E.T.G.

Nonnnn!!!??? Tu m'épates!🤣🤣🤣

Si l'inconvénient de la lenteur de fermeture des portes est considéré sur cette relation comme un de leurs pires défauts, que dire alors de leur utilisation sur des trains à arrêts plus rapprochés? Il n'y a au contraire que sur ce genre de relations sans arrêts trop fréquents que ce défaut n'est pas trop péjorant pour ces engins

Je sais bien mais ce sujet a souvent été évoqué sur ce forum en divers endroits, et j'ai eu beau faire une recherche, je n'ai pas réussi à trouver un topic plus adéquat pour mon intervention. Si quelqu'un trouve le bon fil ou du moins un mieux approprié, je veux bien qu'il l'indique et j'y posterai mon information avec plaisir.

Le sujet est régulièrement évoqué sur différents fils et celui-ci m'a paru le plus approprié pour ce post: la tarification agent ou ayant-droit S.NC.F. a été abolie le 01 novembre. Désormais, les tickets achetés pour une destination banlieue S.N.C.F. sont facturés 1,50 €. Il n'y a donc plus aucun intérêt à acheter ces tickets pour s'en servir comme des tickets de métro à prix cassé. Ce prix correspond à l'utilisation du réseau R.A.T.P. comme n'importe quel voyageur. Il reste la possibilité d'acheter un passe Navigo Easy (2 €) et le charger de dix voyages, 14,90 €, soit 1,49 € le trajet, au lieu d'1,50, c'est toujours ça de gagné!🤣

Oui, mais comme je te le dis aussi, il y a encore des locomotives et des rames tractées en France, et pour un trafic qui a lieu chaque pointe hebdomadaire (l'exemple cité ici par Baisin), il est possible d'y mettre les moyens adéquats. Si vraiment on estime que mettre une rame entraîne trop de sujétions, on doit pouvoir trouver un X72500 supplémentaire en le dégageant ailleurs, avec un remplacement par un autre engin là où on le récupère (pour ça, il y a des journées commutables, des variantes selon les jours de semaine sur les roulements), bref, pas de problème, mais des solutions. A condition d'en avoir la volonté. A titre de comparaison, je suis allé fin août visiter le dépôt du réseau de bus de Saint-Malo, et en me présentant le parc, on me précisait qu'il n'y a pas de bus articulés à demeure mais que le réseau s'en fait prêter par les voisins pour certaines occasions, notamment le départ de la "route" du Rhum. Il ne serait pas question de dire "bon ben, il y a du monde à transporter, on n'en a pas les moyens, on ne va surtout pas chercher à solutionner le problème, que les voyageurs potentiels aillent se faire cuire un oeuf". En résumé, il y a du monde à transporter, on y met mes moyens et on ne cherche pas à prétexter une impossibilité. Nous ne sommes pas dans la même facilité dans le ferroviaire, mais des solutions existent. La S.N.C.F. nous l'a souvent montré par le passé, et elle en est encore capable. A condition de le vouloir... Après, les autres considérations se situent à un niveau plus général qui n'interfère en rien sur l'opérationnel au quotidien.

"L'art de la covid à la francaise", qui est en fait des dessins sur la thématique de la covid, d'Antoine Chéreau, éditions Pixel Fever. C'est le huitième livre, consacré chacun à un thème, qu'Antoine vient de sortir, certains tomes sont déjà épuisés. Sa plume n'est pas inconnue de certains d'entre vous puisque c'est lui qui illustrait le journal interne de la S.N.C.F. "Les Infos", dans les années 90. Je l'avais reconnue à sa façon de dessiner les pieds des gen, fins et allongés. Bref, ayant vu samedi sur Facebook qu'Antoine dédicaçait ce même jour son dernier livre chez un libraire rue de Littré à Paris, et comme je comptais acheter ce tome pour compléter ma collection, j'ai anticipé mon départ de chez moi pour aller au travail et y faire le crochet. Du coup, je possède ses huit albums tous dédicacés, ayant acheté les sept précédents lors d'une opération similaire il y a deux ans. Sinon, plus spécialement dans le ferroviaire, je suis en train de terminer la lecture des spéciaux Le Train, éditions Publitrains, consacrés l'un aux X72500 et l'autre aux X73500, 900 et VT641 Allemands, que j'avais achetés l'an dernier. J'envisage une commande prochaine d'une dizaine de spéciaux Le Train cette année, ainsi que la commande de certains livres chez les éditions du Cabri. Le temps de regarder ce qu'il me manque mais en première approche, il semblerait que je sois à peu près "à jour" chez chacun de ces éditeurs. Je suis aussi intéressé par les livres de Thierry Nicolas sur les séries d'engins français mais pour l'instant j'hésite, je trouve certains de ces livres un peu excessifs en prix.

Une photo de Princesse au plus fort de son abcès, prise par un voisin qui venait chaque jour nourrir les filles administrer son médicament à Princesse. Quelques jours après, ça allait mieux, sa joue avait complètement dégonflé, son œil pouvait donc s'ouvrir. Mais de retour de congés, comme la plaie sur sa joue ne guérissait pas, je l'ai remmenée chez le vétérinaire, qui a indiqué qu'il allait falloir l'opérer (extraction de la dent en cause, sous anesthésie générale). Ok, quand prouvez-vous le faire? Le 26 octobre. Ok, combien? Je ne sais pas, il faut que je fasse un devis. Non mais, à la grosse, 100, 200, 400, 800 euros? Je ne sais vraiment pas, il faut que je fasse un devis, mais ne vous inquiétez pas, je vous l'enverrai avant la fin d'après-midi. Oui, je comprends pourquoi il n'a pas voulu m'annoncer ne serait-ce qu'une fourchette: 483 €!!! Considérant que ce prix était certainement injustifié (cet escroc, pardon, ce vétérinaire a probablement confondu "extraction de dent sur un chat" et "plumage de pigeon"), j'ai tapé sur Google "extraction dent chat prix", et je suis tombé sur des résultats indiquant que la S.P.A. soigne les animaux pour peu cher, mais cela s'adresse semble-t-il plutôt aux gens sans le sou, et c'est à Saint-Ouen, peu pratique d'accès depuis Créteil. Autre solution, les écoles vétérinaires soignent les animaux pour 30 % moins cher qu'un vétérinaire classique (qu'est ce qu'un vétérinaire classique? Car si l'un m'a proposé 483 €, un deuxième aurait pu avancer 550 € ou un troisième 400)... Bon, ça tombe bien, il y a une école vétérinaire à Maisons-Alfort et facilement accessible d'un coup de métro. Bref, j'appelle, on me répond qu'on ne fait pas de devis mais qu'il y a déjà un barème: extraction d'une dent carnassière sur un chat, 284 €. Et pour l'opérer? Ah, là, c'est le problème, nous sommes débordés, nous ne pourrions la prendre que le 24 janvier, pour consultation, avant donc de l'opérer un peu plus tard. Bon, 200 €, d'économies, il va falloir que la miss tienne le coup (il reste cependant la possibilité de l'emmener en cas d'urgence, mais c'est plus cher). Ce sur quoi un collègue me rappelle que les vétérinaires de province sont souvent moins chers que ceux d'Ile-de-France. J'appelle celui à côté de chez mes parents: "nous pourrions la prendre le 10 novembre". Ça ne correspond pas avec les repos, nous arrêtons une date qui me convienne fin novembre (j'avance juste de quinze jours la prochaine rentrée sur Le Mans que j'avais prévue, et je n'avais pas encore acheté les billets de train). Et question prix? Nous allons vous faire un devis. Un quart d'heure après, je recevais le devis par mail: 255 €, anesthésie générale en sus, mais je n'imagine pas ce poste très coûteux. Bingo, affaire conclue! J'attire votre attention que pour des gens qui sont sur l'Ile-de-France, emmener sa bestiole en province pour la faire soigner peut en valoir le coût même s'il faut payer du carburant ou un billet de train, vite amorti. Il n'est sans doute pas nécessaire d'aller très loin: Beauvais, Creil, Chartres, Troyes ou Montargis peuvent sans doute faire l'affaire...

Je devais vous poster la photo qui allait bien: une fois que la bévue a été remarquée, le Ouigo fut affiché comme il devait l'être. Seconde photo: les affichages erronés continuaient sur d'autres trains: _voie 4, T.G.V. annoncés pour C.D.G.-aéroport et Strasbourg, ce qui n'est pas faux en soi, puisque cette U.M. allait bien venir sur cette voie, sauf que c'est une Zter qui est à quai pour Laval, toujours pas partie, et comme elle n'est plus renseignée sur les indicateurs généraux, elle ne l'est probablement plus sur ceux spécifiques à voie 4. De plus les T.G.V. sont annoncés à l'heure, mais comme la Zter n'est pas encore sur le départ (on entrevoit à droite une porte encore ouverte), le temps qu'elle démarre, qu'elle dégage l'itinéraire, que les T.G.V. viennent se mettre à quai et fassent leur échange-voyageurs, on peut déjà les annoncer avec cinq minutes de retard. Minimum... L'Xter à destination d'Alençon est annoncé voie 3. Raté, on le voit voie 5, ce qui explique qu'il soit vide, puisque ses voyageurs l'attendent voie 3. Une fois que la voie de départ a été rectifiée, il fut pris d'assaut et put enfin partir, en retard. Bref, l'agent chargé de l'affichage avait non pas un train de retard, mais tous! L'histoire ne dit pas si des voyageurs des gares intermédiaires avant Angers se sont retrouvés à Angers même (Ouigo), ni si des personnes pour Laval se sont retrouvées à Massy ou C.D.G. voire à Strasnourg (voie 4), ni si tous les voyageurs pour la direction d'Alençon ont pu, dans la cohue, avoir le temps de rejoindre leur X72500 avant qu'il parte (voies 3/5)...

C'est vrai, tu as raison, mais ce n'est pas la bonne réponse: quand on a un trafic à assurer, on y met les moyens, et des locomotives et des rames tractées, il y en a encore. On a bien été capable d'aller chercher en Ile-de-France des BB27300 et des V.B.2N. (qui plus est ne proviennent pas de la même banlieue) pour les faire circuler en Grand-Est, avec une réduction de composition à la clé, qu'il a sans doute fallu homologuer; on était capable il y a encore quelques années de trouver des BB66 ou 69400 avec une rame de voitures Corail pour assurer un transport de masse sur la ligne Andelot - Morez, je crois même jusqu'à Saint-Claude, pour un événement annuel festif; et sans être pléthoriques, ces exemples sont nombreux. Quand on ne veut pas, on trouve des excuses; quand on veut, on trouve de la bonne volonté. Si on ne sait pas vendre et faire du train, il faut aller vendre des chaussons, en tout cas changer de métier...

Tenez, en prime, de la documentation qui m'avait été offerte lors de ma visite, et que je conserve bien sûr précieusement -bien que les couleurs souffrent un peu d'être au contact d'autres documents rangés en boîtes à archives):

Avec moi, il ne faut jamais être pressé, mais tout arrive quand-même, voici donc les photos que j'avais évoquées plus haut! Elles datent d'août 2015: vers 2013 disais-je...à la louche, mais j'ai dormi depuis, donc dire quand précisément est difficile plusieurs années après! On remarque que les voies à quai ne sont pas trop nombreuses (la ligne venant d'Abbeville et Amiens est encore ouverte), ni trop longues (U.M. de Régiolis six caisses).

1991, maintenance d'éléments automoteurs du R.E.R. C aux Ardoines avec une Z5300, l'élément 58B (B comme Bicourant, Z8915/6, petit dernier de la série) et le 36A (A comme Asynchrone, Z20571/2). La Z5300 a reçu un bandeau de visibilité orange entre les phares, tandis que les deux Z2N. sont en livrée originelle, si ce n'est que les numéros d'éléments ne figurent déjà plus sur le pare-brise droit mais sur le bandeau situé dessous. Deuxième photo: aux Ateliers de Vitry, toujours Atelier Directeur des éléments inox 1500 v et Z2N., remise en état de l'élément Z5683/4, sévèrement endommagé dans une collision avec la Z5392 dans l'accident d'Issy-Plaine (de nos jours Issy-Val-de-Seine) en 1987. Troisième photo, automotrice Z en levage au même endroit. Sans doute l'élément dont la préservation avait été initiée et qui est aujourd'hui garé, pour ne pas dire oublié, à Brétigny-sur-Orge (si je me rappelle bien), et dont la restauration semble ne plus devoir se faire, d'autant qu'il est exposé aux outrages du temps et aux vandales... Lors de cette visite, l'agent qui devait m'accompagner dans l'établissement avait d'abord une réunion sur la production journalière de l'établissement, à laquelle il m'a donc fait assister: autant je comprenais les numéros des motrices, autant ceux des remorques qui y étaient évoqués me semblaient du charabia à l'époque (ZR15300, 25300, 25600, 35600, ces deux dernières séries avec comme chez la plupart des E.A.D. aucune concordance entre ceux des motrices et ceux des remorques...), autant ces numéros me deviendront plus familiers à partir de douze ans plus tard pour finalement m'être expatrié sur Paris et habiter sur la ligne C: les Z5300 terminaient en cette année 2003 de la déserter, tandis que si je rencontrais fréquemment sur Austerlitz les Z5600 (éléments à courant continu), les éléments Z8800 et 20500 desservaient ma gare d'habitation (Les Saules) et celle de travail (Vitry-sur-Seine) tandis qu'une nouvelle série, les Z20900, arrivait en décalage des Z5300. Aujourd'hui, ce sont toujours les Z2N. qui officient sur la ligne, bien qu'ayant connu plusieurs variantes et décorations, mais la relève, sans encore se profiler à l'horizon, est aujourd'hui évoquée...

Voiture "espace qualité S.N.C.F. réalisée à partir d'une D.E.V. garée à Mulhouse (68) en avril 1995.

Je crois bien que Bordeaux - Montauban découle plutôt d'un souci de mailler le réseau électrifié que d'être une conséquence du choc pétrolier, avec de sacrées économies et gains de productivité des engins et personnels.

et Parce que, pour vous, c'est quoi le "bon" prix? 500000 €, un milliard, douze milliards? Ou cinquante? Faites-nous un devis et justifiez-nous les montants avancés...

Ah bon, ils te l'ont dit? Ou c'est seulement toi qui le pense?

Euh...oui. Et quel rapport avec l'incendie des bus du constructeur Bolloré? (sans avis contraire de ta part, en répondant à un message sans le citer tu répondais au post précédent le tien).

Certains X3800 ont eu une carrière relativement courte (du simple au double sur toute la série). Les X72 et 73500 ne sont pas jetables, car ils pourraient largement passer en mi-vie, mais la mauvaise tenue des premiers et le déshuntage des seconds les condamne.

Plus communément appelé "piédroit".

Permets-moi de prendre le problème par le petit bout de la lorgnette: et si justement c'est ce chaînon manquant qui empêchait aux deux lignes qu'il relierait d'être un poil plus attractives? Et de participer ainsi à l'aménagement du territoire grâce au maillage ainsi apporté?

C'est loin d'être leur dernier bastion, car ces engins circulent sur encore pas mal de lignes, et il en reste un nombre très conséquent. Ce n'est pas la faute des X72500 intrinsèquement: si ces trains sont chargés, il faut les utiliser en U.M., ou les remplacer par d'autres matériels, en U.M. également. Et si ça ne suffit pas, employer des rames tractées.

L'élément automoteur X4429-XR8394 fait la queue pour rentrer chez lui, au dépôt de Metz (57) en avril 1995.

La BB66115 est au repos au dépôt de Toulouse (31) en août 1995.

Un X2200 en solo assure un train Nice - Breil-sur-Roya et franchit le viaduc de l'Escarène (06) en avril 1998.

Devant le retard de livraison des Class 92 anglaises, la S.N.C.F. avait été contrainte d'adapter en 1993 des BB22200 pour assurer la circulation des trains de fret dans le tunnel sous la manche. Ces locomotives, parfois appelées "Yellow Submachines", circulaient en U.M. et étaient classées en deux types, T.T.U. (Tunnel Tvm 430 Um, locomotives menantes, six locomotives modifiées: 22379, 80, 99, 401, 03 et 05) et T.U. (Tunnel Um, locomotives menées, trois locomotives: 22400, 02 et 04). Outre la T.V.M.430, les locomotives menantes furent équipées de l'Atess et d'agrès pour la circulation sur lignes équipées en 3ème rail et d'une climatisation des cabines. Comme équipements communs, les locomotives reçurent donc les dispositifs pour la circulation en U.M., un système d'extinction d'incendie, de cloisons pare-feu, de voyants extérieurs de contrôle du frein (direct et automatique) et leur décoration fut modifiée par peinturage de leurs capots avant en jaune, ainsi qu'un filet orange au dessus des pares-brise afin de délimiter la zone de danger des caténaires, ainsi que quelques logos représentant leur service fret. Les chasse-obstacles furent déposés. Ces travaux furent menées par Alsthom et les Ateliers d'Oullins en même temps que leur O.C. (Opération Caisse) et nos locomotives furent affectées au dépôt de Dijon où elles rentraient et en revenaient en charge. Cette mission spéciale terminée, les locomotives furent déséquipées en 1995 et 1996 de leurs équipements spécifiques liés à la circulation dans le tunnel et virent le retrait de leurs équipements U.M., les chasse-obstacles furent remontés, les T.U. furent remises au type tandis que les T.T.U., qui conservèrent leurs équipements T.V.M.430, connurent des destins variés: aptitude aux 200 km/h, utilisation à la remorques de trains de contrôles ou désherbeur sur L.G.V. en remplacement de CC21000 pour leur part mises au type 6500. Les capots jaunes restèrent longtemps en place après cette utilisation souterraine, puis les ex T.T.U. connurent encore d'autres utilisations pour certaines. Notons que les 22379 et 80 étaient initialement les prototypes BB20011 et 12, qui ont donné naissance aux BB26000. Cette publication nous montre la BB22379 T.T.U. garée entre deux services au dépôt de Fréthun (62) en avril 1995.