux qui les disent.

Modifié par nicolas80100
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Il y a 21 heures, nicolas80100 a dit :

Ce qui conforte mon intuition c'est que Railcoop s'est mis en relation avec un tribunal de commerce pour son assistance aux entreprises en difficultés.

Deuxièmement : Pourquoi créer 2 entités alors même qu'ils ont un trou de 440 K€.

Troisièmement : Pourquoi ce fond d'investissement tient à rester anonyme aux yeux des sociétaires ?

Quatrièmement : Lorsqu'on lit qui est prêt à investir on a tout le monde,CCI, conseils régionaux, départements, banques etc...

Soit à Railcoop, on a faire à des schizophrènes, à des doux rêveurs, à des opportunistes qui profitent du système.

A des sociétaires qui remettent la main à la poche sachant que c'est à fond perdu et sachant qu'ils sont assis sur une planche pourrie tentant de retarder l'inévitable.

Quand on revient au quatrièmement :Les promesses n'engagent ceux qui les disent.

S'il manque 440K€ pour finir l'année et qu'ils crament 440K€ par trimestre en gros l'histoire peut s'arrêter dans qq semaines. A moins que leur(s) banque(s) autorise(nt) un découvert conséquent mais hormis les X72500, je vois pas ce qu'ils peuvent mettre en garantie pour que la musique continue.

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Ils n'ont aucuns actifs, aucuns biens bref à part ces 2 X 72500, ça revient à une personne qui gagne le RSA et qui demande un découvert à la banque de 10000 euros.

 

Faut pas chercher midi à quatorze heures. Leur truc est bancale. Les banques sont frileuses car rien tient 

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